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Traduction d’un texte de Krystal0690.
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Même si j’étais épuisée, je dors peu cette nuit. Dans la salle à manger c’est numéro 6 qui distribue les sandwichs enveloppés dans du plastique pour qu’ils ne sèchent pas. Alors que j’attends d’avoir le mien, numéro 3 et numéro 8 entrent dans la salle et évitent de me regarder. Alors que je tends la main pour que numéro 6 me donne mon sandwich, elle le lance dans un coin de la pièce.
– Oups, je l’ai laissé tomber! Pourquoi ne pas aller le manger là-bas?
Alors je vais dans le coin et je m’accroupis tandis que les autres femmes me lancent des regards de mépris furieux. Je me demande comment je vais pouvoir passer les quatre semaines.
Une heure plus tard, nous sommes autorisées à sortir dehors avant que la chaleur du jour ne commence à brûler le sol. Le sable est encore chaud de la veille. Nous tournons en rond alors que deux d’entre nous vont laver leurs vêtements dans un bassin sur le côté du bâtiment. Numéro 8 mouille et frotte son tee-shirt et sa culotte, elle est nue dans la brise du matin.
Même si c’est interdit, j’utilise son prénom pour plus d’intimité :
– Alyssa, je suis désolé. Je ne savais pas que vous aviez besoin de souffrir autant que vous avez souffert.
– Eloigne-toi de moi… Espèce de malade… de psycho… Salope. Grogne-t-elle sans lever les yeux.
Je m’approche d’elle et je lui dis :
– Je ne savais pas qu’ils voulaient nous embrouiller l’esprit. Je voulais juste aider.
Elle me montre le tee-shirt et me dit :
– Tu vois les traces de sang là? C’est à cause de toi. Parce que tu m’as battu sans pitié. J’ai encore mal alors que toi tu as eu à peine mal avec le Taser.
– Non, le Taser m’a blessé. Et je ne savais pas comment utiliser le fouet.
Elle laisse tomber son tee-shirt dans le sable et elle se rue sur moi. Son poing frappe ma mâchoire et je tombe au sol. Immédiatement elle se jette sur moi et déchire mon tee-shirt. Puis je sens un nouveau coup qui me frappe sur le côté du visage.
Le reste de notre groupe nous entoure et commence à encourager mon agresseuse. Je les entends crier :
– Vas-y! cogne cette salope!
Je suis trop choquée pour essayer de me battre. J’essaie de protéger mon visage, mais je prends des cous dans la cage thoracique.
– Arrêtez sales putes! Pas de combat ici! Crie Smith alors que le directeur et elle sprintent vers nous.
Les autres femmes sont dispersées, numéro 8 et moi sommes séparées. Smith m’examine et voit que je n’ai pas de blessures graves. Le directeur s’occupe de calmer numéro 8.
Puis ils nous escortent toutes les deux au bureau de M. Ambrose. Nous restons silencieuses alors que Smith raconte l’incident. Numéro 8 est toujours nue avec les mains dans le dos. J’ai la même pose mais avec l’avant de mon tee-shirt déchiré, les seins exposés.
Il est alors décidé de la responsabilité de l’incident. C’est numéro 8 qui a commencé à cogner, mais je suis celle qui l’a approchée après qu’elle m’eut dit de reculer. On me remet une carte rouge.
– Numéro 8, nous ne pouvons pas supporter ce genre de comportement ici. Donc vous devez partir. Vous aurez des vêtements propres. Toutefois votre mari nous a laissé des instructions. Si vous ne réussissiez le stage, vous deviez être déposée devant le plus proche bordel.
– Vous dites que je dois devenir une prostituée? Dit-elle avec colère.
– Non, bien sûr que trabzon escort non… Vous pouvez ne pas entrer dans le bâtiment ou demander du travail. Vous avez toujours le choix. Il est vrai que vous serez dans une ville perdue sans argent et sans amis. Si vous êtes assez débrouillarde, vous trouverez peut-être d’autres moyens de survivre.
Deux gardes saisissent Alyssa par les épaules et l’escorte vers le début de sa descente dans l’inconnu. Je me demande si je dois l’accompagner ou offrir de prendre sa place. Involontairement, j’étais déjà responsable de la déchéance de Nina, l’ex-épouse de mon mari. Peut-être que je mérite le même sort. Je souhaiterais être plus courageuse.
– Vous allez attendre dans votre cellule, numéro 5. Les autres femmes décideront de votre punition.
Je reste assise seule pendant des heures. Je regarde plusieurs fois par la fenêtre et je vois Alyssa dans un short bleu délavé, des sandales et un chemisier. Elle grille sous le soleil impitoyable. A ce moment-là je me dis que je suis la pire femme que l’on puisse imaginer, une vraie lâche.
