Secrétaire Très Particulière (01)

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Charming

Je travaille comme secrétaire de direction dans la même société de Pub depuis mes 20ans.

J’ai maintenant 44 ans. Je suis mariée et nous avons 3 enfants,deux garçons de 21 et 22 ans et entre les 2 une fille de 20 ans, qui ne sont plus a la maison.

Une vie tout à fait normal, du moins, je le pensais .

22 ans de mariage, heureuse, mon mari, tout comme moi, pas très porté sur le sexe. Il nous arrive de passer 2 voir 3 semaine sans aucun rapport, puis de faire l’amour presque tous les jours pendant une semaine.

Je n’ai jamais trompé Alain et je suis persuadée que pour lui il en est de même.

Mon patron, un homme charmant vient de nous annoncer qu’il va prendre sa retraite, il faut dire qu’il arrive sur ces soixante-dix ans.Il nous explique, que son fils a terminé ses études a Londres et dans un mois il prendra son poste, ils travailleront ensemble 5 à 6 mois puis il se retirera définitivement.

Le jour arrive ou il nous présente son fils, un jeune homme de 27 ans, très sûr de lui, un look décontracté, un beau regard, très souriant et très aimable.

Ce dernier nous dit se prénommer Paul, et contrairement à son père,il désire que l’on le designe comme cela et pas de Monsieur . Il aimerait même que tout ces collaborateurs s’appelle par leurs prénoms.

Je dois dire que cela a été assez compliqué, mais en a peine 1 mois après, tout le monde s’y est fait.

L’atmosphère dans les bureaux était assez convivial.

Mon bureau est situé dans une pièce avant le bureau patronal.

Pour aller voir les patrons, tous doivent passer devant moi.

Paul vient souvent me voir pour des renseignements, ou me dicter le courrier, alors que son père se servait d’un dictaphone .

Les semaines et les mois passent, moi dans mon bureau et les deux patrons ensemble dans le leurs.

Quand Paul vient me voir, il se met souvent derrière moi, et quand il se penche sur mon épaule pour voir des dossiers ou le courrier .Je sens son regard sur moi, plus particulièrement sur ma poitrine.

Je suis pourtant habillée tres classique, des tailleurs, sur un chemisier, des jupes au dessus du genou. L’été soit mes éternels chemisiers ou des petits polos, toujours sur un soutien gorge.

Je ne me trouve plus très belle, mes trois grossesses , m’ont laissées un ventre légèrement bombé, une poitrine un peut forte, un 85 b, je mesure 1m65 pour 60kg.

Un visage rond, des yeux bleus encadrés par une chevelure blonde foncée, tombante sur les épaules en cascades légèrement bouclée naturellement.

D’après mon mari, mon atout majeur, est mon sourire, des lèvres légèrement pulpeuses encadrant deux rangées de dents très blanches et bien alignées.

Ayant remarqué le regard de Paul sur mes seins, je fais attention à ce que je porte et surveille les boutons de mes corsages.

Nous avons fait une soirée pour le départ de son père. Un pot d’amitié ou tout c’est bien passé, dans une ambiance parfaite.

Puis le travail, et la routine ont repris.

Quand Paul venait me voir, il était de plus en plus tactile, je me disais que vu la différence d’âge et surtout la sublime jeune femme qui venait l’attendre certains soirs, je me faisais des idées.

Puis Noël est arrivé, une semaine de vacances.

Le jour de la reprise, je n’ai plus de bureau, a la place, des placards, une grande photo copieuse.

Je frappe a la porte de son bureau, j’entre et tout sourire, il me designe un grand bureau en angle tout neuf.

Il m’explique que ce sera plus simple pour travailler, face a mon bureau, sur le mur un écran tv, pour pouvoir regarder les spots publicitaires des graphistes. Son bureau a lui est a ma doite, devant la fenêtre, a la qu’elle il tourne le dos.Il fait face a la porte et au canapé,la table basse et les deux fauteuils qui servent à recevoir les clients.

Il me faut 2 ou 3 jours pour prendre mes repaires.

Paul est toujours aussi tactile, il m’éffleure souvent les bras, et même plusieurs fois son coude se frotte a mon sein.

Cela fait deux semaines que nous travaillons, et urfa escort je me suis habituée a ses petits débordements, quant ce matin nous recevons un client pour un gros contrat. Les deux hommes sont dans les fauteuils, et moi derrière mon bureau afin de rectifier certaines closes.

Paul me demande de relire le contrat, comme souvent, il vient derrière moi et lit par dessus mon épaule.

Je sens sa main se poser sur mon épaule, puis ses doigts glissent doucement vers mon cou , comme je ne bouge pas, continuant de lire a haute voix,pour le client, qui , lui fixe je ne sais quoi a la fenêtre,les doigts effleurent le haut de mon sein juste a la limite du soutien -gorge.

Je bafouille un peu,le client leve les yeux, Paul retire sa main, mais je me demande si le client a vu quelque chose.

Je termine la lecture, je me sens les joues en feu.

Comme il est 11h30 , Paul me demande de retenir le restaurant pour déjeuner, et ajoute , de préciser 3 couverts , me demandant de les accompagner, une présence féminine détendra la discussion.

Je m’exécute, mais c’est la première fois qu’il me convie au déjeuner.

La discussion est maintenant tres conviviale, le client ayant l’air d’être satisfait du contrat.

On part au restaurant, le repas se passe tres bien, je suis un peu gêné, je n’ai pas l’habitude de manger avec mon patron et encore moins avec un client.

Nous rentrons au bureau vers les 15h.

Le contrat est signé, le client est heureux et en serrant la main de Paul, il me complimente , et lui dit, la prochaine fois vous serez tous les deux mes invités.

Puis il part.

Dès la porte fermée, Paul me prend par la main, me fait lever, me dit que nous faisons une bonne équipe , me fait une bise sur la joue et me pousse sur un fauteuil, il va au mini bar, sort une bouteille de Champagne, prend 2 verres et tout en s’assayant.

_Je pense que l’ont peut fêter ça!!!!dit il.

Je suis confuse, il me tend une coupe .

Il prend place en face de moi.

Tout en buvant, il me dit que je suis belle, mais que je ne me mets pas en valeur, il approche son fauteuil, nos genoux se touchent presque.

Il tend une main et dégrafe un bouton, puis deux de mon corsage, laissant apparaitre mon soutien -gorge.

Je lui dis que ce n’est pas bien, je suis mariée et bien plus âgée que lui.

Il sourit,

_Et je suis ton patron , mais depuis le premier jour, j’ai eu envie de mieux te connaître.

Mon verre étant presque vide, il me ressert du champagne,

Je ne bois que très peu d’alcool, et je commence à avoir chaud.

Il voit mon trouble, il pose ses mains sur mes genoux, et les écarte lentement, bizarrement je me laisse faire, il remonte ma jupe sur mes cuisses et me caresse l’intérieur, là où la peau est tres douce, mon cœur bat très vite.

Je n’ai jamais trompé mon mari, mais je me rends compte que ce jeune homme me trouble énormément.

D’une main il me caresse l’intérieur de la cuisse, a la limite de la culotte, et avec l’autre, il passe sous mon soutien-gorge et me petrit le sein, faisant gonfler mes mamelons

_Tu sais Annie, j’aimerais que tu sois plus accessible, plus disponible, notre collaboration s’en trouverait plus enrichissante. Tu es belle et intelligente, j’espère que tu me comprends.

Puis il se lève, prends son veston et sans un mot il sort.

Je suis là, le sein a moitié sorti, les cuisses écartées, la culotte trempée, avec une folle envie de sexe.

Je rentre à la maison, et ce soir, mon mari m’a trouvé bien amoureuse

Le matin, je sors de la douche, et comme a l’accoutumée je vais dans ma chambre pour m’habiller, en passant devant le miroir du placard, je regarde cette femme nue, que je ne voyais plus depuis longtemps.

J’admire mes seins, un peu lourds, avec leurs aréoles brunes surmontées de mamelons remontant fièrement vers le haut. Je ne peux m’empêcher de les tirer et les faire gonfler. Je passe mes mains sur mes fesses bombées, puis sur mon ventre et contemple la petite toison sivas escort blonde qui ne dissimule pas une chatte au levres bien saillantes.

Avant la douche, j’avais préparé mes vêtements et sous vêtements.

Un ensemble culotte et sous tif noir, une jupe en tergal beige et un chemisier blanc en coton

J’enfile la culotte et le soutien gorge,la jupe, le chemisier. Je prends une veste bleu marine.

Je me vois dans la glace très BC BG.

Au moment de quitter la chambre, j’ôte la veste, le chemisier et le soutien gorge, remets chemisier et veste et vais au garage prendre ma voiture.

Arrivée au bureau, il me semble que tout le monde me regarde, Je salue rapidement mes collègues et fonce dans mon bureau.

Paul n’est pas arrivé, je suis soulagée, il ne remarquera pas ma tenue.

Je pose ma veste dans mon placard et m’installe a mon bureau.

Cela fait une bonne heure que je travaille quand la porte s’ouvre et Paul entre jovial comme toujours.

Il vient vers moi, se penche, me tourne la tête et dépose un baiser sur mes lèvres et a même temp il passe sa main sur mon chemisier.

_J’apprecie l’effort, je savais que tu me comprendrai, je te promets que ta vie va changer . Va fermer la porte a clef.

Je m’exécute, il m’attire à lui, il se penche et m’embrasse, sa langue ouvre mes lèvres et vient chercher la mienne.

Je réponds à son baiser, je ne me reconnais pas, il ouvre mon chemisier,le fait glisser sur mes épaules,me remonte les seins en les comprimant fort. Je suis surprise, mais aussitôt, une de ces main dégrafe ma jupe qui tombe au sol.Je réalise que je suis en culotte au milieu de mon bureau dans les bras de mon patron et que je n’ai pas réagi, même pas un geste de défense.

Il est très sûr de lui, il me pousse vers le canapé.Je tombe assise, il se met à genoux passe ces doigts sous l’élastique de ma culottes et entreprend de la faire glisser, je soulève mes fesses pour faciliter la tâche.

Je suis entièrement nue sur le canapé dans mon bureau, je n’aurai jamais cru que cela soit possible.

Pourtant, cette femme nue devant son patron, c’est bien moi, les seins gonflés par le désir, les mamelons durs et bandés vers le plafond, les cuisses légèrement écartées laissant apparaître ma chatte juteuse dans son petit triangle de poils blond.

Paul, lui est encore tout habillé.

Il se relève.

J’avance la main vers sa braguette, j’ai envie de voir son sexe, de le sentir palpiter.

Il attrape ma main.

_Qui t’a permis?

Je suis rouge de confusion.

_Je…..je pensais que tu avais envie de moi!

_Je n’ai pas dit le contraire, mais je ne veux pas d’une simple maîtresse,j’en ai déjà une. Je veux plus, beaucoup plus.

_Je ne comprends pas?

J’ai les larmes aux yeux, j’ai honte, je serre les jambes et mets mes mains sur ma poitrine, je voudrais me revêtir et m’enfuir.

Mais il m’abaisse les bras.

_Je te désire, mais je te veux toute a moi, obéissante.

_je ne vois pas ce que tu veux dire?

_ Je te veux soumise, Ma Soumise!

_Comment ça?

_Tu ne comprends pas? Je te veux, je veux pouvoir faire avec toi, et de toi tout ce que je veux, ton corp, ton esprit tout m’appartient, tu obéis a tous mes désirs à toutes mes volontés

Est tu d’accord avec ça? acceptes tu? si tel est le cas alors je te ferai connaître des choses que tu n’imagines même pas.

As tu déjà eu un amant, as tu trompé ton mari?

Je suis abasourdie, les larmes coulent sur mes joues

_Non, je n’ai jamais eu d’amant, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis désolé.

_C’est bien, mais accepte tu ma proposition?

_Heu!!!je sais pas…… mais……… oui je veux bien.

_Tu veux bien! Tu me comble de joie, habille toi, mais, pas de culotte, si tu acceptes, ni culotte,ni soutient gorge, je vais te dicter un contrat, entre toi et moi.

Demain matin, si tu me le rends signé, on commencera ton apprentissage, si tu ne me le rends pas, alors la vie reprendra son cours, mais je tekirdağ escort serais très déçu.

Je m’exécute, je me mets a mon bureau et il me dicte le contrat.

Je suis déconcertée, je comprends que si j’accepte, il pourra faire de moi tout ce qu’il voudra, je ne peux rien lui refuser , et en cas de désobéissance, il a même le droit de me puni.

Tout la journée, j’ai tourné le problème dans ma tête, la peur de lui déplaire, à même temps le désir de l’inconnu, et cette sensation d’avoir les fesses a l’air et les seins libres sous mon chemisier, lequel volontairement ou pas j’ai laissé 3 boutons ouvert donnant la vue presque sur mes mamelons. Sous l’effet du frottement du tissu, ils sont toujours tendues. Je voyais bien les regards de Paul qui appréciait.

Le soir, je suis rentrée,mon mari était la comme a son habitude. Je lui ai fait une bise, et prétextant une envie présente je suis vite allée mettre une culotte et un soutien gorge .

Le repas terminé, je rejoins mon mari sur le canapé, Je tourne mes idées en rond dans ma tête, je culpabilise vis à vis de mon mari, je me revois nue dans le bureau avec Paul qui me dévisage, tel un félin devant sa proie, une proie offerte et consentante.

Je repense à sa proposition, à ce contrat qui se trouve dans mon sac a main, etre sa soumise, sa chose, etre son esclave sexuelle, étrangement je sens ma chatte qui s’ humidifie, mes seins gonflent.

Je m’approche d’Alain, je pose ma main sur son entre jambes, j’ai besoin de sexe.

Il se retourne et me sourit, je déboutonne mon chemisier, dégrafe mon soutien gorge.

Alain fait glisser ma jupe a mes pieds et retire ma culotte, il se lève et en un rien de temps, il est également nu.

Je prends sa queue et veux la porter à mes lèvres, cela fait longtemps que je ne l’ai pas fait, mais Alain me couche sur le canapé et s’introduit en moi, comme ça, d’un seul coup.

Heureusement que je suis mouillé, il entre sans efforts, mais j’aurais aimé qu’il soit plus tendre, avoir quelques préliminaires . Il ne remarque même pas l’état de mes seins, ils sont tellement gorgés de sang, qu’ils me font mal, les aréoles sont bombées, surmontées de mamelons énormes, je crois que je ne les avais jamais eu aussi gros.

Mon mari pousse des grognements sur moi, je sens son sexe gonfler, il s’enfonce le plus profond possible, ces bourses sont collées a mes fesses, je m’agripe a lui, et dans un râle, il se libère dans mon utérus, de longs jets de sperme chaud.

Il se relève et part vers la salle de bain.

Je suis les jambes écartées, ma chatte grande ouverte, j’attrape ma jupe et la glisse sous mes fesses, afin d’éviter de tâcher le canapé.

Je me caresse la poitrine , j’imagine Paul, mon patron, que ferais t il?

Me laisserait il comme cela, avec mon envie de plaisir?

J’ai envie de pleurer, Cet après-midi, c’est pourtant lui qui m’a laissé nue sur le canapé au bureau et maintenant mon mari prend son plaisir et moi je suis toujours insatisfaite.

J’éteins la TV , et me dirige vers la chambre, Alain est sous la douche, j’attends qu’il termine, et prends sa place

L’eau chaude me détend, je me savonne la poitrine, puis ma main glisse sur mon sexe, je ferme les yeux.

Je me masturbe debout contre le carrelage, mes doigts entrent le plus loin possible, je fais rouler mon bouton sous mon index, mon autre main tire sur le mamelon, presque a me faire mal.

D’un seul coup, je me crispe,mon cœur s’accélère, il bat très fort, je sens un fourmillements au creux de mes reins, mes jambes tremblent, je fléchis les genoux et l’orgasme me broie le ventre.

Je perds la notion du temps.

Je réalise que l’eau est plus froide, j’ai dû vider le chauffe eau.

Je me seche, et rejoint Alain qui dort déjà a poings fermés.

Contrairement à mon habitude, je me glisse entièrement nue dans mes draps.

Mon esprit vagabonde, que peut bien me faire Paul, tout compte fait, je réalise que je ne vois pas tres bien le rôle d’une soumise.

Je me remémore les différentes clauses du contrat, mais j’avoue que je ne saisis pas tout.

A même temps, j’ai envie d’être désirée, d’être prise, etre aimée et surtout avoir du plaisir.

C est décidé, demain je signe le contrat, mais je vais ajouter une clause

Un mois d’essai……

(a suivre)

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Chantage à L’opticienne

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Creampie

L’histoire que je vais vous relater s’est passé il y a quelques années à Grenoble.

Je m’appelle Robert, j’ai 42 ans, marié, et je suis expert-comptable dans cette ville, et je viens d’apprendre la mort de Louis.

Louis était un de mes anciens clients. Il avait ouvert une boutique d’optique dans le centre-ville, il était marié avec une belle femme Martine et avait deux filles Laurence et Valérie aujourd’hui mariées. Son épouse était superbe, 50 ans de gros seins, habillée un peu vieillot mais pas mal du tout. Toujours très distante avec moi, elle me prenait pour un con, très famille. Une pétasse sans doute comme ses deux filles d’ailleurs. Bonjour. Bonjour. Sans plus.

Ses filles travaillaient avec lui à la boutique et sa femme occasionnellement. Au début l’affaire était florissante, et puis l’installation de grosses chaines de boutiques d’optique plus l’arrivée d’internet commençaient à peser sur son chiffre.

Il venait me voir régulièrement, et en profiter mon scruter mon assistante Caroline, qui est aussi ma maitresse, mon esclave et mon bras droit. 25 ans, brune, les yeux verts et une poitrine avec des seins magnifique pour un 95C.

Je lui demandait ce que je voulais , le plus souvent une pipe, elle obéissait au doigt et à l’œil … le rêve.

Louis me demanda à l’époque plusieurs choses, il sentit le vent venir, tout d’abord mettre son épouse en tant qu’associée sans qu’elle le sache, ainsi en cas de disparition elle pouvait continuer a gérer la boutique avec ses filles. Puis il me demanda de falsifier des chiffres pouvant ainsi vendre son commerce dans de bonnes conditions dans les prochains mois. Il m’était difficile de répondre non car il me gratifier à chaque fois d’une grosse enveloppe d’euros en liquide.

Seulement voilà, maintenant que Louis est mort accidentellement, et que les statuts de la société font de sa veuve la principale responsable…je pense qu’il est temps de s’amuser un peu. Et d’apprendre à sa pétasse de veuve les bonnes manières.

-Allo? Martine? Ici Robert l’expert-comptable, je me suis permis d’attendre la fin des obsèques mais j’ai besoin de vous voir d’urgence concernant la boutique.

-Oui, oui. Bien sûr, ..demain 10h?

-Avec plaisir demain 10h.

Le lendemain matin, je convoquais mon assistante dans le bureau.

-Caro, je vais recevoir la veuve de Louis dans quelques minutes. Quand je t’appellerais tu lui donnera des ordres…comme je les aime pour me faire bander!!

– D’accord tout ce qui te fera plaisir, en plus je n’aime pas du tout cette pétasse!

A 10h tapante, Martine arriva dans mon bureau. Un tailleur beige, un chemiser blanc, des collant noir ainsi que des chaussures avec des petits talons. La petite provinciale…

– Bonjour Martine, merci d’être venue. J’avais besoin de vous voir au sujet de la boutique, cela va très mal.

-Comment cela va très mal? Qu’est ce vous racontez?

– Ecoutez, Louis était venu me voir pendant plusieurs mois, il m’avait demandé de truquer les chiffres rize escort pour montrer que la société était saine, mais malheureusement aujourd’hui vous êtes criblée de dettes. Vous et vos filles…

– Mais comment est-ce…

-Ce n’est pas tout. Légalement vous êtes avec vos deux filles et d’après les statuts, caution de ses dettes.

– Je ne comprends rien du tout.

– Louis pensait vendre la boutique pour un bon pactole, mais son accident est arrivé au pire moment. Aujourd’hui vous êtes criblée de dettes et passible de prison.

-De prison, mais vous êtes fou?

– Regardez de vous-même …

Martine blanchit au fur et à mesure de la lecture du dossier, il était accablant.

-Oh ce n’est pas vrai!! qu’allons-nous faire? Ce n’est pas possible, c’est un cauchemar.

– Je suis désolé Martine.

– A combien monte les dettes?

– Plusieurs centaines de milliers d’euros.

-Elle baissa la tête, les mots lui manquaient. Je n’ai absolument pas cette somme.

– Et vos filles?

– Elles non plus!

– C’est terrible, l’avenir se montre sous un très mauvais jour.

– Il n’y a aucune solution? Un prêt à la banque? La vente d’une partie du stock?

– Hélas non, personne ne vous prêtera et la vente du stock ne vous amènera que quelques dizaines de milliers d’euros.

Un long silence.

– J’ai peut être une solution, qui vous demandera certains sacrifices.

– Dites, je suis prête à tout!

– He bien justement. Je peux éponger les dettes de votre mari et continuer à trafiquer les chiffres ce qui vous permettra de travailler longtemps. Mais en échanges tu deviendras mon esclave sexuelle!!

– Mais vous êtes un grand malade! vous êtes absolument fou! Je vais appeler la police!

– Chiche! c’est vraiment le moment pour aller plus vite en prison vous et vos filles!

– Je…je…

– D’accord ou …?

– Mais je..

– D’accord ou …?

– Elle baissa la tête, vaincue avec un petit d’accord sortant de sa bouche…Vous me promettez que cela restera entre nous et que personne ne le saura.

– Ca c’est à moi de le décider…en attendant …Carole! criais-je

Je vis le visage apeuré de Martine.

– Oui patron? Oh mais que vois-je? Martine devant le bureau de mon patron! Comment vas-tu salope?

– Co..Comment osez-vous me parler ainsi? Je ne vous permets pas!

– Ta gueule salope, je ne peux pas te voir depuis des années. Tu me fais gerber avec tes filles les midinettes dans ta boutique de merde.

– Arrêtez! Je ne vous permets pas de me parler comme cela!

– Ta gueule conasse! Maintenant tu vas écoutez les ordres, salope! Déshabille toi?

– Comment?

– Martine me regarda effrayée, je ne pus que lever les sourcils au ciel…

– Salope je veux te voir en soutif et culotte et bouge ton gros cul! lui ordonna Carole

Difficilement et lentement Martine commença à ôter ses vêtements, puis se retrouva en sous vêtement de couleur chair, laissant sakarya escort apparaitre le début de ses seins bien lourd, rien de sexy, mais son corps était pas mal du tout.

– Bien grosse pute, retourne-toi face au patron. Retourne-toi. Bien. Maintenant tu vas sortir tes nichons de salope hors de ton soutif et lentement…Doucement.

Elle commença à sortir deux seins laiteux et volumineux de son soutient gorge…

– Enlève ta culotte

– S’il vous plait demanda Martine. Arrêtez!

– Ta gueule grosse pute! Montre ta chatte de salope à mon Maitre, puis tu te retourneras en écartant les fesses pour qu’il puisse admirer ton trou de cul de grosse pute!!

Martine s’exécuta maladroitement des larmes commencèrent à couler sur son visage.

– Bien lève-toi! Tu es une quoi déjà? questionna Carole.

– Pardon? demanda Martine

– Tu es une quoi? une grosse pute ou une salope?

– Arrêtez! je vous en prie!

– Je répète! Tu es une quoi? une grosse pute ou une salope?

– Je ne sais pas…

– Tu vas arrêter de te la péter connasse, tu vas commencer par m’énerver! Réponds à ma question et vite!!

– Une.. .salope…répondit timidement Martine

– De quoi? je n’entends pas!! Plus fort!

– Une salope!

– J’entends pas!! Plus fort!

– UNE SALOPE! c’est cela que vous voulez entendre? UNE SALOPE!!

– Non, cria Carole, Tu n’es qu’une grosse pute tu m’entends! Répète!!

– UNE GROSSE PUTE! D’accord! Finissons-en!

– Grosse pute tu es simplement au début du commencement! lui répéta Carole avec un grand éclat de rire

– Dirige toi vers le Maitre, et agenouille toit devant lui!