Finalement la porte s’ouvre et Smith avance vers moi et me dit :
– Il est temps de faire face au jugement. Les autres filles ont obtenu des cartes bleues et elles se sont administrées leur propre punition. Mais rien à voir avec ce que tu t’es infligé.
Elle me lance un sourire crispé.
– Tu n’as pas gagné un concours de popularité.
Les trois autres femmes sont restées dans la salle de punition. Elles portent toutes un collier bleu et elles ont toutes des marques de fouet sur leur cul nu. Un collier rouge est fixé autour de mon cou et une chaîne ancrée au sol est reliée à mon collier. Sans que l’on ne me demande quelque chose, je fais ma confession :
– J’ai eu tort de vouloir imposer mes excuses à numéro 8. Je n’ai pas compris la douleur que je lui ai infligée. Je mérite d’être renvoyée. J’étais trop lâche pour le dire, mais je voudrais prendre sa place.
– C’est trop tard pour ça. Alyssa est maintenant sur le chemin pour la suite de sa vie. Vous ne pouvez plus l’aider ou la remplacer. Mais si vous voulez abandonner, vous pouvez le faire à tout moment. Dit M. Ambrose.
– Ouais, tu dois partir! Tu ne fais pas partie de nous! Dit numéro 3 en me montrant de l’index.
– Ce n’est pas à vous de décider, numéro 3!
– Non monsieur. Je suis désolé.
Je peux voir le mépris dans le regard de ces femmes. Elles me blâment pour leur situation actuelle.
– Alors, numéro 5 doit être punie! C’est à vous de décider comment.
On enlève la chaîne qui me relie au sol et on m’attache sur la grande croix comme numéro 3 la veille. Les autres femmes se dirigent vers le mur où sont accrochés les aiguillons électriques. Elles en reviennent avec les plus gros disponibles. Je me prépare mentalement à la douleur intense qu’elles vont m’infliger. C’est alors que numéro 6 dit :
– Attendez, j’ai une meilleure idée. Elle nous sera bénéfique et numéro 5 souffrira quand même.
Elle se tourne vers M. Ambrose et lui demande :
– Monsieur, combien de clients vont venir ce soir?
– Il est trop tard pour changer le nombre, donc il y en aura dix.
– Comme punition pour numéro 5, nous voulons qu’elle s’occupe de tous les clients pendant une semaine.
L’homme réfléchit puis répond :
– Non, juste ce soir. Ce travail sert aussi à votre apprentissage.
– tunceli escort Deux jours alors Monsieur!
– Êtes-vous toutes d’accord avec ça?
Les femmes hochent de la tête, alors M. Ambrose me demande :
– Êtes-vous d’accord numéro 5?
– oui Monsieur, tous les clients.
Tout vaut mieux que les décharges électriques que ces femmes pourraient m’infliger.
On me détache de la croix, mais seulement après que numéro 6 écrive sur ma poitrine les mots « Stupide Salope » avec un marqueur permanent. Je retourne à ma cellule pour passer le reste de la journée en réfléchissant à mon destin.
Quelques heures plus tard, je suis seule dans la salle d’exposition. Je suis la seule disponible pour les dix hommes latinos qui entrent et commencent à demander aux gardes ce qui se passe. Ceux-ci leur répondent en espagnol pendant qu’ils me regardent avec mécontentement. Je comprends qu’ils n’étaient déjà pas contents de payer pour une femme qu’ils devaient se partager à deux ou trois. Mais maintenant une pour dix, c’est le bordel.
Mais aucun n’abandonne. Ils tirent au sort pour connaître leur place. Le premier attrape ma main pour me conduire dans une cabine. J’enlève mes vêtements et docilement j’obéis à l’homme qui me montre ce que je dois faire. Je mets donc son érection dans ma bouche. Je lui fais une fellation jusqu’à ce qu’il me pousse par terre, écarte mes jambes et pénètre ma chatte. Il ne me baise pas longtemps et dit bientôt :
– Buena chica!
J’ai compris le sens de ces mots. Un autre homme entre dans la cabine pendant que le premier se rhabille. Je vois numéro 6 parmi les autres. Elle parle espagnol et dit :
– Non estoy disponible esta noche!
Puis je la vois demander au groupe :
– Te gustaría coger el scank en el culo?
Plusieurs hommes répondent « Si » et se mettent à rire.
En m’adressant un sourire méprisant, numéro 6 me fait un doigt tout en disant :
– Va te faire foutre, salope!
C’est à ce moment que le deuxième homme pénètre ma chatte. Il me baise pendant vingt minutes et je suis déjà épuisée. Il insiste à me tripoter les seins. Plus d’une fois j’essaie de retirer ses mains de ma poitrine, mais les autres hommes se moquent de moi. Ils commencent à scander les mots « stupide salope ». Merci numéro 6!
– Todo de, Skank estupido! Hurle l’homme en éjaculant.