– Non s’il vous plait!

– Ta gueule grosse pute!

Martine contourna le bureau et se trouva agenouiller face à moi. Je bandais déjà très fort face à ce spectacle.

– Enlève ton soutif, et regarde le dans les yeux, tu caresses tes seins et tu lui répètes la phrase suivante : “Je suis votre pute et votre esclave, prête à tout , laisser moi l’honneur de vous sucer et de vider vos couilles dans ma bouche…”

– Je ne peux pas!!

– Pardon connasse? Une gifle super rapide arriva sur le visage de Martine! Elle cria de douleur, puis prononça : “Je suis…votre pute et votre esclave, prête… à tout , laisser moi l’honneur de vous sucer et …de vider vos couilles dans ma bouche…”

– Ben voilà! tu vois quand tu veux! Maintenant au travail, ouvre lui sa braguette , sors sa bite et commence ton job d’esclave!! Connasse!

Elle commença à me sucer toujours sous les ordres de mon assistant!

– Tes nichons sur ses genoux! Branle-le doucement, joue avec ta langue Salope! commence la gorge profonde! Voilà, plus profond! Continue Salope!

Carole, mon assistante en profita pour ouvrir son chemisier sortit ses nichons de son soutif a balconnets et se dirigea au-dessus de Martine, afin que je puisse jouer avec ses seins durant ma délicieuse pipe!

– Alors elle est bonne ta samsun escort nouvelle salope? me disait Caro. Elle te fait bander? On va te faire plaisir avec elle désormais! Et avec un large sourire : “Profite de mes nichons pendant qu’elle te suce!! Malaxe les! Pince les! ils sont à toi, nous sommes à toi!!” Nous sommes tes putes!!

– Allez branle le avec tes gros nichons, allez!!

– Voilà comme cela! Répète-lui que tu es une pute dans les yeux!

Et tout en me masturbant avec ses seins elle me répéta : Je suis votre pute! je suis votre pute!

– Attends je vais t’aider! Carole se déplaça derrière Martine et saisissant sa poitrine à deux mains elle accelera la cadence pour ma branlette!!

– Bon arrête avec tes nichons, prend le dans la bouche pour le finir!

– Et avec un énorme clin d’œil Carole dans ma direction se plaça derrière Martine, en lui prenant les cheveux dans la main accélérant ainsi la fellation!

– Et c’est parti! On accélère la pipe! On accélère! Comme cela! oui!! Tu vas tout prendre dans la bouche et avaler : je ne veux pas une goutte ni sur sa bite ni sur le sol! Tu m’as bien compris salope! Allez! Allez!

Accélérant de plus en plus la bouche de Martine au bord du suffoquement!

Me fixant dans les yeux et me connaissant, Carole savait que j’allais jouir dans quelques secondes!!

– Attention, ma grosse pute c’est le moment! Fais bien attention : tu vas tout prendre et tout avaler! attention : attention! avale! avale! Avale! oui c’est bon! ne t’arrête pas! avale! encore! encore! tu avales tout le foutre salope!! encore encore : tu t’arrêtes uniquement a mon ordre! suce! avale! suce! avale! pas une goutte! c’est bien! avale!! bravo ma pute! bravo!! relâche, doucement, doucement, c’est bien ma pute!!

Martine était toute rouge! Au bord de l’épuisement! J’avais craché tout mon sperme dans sa bouche, elle continua à me lécher la bite sous les ordres de Carole afin qu’il n’y est plus aucune goutte de sperme..

– Bravo grosse pute tu as bien travaillé, maintenant je vais descendre ma jupe et ma culotte afin que tu puisses me lécher le trou du cul, j’en ai besoin!

– Mais ca ne va pas? Vous êtes malade!

– Allez pétasse, on sort sa langue , je veux la sentir! Dépêche-toi grosse pute ou je t’en remets une sur la gueule.

Martine désespérée s’approcha du cul de Carole.

– C’est bien ma salope, écarte mes fesses et je veux sentir ta langue! Voilà comme ca! appuis sur la langue!! Vas-y lèche grosse pute!!

Au bout de 20 minutes, Martine s’arrêta épuisée.

– C’est bien pour une première fois lui dis-je

– Comment la première fois, j’ai fait ce que vous vouliez! , j’ai passé la matinée à devenir votre esclave sexuelle! que voulez –vous de plus?

– Ce n’est que le commencement, l’aventure débute seulement maintenant!

– Je ne comprends pas! répondit Martine

– Ce que j’essaye de t’expliquer, c’est que non seulement nous avons des photos de toi désormais en train de me sucer et de lécher le cul de Carole, mais en plus désormais, nous allons encore s’amuser! Tous ensemble mais cette fois avec toute l’équipe! ..avec tes filles!!

– Noooonnnnn! Cria Martine

– Mais cela c’est une autre histoire, répondit Carole avec un large sourire tout nichons dehors et le cul à l’air.

Ma Femme a un Nouveau Travail 04

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Le soir arriva rapidement.

J’arrivai dans le restaurant.

Surprise, tous les acteurs, violeurs, chiens étaient présents. Installés à leurs tables.

Il y avait aussi le mari et la fille de Brigitte.

C’était une ravissante demoiselle tout juste majeure, maquillée et habillée comme une pute.

Jessica, ma copine, assurait le service à poil.

L’asiatique m’invita à sa table où mon assiette m’attendait.

Je n’avais pas mangé de la journée et j’étais affamé. Je mangeais ce bon plat quand l’asiatique et le boss de Jessica me lancèrent hilares ;

« Tu as l’air de bien aimer notre menu »

Je lui répondis qu’en effet, il a beau être un salaud, son restaurant était de qualité.

Il se mit à rire encore plus fort de façon très suspecte, un ricanement sadique, imité par l’asiatique.

Le repas se passa sans problème majeur si ce n’est Jessica qui subissait de nombreux attouchements durant son service.

Je remarquais aussi que nous étions beaucoup à mater la ravissante fille de Brigitte.

Cette dernière était attablée en compagnie de son père et deux autres hommes au centre de la salle.

Elle et son père semblaient extrêmement tendus.

Elle était vêtue bien pire qu’une prostituée, sans doute forcée car c’était tout simplement indécent.

Un débardeur moulant une belle poitrine juvénile et un minishort effilé, le tout monté sur talons aiguilles et sur-maquillée.

Elle glissait, tout le long du repas, des regards inquiets à l’assistance qui la matait de manière très malsaine.

D’autant plus que la majeure partie des invités s’était faite plaisir avec sa mère devant les caméras durant toute l’après-midi et bien plus peut être.

Brigitte était absente.

Rien que de repenser à ses gros seins me redonnais le sexe dur. Où était-elle?

Je mersin escort demandai à mes voisins de table, à savoir un inconnu et le patron de Jessica.

Tous deux, sans me répondre, se mirent à ricaner de la manière la plus inquiétante.

Le repas arriva à son terme. Les conversations cessèrent au moment où on éteignit les lumières de la salle.

Un alluma un immense écran.

La fille de Brigitte et son père se levèrent soudainement pour prendre la fuite.

Malheureusement pour les deux fugitifs, l’espoir sera de très courte durée. Les portes de la salle étant fermées et verrouillées.

Alors que son père était roué de coup et ramené à table par deux colosses, sa fille fut mise à poil par un groupe d’hommes.

La belle demoiselle nous dévoila bien malgré elle son intimité, elle était bien immobilisée.

On s’attarda longtemps sur sa poitrine, certe moins grosse que celle de sa mère, mais plutôt bien développée pour une jeune de son âge. Sa moule était épilée, lisse, belle et accueillante.

Sur le grand écran un film démarra.

Je compris immédiatement qu’on allait mater le film de Brigitte.

Le mari de l’infortunée actrice fut lui aussi mis à poil, comme sa fille. On les plaça devant l’écran à quatre pattes.

Jessica fut elle aussi placée à leurs côtés.

On aligna les trois nus juste devant l’écran. D’où je me situais, derrière, je voyais trois culs, dont deux magnifiques, celui de la jeune fille de Brigitte était parfait, rond et bien bombé, mais celui de ma copine était pas mal aussi.

Immédiatement les deux fessiers des femmes furent occupés.

Celui de Jessica, ma copine, par une sorte de jeune gothique visiblement très pervers car il pénétra ma copine d’un coup de bite sec. Il lui giflait ses belles muğla escort fesses, elle le suppliait d’arrêter, pour son plus grand bonheur.

Quant à la fille de Brigitte, son jeune violeur n’était d’autre qu’un homme noir qui avait durant l’après-midi sauté également sa mère.

Il l’avait saisi par les hanches et la limait avec vigueur.

On me saisit et on me jeta à leurs côtés.

« Il reste un cul pour toi »

Je ne comprenais pas ce que la femme sadique qui avait violé Brigitte voulait dire. On me montra le mari de Brigitte, j’étais horrifié. Il était mis à nu, à quatre pattes.

« Mais je ne peux pas… euh… euh non »

Alors que les deux femmes se faisaient promptement violer, je fus forcé de sortir mon sexe.

Le chinois, tenant une caméra qu’il pointait vers nous était hilare,

« Si tu ne le sautes pas, ta femme sera liquidée! »

Je me résolu, pour la vie de Jessica, de violer cet homme.

J’étais très gêné car la vue de ces deux femmes nues m’excitait, et par conséquent je bandais.

Un homme me saisit le sexe et l’enfonça dans l’anus du mari de Brigitte. Il se tordait de douleur.

J’entamais de pénibles va-et-vient sous les encouragements salaces de l’assistance.

A l’écran on pouvait voir Brigitte, violée par le jeune noir et son chien. Le jeune s’exclama, alors qu’il violait la fille de Brigitte ;

« La salope de mère, maintenant sa fille, quel régal! »

Alors que les hommes crachaient leurs semences dans les deux femmes offertes, je continuais à sodomiser le père.

On me laissa là, jusqu’à que j’arrive à jouir en lui.

A l’écran on pouvait voir ce qu’il s’est passé après la scène du ring.

Brigitte fut amenée dans les cuisines du restaurant où on attacha ses poignets à un anneau au plafond.

Son nevşehir escort corps était sans défense, elle subira, avec un homme devant et un second derrière, des doubles pénétrations à répétition.

Elle était débout, sans défense, suspendue à quelques centimètres du sol prise en sandwich.

En même temps, son corps fut huilé le rendant splendide et brillant. Cela rendait ses mamelles blanches encore plus belles.

Ces hommes prenaient grand plaisir à baiser cette esclave sexuelle, ils s’enfonçaient au plus profond de Brigitte. Ses gros seins étaient malaxés, son visage léché, ses fesses caressées puis claquées.

Une fois l’éjaculation dans Brigitte faite, les hommes s’essuyaient le sexe sur ses cuisses ou sur ses pieds.

Tous les hommes présents vont ainsi se succéder pour se soulager.

Puis le cuistot en chef du restaurant arriva, sous les encouragements de tous.

Brigitte paniqua, ses gros seins remuaient. Tout comme ses jambes qui cherchaient désespérément appuient dans le vide. Et que dire de ces grosses fesses!

Brigitte se débattait face à lui, suspendue à son anneau. Elle comprit que sa fin cruelle était proche.

Puis la scène fut coupée. On avait placé la caméra en dehors des cuisines, on y voyait tous les acteurs du film se rhabiller et partir. En fond on entendait la voix de Brigitte s’échapper de la porte close des cuisines.

Le film s’arrêta au moment où tous les invités de la soirée et moi-même arrivions au restaurant.

D’une manière incroyable, cette situation m’excita et je réussis enfin à jouir dans le mari de Brigitte. Je me retirai enfin de ce supplice, pour lui comme pour moi.

La soirée se termina ainsi, on me renvoya chez moi.

Le boss, l’asiatique et quelques uns des principaux invités restèrent pour passer la nuit en compagnie de la fille de Brigitte et de ma copine.

Ils vont sans doute bien s’amuser avec ces deux femmes. Les personnes non invités à cette fin de soirée étaient très déçues.

Pour moi le pire était passé… mais pour Jessica.

==> la suite prochainement

Zuwed

Sortie Scolaire 02

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Anal

Hélène CARTIER, participant à une sortie scolaire, alors qu’elle s’est isolée pour parfaire son hale, s’est fait surprendre par trois voyous, interdite de réaction du fait de la présence proche de jeunes enfants, ils la possèdent de concert, et l’abandonne nue et déconfite sur la rive d’un petit îlet..

Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, affolée, écoutant son corps se calmer petit à petit, elle réalisait que ses violeurs avaient bien failli la faire jouir.

Cette constatation l’effarait, et alors qu’elle aurait du se sentir souillée, honteuse, elle ne ressentait qu’une certaine nausée due à sa mauvaise conscience, elle réalisait bien qu’il eut suffi quelques moments de plus, quelques coups de boutoir de plus, pour qu’elle hurle à plein poumon son plaisir. Heureusement la main qui la bâillonnait avait contenu ses premiers frémissements oratoires, avait-elle pour autant masqué la vérité à ses suborneurs?

Subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, t toujours dissimulée derrière les buissons, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps, et de toute manière, même s’ils partaient, pourrait-elle s’aventurer nue jusqu’au camping?

Oserait-elle seulement tenter l’aventure?

Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.

Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

Louvoyant d’arbuste en arbuste, soucieuse de ne pas se faire repérer de la rive, elle s’enfonça au cœur de l’îlet. Une demi-heure à peine s’était écoulée depuis le moment ou elle avait râlé sous les puissants coups de boutoir du petit voyou, et âme chavirée.

Enfin elle les découvrit, étendus sur le dos, nus, sur des draps de bain, ils l’attendaient visiblement, entretenant de la main leurs bandaisons. Visiblement les deux plus vieux commentaient grivoisement leur bonne fortune, alors que celui qui semblait commander, le plus jeune, elle évaluait son âge à 18, 19 ans, semblait rêvasser.

Et de fait le jeune loubard, du haut de ses 18 ans et demi, réfléchissait au déroulement de leur attentat, bien sûr, n’en étant pas à son premier guet-apens, il escomptait dès le départ que la peur de se voir remarquée, surtout par des jeunes enfants, la ferait taire, mais il lui apparaissait que la rébellion avait été fort molle, et même il lui paraissait que la jeune femme avait frémi entre ses bras, que si sa tête disait non, son corps semblait alors bien prêt de dire oui, il sentait encore les réactions de sa chair qui dévoilait kütahya escort par son accueil une certaine participation, de plus s’il ne se trompait pas, son sexe, sa chatte lui avait paru bien affable, bien humide, aspirant à la pénétration. Il entrevoyait l’occasion de poursuivre l’expérience avec cette belle jeune femme dodue, mais pour cela, il lui allait falloir asseoir son emprise.

A pas feutrés, elle s’approcha d’eux, goguenard, Franck l’interpella :

Alors la belle …. On en redemande?

– Vous savez bien que …. Que ce n’est pas cela … je dois rentrer au camp … et .. pour ça …. Il me …. Faut …

– Allez dis le ma belle .. tu veux tes vêtements? …. Crois tu les mériter?

– Oh oui … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez eu …. ce … ce que vous vouliez … je ne dirai rien … mais je vous en prie …. Rendez moi mes habits!

– C’est vrai tu as été gentille … mais ça ne suffit pas …. Il faudrait que tu …

– Ca ne suffit pas! …. Que voulez vous de plus ….. vous m’avez violé … et je ne dirai rien … je vous le jure …. Que faire de plus?

– Tu peux faire plus ma chérie …. Et crois moi tu vas faire plus …. Si tu veux rentrer au camp en cachant tes appas …. Tu vas m’obéir …. Faire tout ce que je veux ….

– Oui …. Je ferai ce que vous voulez …. Mais que ….

– « Tout à l’heure, tu l’as dit toi-même tu t’es laissée faire …. Maintenant j’en veux plus …Je veux que ce soit toi qui nous donne du plaisir …. Que tu t’occupes de mes copains avec tout ton savoir faire ….que tu nous montres la bonne salope que tu peux être …. Allez approche et montre moi ce que tu sais faire avec la bouche …

Et dolente, avec docilité, elle s’agenouilla entre les deux lascars, effleura leur queue du bout des doigts, hésitante, et comme le plus jeune lui empoignait les cheveux, servile elle se pencha sur son chibre et d’un souple mouvement du col l’enfourna.

Quelques allées et venues dociles sur le chibre du petit voyou et déjà l’autre la sollicitait à son tour d’un braquemart plus court, mais plus massif ….

Agenouillé face à eux, leur chef se branlait d’une main nonchalante tout en dirigeant de la voix sa performance. Il voulait maintenant que bouche ouverte en grand, elle s’occupe des deux bittes frémissantes en même temps… et servile comme jamais elle n’aurait pensé l’être, elle s’exécuta ….

Un pénis frémissant dans chaque main, elle les attira à elle et entrepris de lécher les deux glands simultanément, déployant une énergie, peu commune pour accomplir cet acte qui la révoltait au fonds d’elle-même, narquois Franck la fixait un rictus au coin des lèvres, savourant le spectacle de cette bourgeoise qui devait certainement, vu sa maladresse tangible malgré ses efforts, accueillir pour la première fois deux vits fumants en même temps dans sa bouche pulpeuse…

Et elle en faisait des efforts, picorant de petits coups de langues les deux prunes qu’elle sentait maintenant tressauter entre ses lèvres, soudain, d’un même mouvement ils lui forcèrent les commissures des lèvres et s’installèrent de force à l’entrée de sa bouche, butant sur la langue et les dents, et gémissant de plaisir ils se vidèrent en ahanant, profanant sa gorge au plus profonds de jets liquoreux qu’au bord de la suffocation, bouche bloquée sur les deux lances, elle dut ingurgiter au prix de nausées qu’elle fut stupidement fière de contrôler. L’épais jus lui tapissait la gorge, engluant sa luette, avant de s’écouler avec précision dans son pharynx dompté.

Elle dut encore, pour le satisfaire, toiletter soigneusement les deux dards visqueux, lapant jusqu’à la dernière traînée le sperme tiède .

Heureuse manisa escort de les avoir satisfaits si rapidement, elle glissa sur les genoux, prête à agir de même avec le voyou en chef.

Mais, lui se laissa couler sur le dos, puis la prenant aux genoux il l’attira au-dessus de son bassin lui précisant, tu vas d’abord te caresser avec ma queue, puis quand je te le dirai, tu t’empaleras dessus et tu me feras l’amour.

Elle comprit alors …. Non content de la posséder, ce petit salaud voulait que ce soit elle qui lui donne du plaisir .. en quelque sorte, il la forçait à se prostituer pour récupérer ses effets… et elle ne voyait aucune solution lui permettant d’échapper à cette dégradante gesticulation.

Les larmes perlant aux yeux elle se résigna, le vit dressé entre ses cuisses frôlait son sexe, de la main gauche, elle le saisit, et suivant ses indications elle le fit aller d’avant en arrière tout le long de sa fente, épouvantée elle sentit son sexe s’humecter, petit à petit, au grès des contacts de plus en plus précis sur ses babines enfiévrées, elle sentait monter en elle le désir de s’empaler sur ce chibre qu’elle aurait du haïr, elle sentait son bassin se cambrer, sa chatte s’embraser, son trou se dilater pour mieux accueillir son hôte. Enfin, d’une claque sur les hanches il lui ordonna d’enfourner son pieu, avec un long soupir, elle le guida précisément et d’une seule poussée fiévreuse l’engouffra au cœur de sa fournaise.

Sanglotant de honte, elle joua des hanches, l’étreignant de toute la force de ses sphincters, pour enfin s’abattre sur son ventre, cherchant ses lèvres de la bouche, avouant malgré elle le pied qui la submergeait toute tandis qu’incapable de se contenir plus longtemps il giclait à gros bouillons dans son ventre tétanisé.

Eperdue, elle resta de longues minutes allongées sur son torse, cherchant à reprendre sa respiration, sentant la bitte de son ” agresseur ” se rétracter entre ses lèvres frémissantes.

Enfant la houle qui agitait ses flancs se calma petit à petit, elle roula sur elle même, et, toute honte bue le sollicita à voix basse

– Rendez-moi mes habits maintenant … je vous en prie … vous avez eu ce que vous vouliez …. J’ai exécuté vos ordres …. Je … je me suis donnée à vous … alors … respectez votre parole …

– Je vais faire quelque chose pour toi … mais d’abord, dis-nous merci …. On t’a bien fait jouir ….

– Oh oui … merci …. Merci … souffla-t-elle, le rouge aux joues de devoir exprimer ce qui n’était qu’une profonde vérité.

Oh oui elle avait joui, son corps avait vibré, son âme exulté …et c’était bien là le plus pénible, alors qu’elle n’aurait du ressentir que honte et confusion, elle avait frémi de plaisir, incapable même de retenir ses cris orgasmiques lorsqu’elle s’était effondrée sur lui, pantelante … et voilà qu’en plus elle devait le leur avouer …

Calmement il fouilla dans son sac marin, et effets à la main, il proposa :

Tu as gagné une pièce de tes vêtements … une seule … je te laisse le choix ….

Elle sut tout de suite qu’il était inutile de le supplier, son air railleur lui disait assez qu’il n’attendait que cela pour l’humilier encore, et finalement se montrer inflexible. Elle ne réfléchit qu’un instant, comme il n’était pas question de rentrer au camp foufoune ou loches à l’air, il ne lui restait qu’à opter pour sa courte robe, qui au moins cacherait tous ses appâts.

– Donnez-moi ma robe s’entendit-elle chuchoter, larmoyant presque.

Un peu déçu de sa docilité, il lui tendit son vêtement qu’elle enfila promptement tandis qu’il ordonnait à ses comparses

Rendez-vous à la tente … je raccompagne madame …. On a encore des choses à se mardin escort dire …

Pensant que le trajet lui permettrait peut être de le fléchir, de récupérer culotte et soutien gorge, elle se tut, finalement heureuse qu’il lui accorda encore cette chance, et le dos rond elle lui emboîta le pas.

A plusieurs reprises, elle tenta, à voix basse de le supplier, elle chuchotait :

• Je vous en prie ….. Rendez-moi mes sous vêtements …. S’il vous plait … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez pris votre plaisir …. S’il vous plait ….

Mais imperturbable, muet, il se taisait, son sourire malicieux trahissait cependant son plaisir, il jouissait rien que d’entendre cette belle femelle l’implorer, alors qu’en ville elle ne lui aurait sûrement pas adressé la parole, il la sentait là, à ses cotés, prête à toutes les compromissions afin de récupérer son trophée.

Petit à petit il se pénétrait de sa dépendance, il appréhendait qu’elle ne pouvait se permettre de lui abandonner son maillot, que pour une obscure raison, il lui était impératif de le récupérer. Il savait que les écoliers qu’elle encadrait resterait là la semaine, et il entrevoyait que tant qu’il garderait sa lingerie, il aurait barre sur elle, qu’elle ne pourrait rien lui refuser, qu’afin d’éviter tout esclandre elle se plierait à toutes ses volontés. Ainsi, chemin faisant, il imaginait toutes les avanies qu’il pourrait lui imposer, toutes les positions dans lesquelles il la prendrait, toutes les variations qu’il lui ferait subir.

Ce n’est qu’en franchissant avec elle le pas de la tente qu’il lâcha :

– Bon ce n’est pas le tout ma chérie …. Tu veux que je te rende tes frusques …. Pourquoi …?

Larmoyante, contrainte d’exprimer ses peurs, elle avoua :

C’est mes fils qui me l’ont offert ….. et ils voudront certainement me prendre en photo le portant …. Pour montrer des souvenirs à leur père … il faut donc absolument que vous me le rendiez …..

Puisque c’est ainsi … et pour te remercier de m’avoir fait tant jouir …. Je vais te rendre, et comme déjà elle pensait triompher, il lui asséna :

– Ton soutien gorge

– Mais ….. pleurnicha-t-elle assommée

• Eh oui ma chérie … on va procéder par étapes …. Aujourd’hui ton cache nichons …. Et plus tard ….qui sait … Et maintenant à genoux … tu vas me dire merci!

Et à nouveau, en cette fatidique journée elle se retrouva prosternée devant ce sinistre voyou qui réclamait de sa bouche ces caresses qui la troublait tant. Folle d’inquiétude à l’idée qu’on puisse la surprendre en cette position, en cette activité, elle engloutit la verge déjà vibrante, consciente que la rapidité de la chose ne dépendait que d’elle.