Je le sens gicler en moi son foutre chaud. Il se retire et un troisième homme entre dans la cabine. Les autres scandent encore plus fort. Je commence à étendre les jambes, mais le latino me sourit et me fait signe de me tourner. Comme je ne le comprends pas, il m’attrape et me force à m’agenouiller dos à lui. Puis il tire mes hanches et mon cul vers lui. Je le vois prendre un pot d’où il sort une sorte de gelée pour l’étaler sur mon cul. Alors seulement je comprends ce qu’a dit Angéla. Elle a invité ces hommes à m’enculer.
Je n’ai jamais été sodomisée, je n’ai jamais voulu essayer. Alors je crie :
– Non je ne veux pas! Je veux partir! Je veux quitter le ranch!
Mais ça ne sert à rien. Le groupe d’hommes fait trop de bruits pour que des membres du personnel m’entendent. De plus, ils essaient de contrôler ce groupe indiscipliné. Mes fesses sont écartées alors qu’un autre homme entre dans la cabine. Je sens qu’une bite est guidée vers mon cul alors qu’une queue est poussée dans ma bouche.
Au début, je suis mal uşak escort à l’aise avec l’introduction de ce sexe dans mon cul, mais ce n’est pas douloureux. Je me sens par contre très humiliée. Je peux voir les trois autres femmes pointer leur doigt vers moi et rigoler.
L’homme dans ma bouche jouit et je laisse tomber son sperme sur le matelas. Mais sa bite est rapidement remplacée par une autre. Je perds la notion du temps et de ce que je subis. Je crois que j’ai été enculée par trois fois, que j’ai sucé deux bites et le reste a baisé ma chatte.
Quand je quitte la cabine et passe devant numéro 3, celle-ci grimace méchamment et hurle :
– Si ça ne risquait pas de me coûter un carton bleu, j’aimerais te cracher au visage!
Dans ma cellule, je tombe en arrière sur le lit, épuisée et déshonorée. Je réfléchis pendant une heure avant que l’on frappe à ma porte. C’est Smith.
– Je crois que tu as passé un mauvais moment.
Je ne peux pas parler alors je me contente de hocher la tête. J’ai besoin de quelqu’un pour me réconforter. N’importe qui. Je ne me suis jamais sentie aussi seule de ma vie.
– Mais je crois que tu n’as pas terminé ta journée de travail. Nous pouvons le faire ici ou dans ma chambre. Comme tu veux!
En état de transe, je la suis dans sa chambre. Je vois l’argent déposé sur la table de nuit. Elle me regarde alors que j’utilise ma langue pour lui donner un orgasme. J’ai l’impression d’être debout à côté de mon corps et de me regarder faire. Puis je me sers contre elle et profite de ces quelques précieux moments de contact humain quand elle me tient.
– Tu peux me poser des questions pour ces vingt dollars!
Je la fixe tout d’abord incapable de comprendre. Puis je décide de ce que je veux pour cette nuit.
– S’il vous plaît, je vous demande juste un peu d’humanité. Je vous donne cet argent si simplement vous continuez à me tenir.
Elle ne répond pas, mais je sens qu’elle me tire vers elle. Ce n’est pas grand-chose, mais ça va me permettre de tenir.
Une heure plus tard ou peut-être quatre, je ne sais pas, Smith me pousse du coude :
– Tu devrais retourner à ta cellule ou tu vas recevoir un nouvel avertissement.
Je m’assois. J’ai la tête plus claire. Je ramasse mon tee-shirt et ma culotte et je les enfile.
– Tu as encore droit à des questions. Mais ne t’habitue pas à ce traitement.
Je ne sais que penser? Que pourrais-je demander qui me serait utile? Et après tout pourquoi ne pas demander ce que je dois poser comme question?
– Quelles questions dois-je poser?
Smith me sourit :
– Cette question te coûte dix dollars. Mais tu peux me demander s’il y a un autre moyen de sortir de ce stage.
Elle me regarde dans les yeux et me donne très clairement la réponse à la question :
– Non, tout a été bien étudié. Les hommes qui possèdent ce lieu sont plus puissants que tu ne peux imaginer. Et les personnes du gouvernement qui ne sont pas au courant sont trop occupés pour remarquer ce genre de choses.
J’essaie de comprendre. Bizarrement ça rejoint certaines choses que j’ai entendu dire par mon mari James au sujet du pouvoir qu’il avait sur les politiciens.
Smith continue à poser et répondre à ses propres questions :
– La question suivante peut être : Comment s’en sortir? Ce programme est fait pour que vous toutes vous vous déchiriez entre vous. Les autres ont formé une alliance contre toi, elles se serrent les coudes pour te rabaisser. Mais il ne faut pas laisser faire, tu dois les diviser.
Smith me tire près d’elle et dit doucement dans mon oreille :
– Dernière question : Comment faire? Arrête d’être la victime, deviens le prédateur!
A suivre…
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