Elle fit de son mieux, parcourant la hampe d’une langue agile, mordillant les testicules poilues, engloutissant à pleine gorge le chibre turgescent, convaincue d’obtenir, ce faisant, une rapide solution.

C’est avec un mélange de plaisir et d’appréhension qu’elle sentit enfin le fier braquemart frissonner puis tressauter dans sa bouche, elle était maintenant assez avertie pour savoir qu’une abondante éjaculation scellerait sa tâche. Aussi, si c’est avec joie qu’elle sentait poindre la fin de ses tourments, c’est avec rage qu’elle pressentait que bientôt la pine honnie lui vomirait son trop plein de foutre à pleine gorge.

Déjà, il lui pressait la nuque, lui écrasant la figure dans ses poils hirsutes, et se cabrant spasmodiquement, il se vida en plusieurs jets abondants qu’elle s’efforça d’avaler au fur et à mesure de leur émission, chaque goulée du jus tiède et glaireux lui tapissant la gorge, alors que bizarrement un trouble sentiment de satisfaction la pénétrait.

Après une dernière caresse de ses lèvres pulpeuses, il se rebraguetta, lui tendit le soutien gorge, et s’en alla, l’abandonnant prostrée, du sperme s’échappant à la commissure des lèvres, brisée aussi bien par ces émotions que par le plaisir qu’elle avait enduré lors de ce dernier viol…

Suite à venir.

– Coulybaca –

Du mauvais coté

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Big Tits

1

Le super panard. Je traîne interminablement au lit. Le ciel est bleu et lumineux au dessus de la ville quasi déserte, en ce début juin 1940, alors que la guerre fait rage au loin.

Dans la rue, je note un mouvement furtif sous un porche.

Elle est raccagnée dans un angle, à l’entrée d’un passage couvert.

-Salut. Dis je

-Bonjour. Répond elle en tremblant.

Petite, mince, visage fin et cheveux châtains mi longs. Elle blêmit devant ma médaille de police. Comme j’ai écarté ma veste pour qu’elle voit mon automatique, elle n’esquisse même pas une tentative de fuite.

-Ouvre ton sac.

Le tutoiement est délibéré. Elle doit sentir que je tiens la foudre dans ma main.

Un pain à moitié rassi, un pot de cornichon et une sorte de tranche de pâtée dont mon chien ne voudrait pas.

-Le pillage est puni de mort.

Elle le sait, bien sur. Elle se met à pleurer et parle en vrac, d’un petit frère et de sa mère malade qui n’a pas pu partir. Elle me supplie.

La cage d’escalier est chaude et sèche. Je lui enlève sa robe d’été. Elle porte en dessous une culotte blanche toute simple et rien d’autre.

Elle est à genoux, la bouche arrondie, prête à avaler ma bite. Je lui glisse mon membre et elle est prise de hauts le coeur. Heureusement, elle n’a pas mangé depuis deux jours, et c’est sans conséquences. Elle pleure sans discontinuer.

Je la relève, et la tourne face au mur.

Elle supplie de plus belle quand je baisse sa culotte.

-Tu préfères douze balles dans la peau? Lui dis je.

Elle baisse la tête, vaincue.

Bon dieu, je sens la résistance de son hymen au coeur de son sexe vierge. Elle pleure encore plus.

-Il y a un moyen.

Elle se détend un instant lorsque je quitte sa petite vulve fraiche. Mais c’est un cri de pure douleur qui s’échappe de ses lèvres quand je lui poinçonne le cul. Elle gémit de détresse, ensuite, alors que son orifice secret s’accommode peu à peu de l’intrus, heureusement lubrifié de sa bave. Lorsque je ressors, un filet de foutre coule doucement sur sa cuisse.

Je remonte mon pantalon, que j’avais descendu à mi cuisse.

-Tu es une voleuse, Sarah Bronski. Et à présent, une petite salope. Ma diyarbakır escort petite salope. Compris?

Elle me regarde sans comprendre. Je lui jette sa robe, qu’elle enfile prestement. Je la conduis jusqu’à ma voiture, garée non loin. J’ouvre le coffre et glisse un pain et un bocal de pâté dans son pauvre sac.

-Les allemands sont à quelques jours d’ici, après, tout retournera à la normale. En attendant, si tu as de nouveau faim, j’habite là, au deuxième gauche. Mais tu paieras avec ton corps.

Elle ne sait si elle doit me remercier ou me maudire, mais elle file.

Je regarde ma ville. J’ai l’impression d’être le roi de Paris. Les rues sont vides, tout le monde s’est enfui. Pas moi. La police doit veiller à l’ordre, que le vainqueur trouve une capitale bien rangée.

Le lendemain soir, on frappe à ma porte. Je suis couvert du sang d’un gars. Il faut vraiment que je perfectionne ma technique d’égorgement.

Un coup d’oeil au judas. Dans la pénombre de la cage d’escalier, je reconnais les boucles qui se parent de reflets fauves dans le soleil rasant.

J’ouvre, elle sursaute, je sens l’abattoir et la sueur.

-Entre

Elle se glisse dans l’entrée et je ferme derrière elle.

Je la guide jusqu’à la pièce principale; un canapé fatigué et une petite table pour mes repas de célibataires.

Elle est déjà en train de retirer sa robe, la même que l’autre jour. J’allume la lampe à pétrole sur la table. La lumière dorée inonde son dos pâle. Elle se tourne vers moi. Sa culotte est d’un rose passé tirant sur le gris, à présent. Je m’approche, elle sent le propre. Je passe ma main dans son dos et me colle à elle. Elle émet une sorte de petit cri de surprise et je crois, de peur.

Ma main glisse sur sa cuisse, entraînant sa culotte et dévoilant son petit buisson. Je prends mon temps. Je la pousse sans violence mais fermement vers l’arrière. Elle refait son petit cri en tombant sur le canapé.

Je délace mes bretelles et mon pantalon tombe au sol. Je bande déjà très dur. J’enjambe l’habit et présente ma bite devant son visage.

-Suce.

J’ai eu chaud, aujourd’hui, et sa grimace me confirme que mon gland y a gagné un edirne escort parfum épicé. Mais le spectacle de ses lèvres allant et venant le long du mât est un régal. Je suis à un doigt de lui lâcher la purée dans la gorge. Je la repousse.

Elle est autour de mes jambes, son sexe tout neuf exposé. Je me mets à genou et place mon chibre à l’entrée de sa chatte. Elle pleure quand je la déflore, avec un petit cri quand je déchire son hymen. Je la pilonne un bon moment, avant de sortir d’éclabousser son ventre plat. Je ricane, son nombril est plein de sperme et ressemble à une petite tache plus blanche que le reste. Je lui donne un torchon pour s’essuyer.

Peu après, elle quitte l’appartement avec un poulet.

Je m’assieds et réfléchis. La canonnade gronde au loin, tandis que la glorieuse armée française se fait tailler en pointe. Ils seront bientôt là. Il va falloir être un peu plus imaginatif pour durer.

Elle revient le lendemain.

-Merci de ne pas être venu dans ma matrice. Dit elle.

Je ne réponds pas, je suis peu soucieux de fabriquer une mère fille, mais c’était surtout pour l’humilier. elle a dû se renseigner sur la reproduction humaine.

Cette fois-ci, je la mets à genou sur le tapis pour la pipe. Pris d’une impulsion, je lui bloque la tête avec les mains avant de me servir de sa bouche comme d’un sexe. Lorsque je touche le fond de sa gorge, elle a un hoquet et se débat. Mais ma prise est ferme et je finis par lui inonder la gorge. Elle a une toux qui lui fait couler du foutre par la narine droite, comme de la morve. Je ris et elle pleure.

Elle repart, le sac lesté d’un salami. Chère petite polack. J’ai localisé le trou à rat où elle se cache. C’est dans une petite rue borgne pas loin, et effectivement, il y a un petit frère, et une mère alitée. Ma vieille maman disait toujours que c’est mal de profiter du malheur des gens. C’est surement mal, mais c’est aussi beaucoup plus facile.

Je me promène dans la ville et je raccompagne un soir un gamin au nez morveux jusqu’à une loge de concierge. La concierge est un blonde bien en chair, dans la trentaine.

-Votre fils était dehors. Il avait des denrées pillées dans ses poches.

Elle edirne escort bayan ouvre des yeux affolés. Elle sait ce que ça veut dire.

-Pitié, monsieur l’agent, Bernard est si jeune.

Je fais partir le petit vers le fond de l’appartement.

-On peut peut être s’arranger.

-Je n’ai pas d’argent, le père du petiot est sur le front.

-Vous êtes une femme.

Son regard me montre qu’elle a compris. Elle met le verrou sur la porte du fond.

Elle ouvre sa blouse et relève sa combinaison. Elle a un sacré placard, bizarrement sombre. Elle pose son cul sur le bord de la table, les jambes écartées. Je lui relève les cuisses et entre sans fioriture. Elle souffle quand je tape dans le fond, mais sinon, j’ai l’impression de limer un oreiller. Je la retourne et elle crie “non” quand ma bite s’introduit entre ses fesses.

Son petit trou est bien fermé, et je dois m’employer pour le forcer. Le conduit serre délicieusement ma mentule. Elle s’est mise une main devant la bouche pour étouffer ses cris., surement pour ne pas alarmer Bernard.

Je regarde les toits de Paris depuis le toit de mon immeuble. La nuit résonne de lourds grondements. Le pas de pieds bottés retentit dans les rues vides.

L’officier allemand s’approche de moi et me demande qui je suis.

-Inspecteur Delbard, bonjour.

Le gars a l’air surpris de rencontrer quelqu’un qui parle sa langue. Mais il me sourit. Il a l’air crevé et sale. Je lui tends un panier avec du vin blanc frais et un peu de pain et de saucisson. Il prend ma carte de policier et sort un petit carnet pour noter mon nom. Je lui tend ma carte de visite.

Le coup de fil est arrivé moins d’une semaine plus tard. Je gagne les locaux de la préfecture et un fonctionnaire chauve m’informe de mon détachement auprès des nouveaux maitres de la ville.

Je vais au 27 boulevard Lannes. Il s’avère que mon officier est un ponte de la SD, leur police secrète, et qu’il a apprécié mon geste spontané. Il m’invite à m’asseoir dans un fauteuil confortable et me tend un cigare. Il me propose d’intégrer la gestapo française, qui commence à naître. Je mets les formes pour refuser, d’abord parce que ces malotrus sont d’anciens truands de la race des vrais nuisibles et que je suis un policier décoré pour avoir abattu un anarchiste qui venait de tuer un banquier.

Je pénètre tranquillement dans le bureau de communication de la police. Cet honorable service a pour but de faciliter les échanges avec l’occupant. Ce n’est que le début.

Auf neuen Wegen 01v18

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Asian

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Vorwort _ Es ist an der Zeit, meinen Nachlaß zu ordnen. Aus den verschiedensten Gründen standen meine Geschichten auf unterschiedlichen Seiten mit wechselnden Pseudonymen. Nun möchte ich die Arbeit von Jahren bündeln. Eine Nachbearbeitung findet nur rudimentär statt.

Alle Personen in dieser Geschichte sind über 18 Jahre alt.

Die ersten beiden Folgen erschienen 2004 nicht unter dem Serien-Titel ‘Auf neuen Wegen’, sondern als separate Geschichten. Ich nehme sie diesmal mit dazu, weil sie das Kennenlernen der Hauptpersonen erzählen.

Die Teile 15 bis 18 sind Erstveröffentlichungen.

Die Durchnumerierung ist neu und mit der ursprünglichen Numerierung nicht mehr vergleichbar.

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Yvonne

Einsamkeit. Rings um mich herum Menschen. Fröhliche, lachende, scherzende Menschen. Die Barfrau schiebt mir ein neues Glas über den Tresen. Es ist sonst nicht meine Art, Schwermut zu ertränken. Aber heute Abend ist das anders. Erfuhr vom schweren Autounfall des Mannes einer guten Bekannten. So jung. Frisch verheiratet. Sie in guter Hoffnung. Auf ihrer Hochzeit warf ich mit Blumen nach ihnen.

Es wird leerer um mich. Ruhe kehrt ein und bald sitze ich allein vorm Tresen. Floh, die Frau, die die Bar macht, gibt mir ein letztes Glas Wein, als sich noch einmal die Tür öffnet. Eine Frau kommt herein. Business-Dress. Wahrscheinlich wie ich Sekretärin, die nach den Überstunden noch einen Drink zum Abschalten nimmt. Sie begrüßt Floh und setzt sich etwas abseits. Die Beiden unterhalten sich kurz, dann macht Floh weiter Kasse.

Eine Zigarette noch, dann will ich gehen. Ich schnippe mit dem Feuerzeug, vergebens. Plötzlich steht die Frau neben mir und gibt mir Feuer. Darf ich? fragt sie und schaut auf den Hocker neben mir. Bitte, erwidere ich. Wir schauen in unsere Gläser, stumm, gedankenverloren. Kummer? Ich schaue sie an und nicke. Und dann erzähle ich ihr was mich bedrückt. Einer Wildfremden. Vielleicht gerade deshalb.

Floh kassiert uns ab und wir helfen uns gegenseitig in die Mäntel. Kalte Luft schlägt uns entgegen als wir die Tür hinter uns schließen. Yvonne, sagt sie und ich antworte, Yasmin. Wir lachen. Wie selbstverständlich hakt sie mich çorum escort unter und zieht mich sanft Richtung Taxistand.

Ich wohne nur ein paar Schritte von hier, sage ich. Wenn du magst, mach ich uns noch einen Tee, oder Kaffee.

Das Teewasser brodelt auf dem Herd, sie schaut sich die Kreuzstiche an, die an der Wand hängen. Von dir? Nein, vorgezogene Erbstücke meiner Mom. Mit den Teetassen und dem Glas Kandis gehe ich rüber ins Wohnzimmer. Yvonne folgt mir, setzt sich gegenüber aufs Sofa. Streift die Schuhe ab und winkelt die Unterschenkel an.

Wir unterhalten uns. Merkwürdig ist es schon, meint Yvonne. Da kennt man sich eigentlich überhaupt nicht, und trotzdem ist da so ein unbeschreibliches Gefühl der Vertrautheit. Ich stimme ihr zu.

Ihr Rock ist etwas hoch gerutscht. Während ich im Büro eigentlich nur Strumpfhosen trage, sehe ich, daß Yvonne Strümpfe trägt. Sie sieht was ich sehe und lächelt. Manchmal reitet mich halt der Teufel, meint sie. Eine ganze Weile schauen wir uns danach stumm in die Augen.

Wir stehen in der geöffneten Balkontür und rauchen. Wir schauen uns an. Sie schupst mich frech mit der Hüfte, ich schupse zurück. Mit einem Mal sind wir uns ganz nah, und ihre Hand berührt zärtlich meinen Arm. Ich schaue tief in ihre Augen, und frage mich, ob ich sie wohl küssen könnte.

Wir gehen zurück ins Zimmer und diesmal setzt sich Yvonne zu mir aufs Sofa. Wir schauen uns in die Augen. Sie streckt mir ihre Handfläche entgegen und ich lege meine darauf. Sie drückt, ich drücke. Mal läßt sie nach, dann wieder drücke ich ihre Hand zur Seite. Wortlose Kommunikation.

Als sie aus dem Bad kommt, stehe ich vor dem Regal, eine CD in der Hand. Sie tritt von hinten an mich heran. Legt ihre Hände auf meine Hüften und atmet in meinen Nacken. Der feine Flaum bewegt sich leicht und ich beuge mich etwas nach hinten um ihrem Körper nahe zu sein. Ich spüre ihre Brüste an meinem Rücken. Ihre Hände wandern von den Hüften nach vorne, liegen nun auf meinem Bauch. Ich lege meinen Kopf in den Nacken und unsere Wangen berühren sich zart.

Mein Frühstück ist eine Katastrophe, höre ich mich flüstern. Kaffee, O-Saft, Früchtemüsli denizli escort ist leider nicht mehr viel da … Ich …

Dann werde ich dich wohl anknabbern müssen, haucht mir Yvonne ins Ohr. Und wie um das zu bestätigen, spüre ich sanft ihre Zähne am Hals.

Das kitzelt. Ich lache auf, entwinde mich ihrer Umarmung und komme endlich dazu die CD in den Player zu schieben. Thelonious Monk ‘London Collection’. Musik, die die Seele berührt.

Ich nehme Yvonnes Hände, schaue ihr tief in die Augen. Ich muß dir noch was sagen. Ich … ich … hmmm … also ich …

Du mußt nichts sagen. Ich bin nicht blind, weißt du? Dir wird nichts passieren, das verspreche ich dir. Hab Vertrauen.

Aus dem Wäscheschrank fische ich eins der überdimensionalen Shirts und lege es auf das mitten im Zimmer stehende Bett. Bin für kleine Mädchen, hauche ich ihr mit einem Kuß auf die Wange.

Während ich beim Zähneputzen bin, öffnet sich die nur angelegt Tür und Yvonnes Kopf erscheint im Türspalt. Darf ich? fragt sie mit einem frechen Lächeln. Mit einer Kopfbewegung fordere ich sie zum eintreten auf. Und schwupps di wupps hebt sie den Deckel, rafft das Shirt und setzt sich. Auf eine bereitgelegte Zahnbürste drücke ich etwas Zahncreme und reiche sie ihr.

Ein Spiegel. Zwei Gesichter.

Sie steht hinter mir. Greift unter meinem Arm hindurch zur Lotion. Mit dem anderen Arm zum Glas mit den Wattebäuschchen. Jedes Mal drückt sie mich dabei gegen die Kante des Waschtisches. Und die drückt gegen meinen Venushügel. Ich quittiere jede dieser Bewegungen mit einem leisen Stöhnen.

Meine letzte Flasche Wein muß dran glauben, eine neue CD von Monk aufgelegt. Im Zimmer werfen Teelichter Schatten an die Wände. Yvonne hat es sich auf dem Bett bequem gemacht. Den Oberkörper an die oberen Gitter gelehnt, die Beine gespreizt.

Ich klettere zu ihr, lege mich zwischen ihre Beine. Mein Rücken drückt sich an sie. Mein Kopf liegt auf ihrer Schulter und die Hände auf ihren nackten Knien. Ihre Hände hat sie unter meine Achseln geschoben, ruhen an den Außenseiten meiner Brüste. Drücken sie leicht zusammen.

Das Bett habe ich schon mal im Fernsehen gesehen. düzce escort Bei ‘Liebe Sünde’ … glaub ich. Es hat einen komischen Namen, soviel weiß ich noch. Es heißt ‘Jail-House-Fuck’, sage ich, und wir brechen in Lachen aus. Und soll ich dir das tollste erzählen? Als die Spediteure es brachten, gab mir einer von ihren mit anzüglichem Grinsen ein kleines Päckchen und meinte, das gehöre noch dazu. Und was war drin? fragt Yvonne. Es waren ein paar Handschellen, sage ich und pruste los. Oha, so eine bist du also … grumpf, murmle ich und knuffe sie mit dem Ellenbogen in die Seite.

Yvonne hat die Knie angezogen. Mit den Händen streichle ich ihre Kniekehlen, die Rückseite der Oberschenkel, bis hoch zum Poansatz. Ihre Hände haben sich inzwischen unter mein Shirt gestohlen, liegen auf meinem Bauch. Mit den Fingern zieht sie die Linien der Leisten nach. Als sie kurz meine Scham berührt stöhnt sie auf. Offensichtlich gefällt es ihr, so haarlos. Sie legt ihre Hände unter meine Brüste, hebt sie an, läßt sie wieder los, hebt sie nochmals an und wiegt sie ein wenig auf und ab. Wie die alte Marktfrau, die so das Gewicht ihrer Ware besser schätzen kann, als ihr Mann es auswiegt, fällt mir ein.

Ich bin nicht mehr ich selbst. Stelle mein Tun nicht in Frage. Keine Hinterfragung. Keine Analyse. Lasse mich treiben ohne zu denken, lebe ganz in meinen Gefühlen. Diese neuen, fremdartigen Empfindungen. Die Situation erregt mich. Wobei mir nicht ganz klar ist, was mir mehr Lust bereitet. Die Körperlichkeit, oder das Kopfkino das Purzelbäume schlägt.

Langsam wird mir die Helle des Raumes bewußt. Sonnenstrahlen wandern unaufhörlich in die Tiefe des Raumes. Bald werden sie das Bett erreichen. Ich denke an den Traum der letzten Nacht. Ein wilder Traum, der, je mehr mir davon bewußt wird, einen wohligen Schauer hinterläßt. Ich habe eine Wildfremde aufgerissen, nahm sie mit in meine Wohnung, und wir landeten im Bett. Fast glaube ich ihren Geschmack noch zu schmecken, die Weichheit ihrer Haut zu fühlen, den Druck ihrer Lippen auf dem meinen und das flinke Spiel ihrer Zunge auf meinem Körper zu spüren. So real, denke ich.

Träge rolle ich mich zur anderen Seite. Heute ist Samstag, da drängelt’s nicht mit dem Aufstehen. Als ich mit der Linken das Kissen zu mir rankuscheln will, habe ich etwas weiches, warmes in den Hand. Etwas, was nicht hier sein sollte. Verschlafen öffne ich die Augen … und sehe in ein lächelndes Gesicht.

Guten Morgen mein Schatz. Na, gut geschlafen?

Susi und Petra Ch. 02

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Big Tits

In der Schule

Am Wochenende unternahm ich nichts weiter. Eigentlich schade, doch ich freute mich die ganze Zeit auf Montag, denn dann würde ich sie ja wiedersehen.

Endlich kam der Tag und ich ging morgens zum Bus, wie es halt so war. Susi ging an uns vorbei, als ob sie uns nicht sah. Vielleicht tat sie das wegen der übrigen Jungs. Als jedenfalls der Bus kam, und wieder ein Gedränge entstand, stellte ich mich hinter sie. Natürlich hatte sie das bemerkt und nur darauf gewartet. Dummerweise schien die Tür vom Bus zu klemmen, und so standen wir mitten im Gedränge, welches keine Ende nehmen wollte. Ich nutzte die Situation aus und umfasste ihre Hüfte. Sofort fing ich an, ihr vorne zwischen die Beine zu greifen, wo ich zu meinem Entzücken ihre Schamlippen fühlte. Sie hatte wieder keinen Slip an!!! Die geile kleine Susi machte mich mal wieder mächtig an. Die Tür ging immer noch nicht auf und keiner merkte etwas von meinem Spiel.

Ich fasste vorn an den Bund ihrer Hose und ließ langsam meine Hand hinein gleiten. Über ihren rasierten Scham, bis mein Zeigefinger genau zwischen ihren Schamlippen war. Ich musste ihn nur noch anwinkeln, und schon steckte er einige Zentimeter in ihr. Sie war feucht, das Spiel hatte ihr genügt, und nun zuckte sie leicht, weil sie ein Stöhnen vermeiden wollte. Ich rieb meinen Finger an der Innenwand ihrer Scheide bis er ganz feucht war und Susi leicht zitterte, dann zog ich ihn raus und nahm meine Hand aus ihrer Hose. Sie drehte sich um, und ich leckte genießerisch meinen Finger ab, was sie sah. Alle anderen hatten nichts davon bemerkt, da sie sich auf die Tür konzentriert hatten, die nun endlich aufging.

Auf dem Weg in Richtung Schule sprachen mich Susi und Petra wieder mal an. “Können wir uns am nächsten Freitag vielleicht bei Petra treffen?” fragte Susi. Doch Petra schlug vor: “Lasst uns das nachher in der Pause besprechen, ja? Denn da vorne gehen ein paar Freunde, die ich nur heute morgen sehe.” “OK,” sagte ich, “wir sehen uns dann in der Pause.”

In der Pause traf ich die beiden im Gespräch vertieft vor dem Vertretungsplan. “Hi. Wie sieht es aus?” fragte ich, wobei ich einen halben Blick auf den Plan warf. Sowas, da hatte ich doch anschließend glatt zwei Freistunden… “Schön. Wir haben jetzt zwei Freistunden!” sagte Petra. “So ein Zufall. Ich auch. Lasst uns nach der Pause wieder hier zusammenkommen, ja?” So kam es dann, dass wir fünfzehn Minuten später wieder dort zusammentrafen. Diverse Leute, die auch Freistunde hatten liefen umher. “Also, nun endlich. Wie war das mit Freitag?” fragte ich die beiden Girls. “Wir können uns bei mir treffen, denn Susi’s Eltern sind an dem Tag da, dafür meine Mutter nicht! Mein Vater lebt nicht mehr bei uns.” führte Petra aus. “Klar, wenn Du mir sagst, wo Du wohnst. Was macht ihr jetzt, wenn ich mal fragen darf?” “Öhm…” Susi druckste herum und Petra wurde ein wenig rot. “Weißt du Stefan, ich habe Petra von Freitag erzählt…” Petra ergriff die Initiative: “Ich will es schon so lange mal mit einem Jungen versuchen, aber ich kenne einfach nicht die Richtigen… da dachte ich, ob Du nicht Lust hättest, dass wir… ein Wenig Zeit miteinander verbringen…” Nun wurde auch ich rot, schließlich liefen hier Leute herum, die ich kannte. Aber ich wurde nicht nur rot, denn in meiner Hose regte sich schon wieder etwas.

Ich fasste beide am Ärmel und zog sie den Flur herunter, ein wenig abseits von etwaigen Mithörern. “So…” raunte ich, “mit einem Jungen willst du es tun. Hast du schon andere Erfahrungen?” Bereitwillig bitlis escort gab sie nun Auskunft, da sie merkte, dass auch ich interessiert war. “Naja,” sagte sie, “gelegentlich fingern wir beide ein wenig aneinander herum. Und selbst habe ich es mir auch schon mal gemacht, aber ich will endlich “richtig” entjungfert werden, wenn Du verstehst?” Als sie das sagte, sah sie mich so lieb an, dass ich es ihr kaum ausschlagen konnte. Außerdem nickte Susi bekräftigend. Es schien ihr nichts auszumachen, dass ich mit beiden schlief.

Plötzlich kam mir ein anderer Gedanke: “Zeigt es mir erst!” “Was?” fragten sie. “Na, wie ihr beide miteinander spielt. Das würde ich zu gerne sehen.” Sie sahen sich an, dann mich. Wahrscheinlich hatten sie mit so etwas gerechnet, denn schon gingen sie entschlossen auf das Mädchenklo zu. “Du kannst hier ruhig rein. Da ist während der Stunden nichts los.” sagte Petra. Wir legten unsere Taschen in der Nähe ab, und betraten das Klo. In den Raum, wo es zu den einzelnen Toiletten geht, blieben die beiden stehen. Ich öffnete eine der Toiletten, um im Notfall in Deckung gehen zu können. Dort stellte ich mich hin.

Sie sahen mich noch einmal an, dann gingen sie aufeinander zu. Beide zogen zunächst ihre Jacken aus, und hängten sie auf. Wie ich nun sah, trug Petra eine Jeans mit Pullover. Mehr konnte ich nicht erkennen. Susi trug ein Schulterfreies Top, welches das obere Drittel ihrer Brüste nicht verdeckte, und darüber ein offenes weißes Hemd. Außerdem besagte schwarze Hose, wo sie, wie ich wusste, nichts drunter trug. Zunächst zog sie sich Schuhe und Strümpfe aus, wobei sie sich in meine Richtung vornüber beugte, damit ich in ihren Ausschnitt sehen konnte. Petra tat es ihr gleich und zog dann sofort ihren Pullover aus. Darunter trug sie nur noch ein Hemdchen, welches ihre Brustwarzen durchscheinen ließ. Sie schien mir ein wenig schüchtern, aber das war ja kein Wunder; schließlich zog sie sich zum ersten Mal vor einem Jungen aus. Susi hatte sich während dessen ihr Hemd ausgezogen, welches sie zu mir rüberwarf. Dann zog sie ihren Top aus, und ihre vollen Brüste wogten auf und ab. Petra tat dasselbe, doch ihre Brüste waren kleiner und fester.

Die beiden gingen aufeinander zu, und Petra beugte sich vor, um Susi’s linke Brustwarze in den Mund zunehmen, während sie mit ihrer Hand in Susi’s Schritt fingerte und ihr dann mit lässiger Bewegung die Hose vorne runter zu ziehen, so dass man Susi’s intimste Gegend sehen konnte. Sofort steckte Petra einen Finger in Susi. Diese streichelte über Petra’s Rücken und öffnete dann ihre Jeans und zog sie runter. Petra war wohl nicht so gut vorbereitet, denn sie trug einen Slip. So einen weißen mädchenhaften mit kleinen Figuren darauf. Vorne hatte sie auch schon einen kleinen nassen Fleck. “Jaaaa…” stöhnte sie. Plötzlich ging die Tür auf. Sofort zog ich meinen Kopf in die Toilette zurück und verschloß die Tür.

“Hey,” hörte ich die Neuangekommene sagen, “macht mal nicht so eine Unordnung hier. Andere wollen den Raum vielleicht sinnvoll nutzen.” Soso, dachte ich bei mir. Scheinbar war es ein übliches Bild, dass Mädchen hier aneinander herumspielten. Das musste ich mir merken, vielleicht könnte man zu späterem Zeitpunkt dieses Wissen einmal ausnutzen. Jedenfalls hörte ich noch, wie das andere Mädchen die Örtlichkeiten benutzte, und dann den Raum verließ. Als ich die Tür wieder öffnete, fand ich die beiden Girls völlig ungeniert nackt auf dem Boden vor. Susi saß mit angewinkelten Beinen auf dem Boden und Petra, noch immer bolu escort im Slip, lag vor ihr, während sie mit ihrer Zunge an Susi’s Klitoris spielte.

Ein absolut geiles Bild, diese beiden zu beobachten. Susi hatte die Augen geschlossen und ihre langen schwarzen Haare fielen über ihre Brüste und ihren Rücken. Sie stöhnte leise und hatte bald darauf einen Orgasmus, welcher sie mächtig durchschüttelte. Es war so geil, dass ich mir selber in die Hose griff. Als Susi das sah, sagte sie: “Hey, lass uns das doch erledigen.” Und Petra ergänzte: “Wie willst du es sonst mit mir machen?” Aus Susi’s Loch lief Flüssigkeit auf den Boden. “Aber nicht hier… Das ist mir doch ein wenig,” ich sah auf die Tür, “zu gefährlich. Zieht euch wieder an, ja?” Ich nahm Susi kurz in den Arm, und gab ihr einen Kuß. Wir spielten kurz mit unseren Zungen, dann ließ ich sie gehen.

Beide zogen sich an, und Susi ging zuerst auf den Flur, um nach Leuten zu sehen. Als die Luft rein war, rief sie mich und Petra heraus, und wir verließen das Schulgelände, wobei ich beiden zunächst um die Hüfte, dann ungeniert auf den Hintern fasste.

Wir gingen einige Schritte, doch wussten nicht so recht, wohin. Wir waren so geil, dass wir es kaum erwarten konnten, uns gegenseitig an die Wäsche zu gehen. Petra fragte: “Wohin gehen wir? Wenn ihr keine Idee habt, würde ich vorschlagen, in die Wohnung meines Vaters. Wisst ihr, meine Eltern leben getrennt, und mein Vater wohnt um die Ecke. Heute ist er nicht da.” Das war natürlich genau der Vorschlag, den wir brauchten. Wir gingen also recht schnell Petra nach, und sie schloß die Wohnung ihres Vaters auf. Sie führte uns ins Wohnzimmer, wo zwei Matratzen auf dem Boden lagen. Eine richtige Kuschelecke. Wir ließen unsere Schulsachen und Jacken auf den Boden fallen, und warfen uns dann auf die Matratzen.

Als wir alle nebeneinander saßen fragte ich: “Womit fangen wir an?” “Wir machen da weiter, wo wir gerade aufgehört haben!” rief Petra, die bereits dabei war, Schuhe uns Strümpfe auszuziehen. Susi war ihr voraus, und bereits bei ihrem Top. Die beiden hatten es wirklich eilig, doch ich wollte natürlich auch nicht länger als nötig warten und fing ebenso an, mich auszuziehen. Susi war bereits nackt, als ich noch bei meiner Hose war. Ich zog sie schnell aus, und stellte fest, dass Petra wieder bei ihrem Slip aufgehört hatte. “Was ist?” fragte ich. “Ich dachte, du solltest vielleicht…” Sie legte sich auf den Rücken, spreizte ihre Beine und hob ihren Hüfte an. Sie streckte mir sozusagen ihren Unterleib entgegen. “Gut.” sagte ich. Ich zog meine Hose aus und setzte mich vor Petra.

Ich umfasste ihre Hüfte, ihre Oberschenkel. Dann küsste ich auf der Innenseite ihrer Oberschenkel entlang nach oben und umfasste den Bund ihres Slips. Langsam zog ich ihn herunter, wobei ich mit meinem Mund seiner Bewegung folgte, und somit mit meinem Mund durch ihr Schamhaar strich. Dann hatte ich meine Zunge zwischen ihren Schamlippen, und begann, ein wenig an ihr herumzulecken, um sie aufzuwärmen. Doch scheinbar war sie noch warm genug, denn sie triefte nur so vor Feuchtigkeit. Jedenfalls drückte ich ihre Hüfte auf den Boden, damit sie entspannt liegen konnte, und spreizte ihre Beine noch ein wenig weiter, so dass ich tief in sie hineinsehen konnte. Doch es fehlte jedes Anzeichen des Jungfernhäutchens. Ich machte sie darauf aufmerksam, aber sie sagte nur: “Du bist doch kein Arzt. Mach es mir jetzt. Glaub mir, du bist mein erster Junge. Ich halte es kaum aus!”

Ich warf einen Blick auf Susi. burdur escort Sie hatte sich neben uns gelegt, ebenfalls breitbeinig, mit einer Hand zwischen ihren Beinen, jedoch so, dass ich alles sehen konnte. Sie fingerte in sich herum und hatte ihre Augen halb geschloßen. Ich küsste Petra noch auf den Bauch und umspielte mit der Zunge ihren Bauchnabel, bevor ich langsam mit meinem Mund höher zu ihrem kam, und folglich mit meinem Steifen immer näher an ihr heißes Loch. Ich wollte es nicht wie bei Susi machen, die ich drei Tage vorher entjungfert hatte, also drang ich vorsichtig in sie ein, während sie scharf Luft holte. Ich steckte bereits halb in ihr, als ich einen kleinen Widerstand spürte. Entschloßen, aber nicht schneller stieß ich weiter in sie hinein und sie nahm es ganz tapfer hin. Als ich endlich in ihr war, hörte ich ein lautes Stöhnen von Susi, die bereits ihren zweiten Orgasmus hatte und sich ein wenig erschöpft auf den Rücken legte. Ich begann, mich in Petra zu bewegen und sie jauchzte vor Freude: “So schön habe ich es mir lange nicht vorgestellt. Es ist ganz anders als mit dem Finger! Mach weiter…” Ich stieß kräftiger hin und her, was bewirkte, dass ihre Brüste sehr erotisch im Takt hin und her wippten. Außerdem hatte sie ein so glückliches Gesicht, dass meine letzten Zweifel schnell schwanden. Ich verlangsamte meine Bewegungen, denn sie schien noch nicht zu kommen, doch dann sagte sie: “Mach so weiter wie eben.” Ich tat es dann wieder schneller und merkte, wie sie immer schneller atmete. Dann kam sie äußerst heftig. Sie atmete so lange aus, dass ich mir beinahe Sorgen machte. Nach einigen Stößen kam ich in ihr und spritze in sie alles hinein, was sich über den geilen Vormittag ausgestaut hatte. Sie sah dabei so glücklich aus!

Beinahe hatte ich Susi vergessen, die mit geschlossenen Augen neben uns lag. Sie hatte ihre Finger noch immer in ihrem Loch, welches wirklich sehr nass war. Ihre Finger waren verklebt und auch die Matratze hatte bereits einen großen nassen Fleck. Ich verließ Petra, welche mich freudig ansah. “Danke Stefan. Es war wirklich einfach geil!” “Gern geschehen, meine Süße.”

Susi sah mich an: “Hey, es war nur ein Gefallen, oder?” Ich legte mich zwischen die beiden. “Ich habe euch beide gerne. Und ich tue es gern mit beiden von euch!” Susi drehte ihren Kopf zu mir: “Dann tu es. Ich brauche dich in mir.” Sie sah auf meinen Freund, der verschmiert von Petra’s Säften schlaff herunterhing. Dann nahm sie meine Hand, und führte sie zwischen ihre Beine, wo es extrem nass war. Ich führte meine Zeige- und Mittelfinger ein paar Mal ein und aus ihr heraus. Dabei fing mein Freund wieder an, sich zu rühren. Ich kroch tiefer an das Fußende, und legte meinen Kopf zwischen ihre Beine. Diesmal wollte ich es ihr mit dem Mund machen. Ich näherte mich ihr und leckte mit der Zunge über ihre Schamlippen. Sie schmeckten interessant, ein wenig salzig aber irgendwie machte es mich an. Dann umschloß ich ihr Loch mit meinem Mund, und führte meine Zunge so tief in sie hinein, wie ich konnte. Mein Schwanz war inzwischen schon wieder steif geworden und ich merkte plötzlich, wie er von Petra’s Hand umschloßen wurde. Sie kam natürlich etwas schlecht dran, da ich auf dem Bauch vor Susi lag, aber das störte nicht weiter, denn Petra war immer noch ein wenig erschöpft. Ich leckte mit meiner Zunge heftig in Susi herum, bis sie erneut kam.

Wir lagen eine Weile einfach nur da, und genoßen unsere Geilheit, bis wir dann zusammen unter eine Decke krochen, wo ich beide in den Arm nahm. Irgendwann sagte Susi: “Haben wir keine Schule mehr?” “Die kann heute warten…” sagte ich, und küsste sie.

Ich bin weiterhin dankbar für jedes Feedback. Teil 3 ist in Vorbereitung, ebenso eine ganz andere Geschichte. Bleibt weiterhin treue Leser! Euer Stefan

Kissed a Girl

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Anal

Zu dieser Geschichte habe ich eigentlich nur eine Anmerkung: Es geht um Gefühle und weniger um Körperlichkeiten. Wenn eine Story ohne expliziten Sex für dich also Zeitverschwendung ist, kannst du mit dem Lesen an dieser Stelle aufhören.

Für mich ist es einfach ‘mal was anderes’. Und außerdem musste ich die Geschichte schreiben, denn sie drängelte sich dazwischen, als ich eigentlich gerade was anderes bearbeiten wollte.

Die Schuld trägt jemand mit dem Pseudonym Boelker, der mich um ein paar Ecken auf die Idee brachte.

—–

Thomas reckte den Arm nach oben und schlagartig herrschte Stille im Klassenraum.

Die hitzige Diskussion zwischen Mädchen und Jungs hatte mit einem Mal ein Ende und alle starrten seine Hand an. Oder genauer gesagt das, was sich darin befand.

Auf dem Bildschirm des Smartphones war das Innere einer Disko zu erkennen. An einer Säule, direkt vor der Kulisse der Körper auf der Tanzfläche, standen zwei Frauen. Sie redeten. Aber es war entweder ein sehr vertrauliches Gespräch oder doch schon fast etwas ganz anderes.

Tina wurde rot, als sie die Szene sah. Sie erkannte die gefilmte Situation natürlich sofort. Immerhin war sie eine der Hauptdarstellerinnen. Und abgesehen davon würde sie diesen Abend bestimmt auch aus anderen Gründen nicht so schnell vergessen.

Was nun leider auch für alle ihre Klassenkameraden galt.

Die versammelten Schüler der Abschluss-Klasse des Gymnasiums starrten wie hypnotisiert auf die Aufzeichnung. Selbst dem größten Trottel und Spätzünder konnte nicht entgehen, wie sich die Finger der beiden Frauen vorsichtig fanden. Den meisten entging allerdings ziemlich wahrscheinlich die tatsächliche Dynamik.

Schreckensstarr musste auch Tina hinsehen und sich selbst eingestehen, dass es wie ein absolut einvernehmlicher und von beiden Seiten forcierter Flirt wirkte. Und irgendwie… war das ja auch nicht wirklich die Unwahrheit.

Vor einem Gericht hätte ihr die Wahrheit jedenfalls nicht den Hals gerettet.

Aus den Lautsprechern des Smartphones war passenderweise ‚I Kissed a Girl’ von Katy Perry zu hören, als die andere Frau ihren Kopf langsam auf Tina zuneigte. Natürlich war da so. Und es war auch kein Zufall. Damit hatte schließlich die ganze Sache angefangen.

Gebannt sah sie dabei zu, wie die etwas ältere Frau ihr eigenes Alter Ego auf dem Bildschirm offenen Auges küsste. Sie erinnerte sich an ihr rasendes Herz, als das Gesicht näherkam. Und an den Sekundenbruchteil des Zögerns der anderen, kurz bevor es passierte.

Es war der Moment der Wahrheit gewesen. Die letzte Chance, noch einen Rückzieher zu machen. Und Tina hatte sie völlig ungenutzt verstreichen lassen.

Sie hatte der Berührung entgegengefiebert. Und selbst jetzt noch spürte sie das Kribbeln wie von einem kleinen Stromschlag, als es dann passierte. Noch heute stockte ihr der Atem.

Der Kuss hatte so unendlich sanft begonnen und dann in einer fließenden Minute völliger Harmonie stetig an Leidenschaft zugenommen. Bis sie sich nicht nur in den Armen der Frau wiederfand, sondern diese Geste auch rückhaltlos erwiderte.

Die Musik brach ab und Tina schaffte es rechtzeitig aus der Erinnerung zurück in die Gegenwart, um zu sehen, wie sich alle ihr zuwandten. Sie schluckte.

Der vorherrschende Ausdruck war Unglaube. Aber da war auch eine Menge Abscheu und Verachtung. Zu viel, als das sie es ertragen konnte.

Als sie die Flucht ergriff, rief ihr Thomas nach: „Es ist übrigens aus mit uns!”

Falls er noch etwas sagte, ging es im allgemeinen Ausbruch von Diskussionen unter.

Tina rannte. Sie floh vor den anklagenden Blicken. Vor den Fingern, die auf sie zeigen würden.

Weil sie ihren Freund betrogen hatte. So wie er es vor fünf Minuten behauptete und damit einen allgemeinen Streit vom Zaun brach. Einen Streit zwischen den Jungs, die zu ihm hielten und den Mädels, die zu ihr hielten. Obwohl sie alle gar nichts wussten.

Aber sie lief auch vor dem weg, was danach in den Blicken stehen würde. Der Unglaube und die Ablehnung, weil sie eine Frau geküsst hatte. Und zwar nicht aus einer Partylaune heraus, wie jeder gesehen hatte.

Tina wusste, wie das lief. Lesben waren okay, solange sie ganz woanders existierten. Aber als eine von ihnen war das keinesfalls akzeptabel. Die Mädels würden sie von nun an nur noch mit der Kneifzange anfassen. Und die Jungs würden sie verabscheuen.

Die bislang so beliebte Tina war nun dank eines zweiminütigen Videos eine ‚Persona non grata’. Und wenn die ersten Eltern Wind davon bekamen, würde die Sache nur noch schlimmer werden.

Sie wusste all das, denn keine drei Jahre zuvor hatte sie es hautnah miterlebt. Und selbst dabei mitgeholfen…

*****

Carina plumpste schockiert zurück auf ihren Stuhl, als sie das Video sah. Sie konnte es nicht fassen.

Da waren Tina und eine wildfremde Frau. Und sie küssten sich. Und zwar so, als würden sie es verdammt ernst meinen.

Als Thomas sein Handy senkte, war sofort der Teufel los. Alle diskutierten aufgeregt über das, was sie gerade bursa escort gesehen hatten. Nur Carina war wie betäubt.

Tina war seit zehn Jahren ihre beste Freundin. Und sie hatte ihr nichts gesagt. Nicht einen Ton.

Das war hart…

Vage bekam sie am Rande mit, wie sich die allgemeine Stimmung gegen Tina verfestigte. Wo die Mädchen zuvor schon aus Solidarität zu Ihresgleichen gehalten hatten, war man sich nun geschlechtsübergreifend einig, dass Tina ihren Freund betrogen hatte.

Wäre sie nicht so schockiert gewesen, hätte die Achtzehnjährige sich vielleicht eingemischt und darauf hingewiesen, dass der ‚arme’ Thomas ganz sicher einige Seitensprüngen mehr auf seinem Konto hatte. Aber für den Moment war sie einfach zu geplättet.

Als Herr Weigand eintrat und versuchte, das Chaos zu übertönen, wusste Carina sehr genau, dass sie keinesfalls am Unterricht teilnehmen konnte. Sie musste nachdenken. Und…

Ja. Sie musste mit Tina reden. Sofort!

Aber die war, wie sie plötzlich feststellte, verschwunden.

Es war nicht schwierig, hinter dem Rücken des überforderten Lehrers aus der Klasse zu schlüpfen. Kompliziert wurde es erst dann.

Tina war geflohen. Aber wohin?

Ganz bestimmt nicht an einen Ort, an dem irgendwer sie vermuten würde. Sie lief vor den hämischen Stimmen und anklagenden Fingern ihrer Klassenkameraden davon. Also musste sie sich irgendwo verstecken, wo sie niemand vermuten würde.

Carina atmete tief durch. Sie musste systematisch an die Suche herangehen. Auch wenn das eigentlich eher Tinas Stärke war.

‚Denke wie dein Feind’, erinnerte sie sich an irgendetwas Belangloses aus dem Geschichtsunterricht.

Sie musste denken wie Tina. Und das bedeutete, dass die naheliegendste Möglichkeit für jeden anderen Menschen – nämlich Zuhause – sofort ausschied. Bei Tinas übervorsorglicher Mutter wäre das eine Flucht vom Regen in die Traufe gewesen.

Konzentriert ging sie die sonstigen Plätze durch, die irgendwie Privatsphäre boten. Aber die konnte sie alle abhaken, denn dort lief Tina Gefahr, irgendwem zu begegnen.

Und nach der Enthüllung von gerade, würde Tomas vermutlich nicht zögern, das Video allen Bekannten zu schicken. Also war die Stadt für Tina wie ein Minenfeld.

Außer sie würde sich auf den Weg zu ihrer geheimnisvollen Freundin aus dem Video machen…

Carina keuchte bei dem Stich, den ihr dieser Gedanke versetzte. Die Vorstellung, ihre beste Freundin würde in die Arme einer anderen flüchten war… schrecklich.

Sicherlich war sie selbst auch verletzt, weil sie nicht eingeweiht worden war. Aber trotzdem musste Tina doch wissen, dass ihre allerbeste Freundin sie niemals im Stich…

Das war es!

So überraschend, dass ein vorbeilaufender Lehrer den Stapel Papier auf einem Arm fallen ließ, machte sie einen Satz und stürmte los. Sie blickte nicht einmal zurück, als in mahnendem Ton ihr Name gerufen wurde.

Es gab einen Ort, an den sich niemand aus der Oberprima freiwillig begab. Niemand. Nicht einmal Tina. Nur Carina, die sich dort einfach wohlfühlte.

Wenn ihre Freundin vor allen auf der Flucht war, aber auch nur vage darauf hoffte, von ihrer besten Freundin gefunden zu werden, dann war sie todsicher exakt dort.

Als die Achtzehnjährige ihr Ziel erreichte, musste sie sich allerdings eingestehen, dass die Suche ein wenig schwierig werden mochte.

Das Gymnasium hatte Zugriff auf eine gigantische Bibliothek direkt im Nachbargebäude. Es war zugleich die Stadtbücherei und der Studienort für eine Hochschule und eine Universität. Und eine Art Museum obendrein.

Weitläufig und aufgrund des historischen Gebäudes sehr verwinkelt konnte man sich fast in den Gängen verlaufen.

Carina suchte eine knappe Stunde lang zunehmend mutlos nach ihrer Freundin. Es bestand ja immerhin die Möglichkeit, dass die gar nicht hier war.

Erst dann passierte etwas, was ihr die zündende Idee einbrachte. Und es war nichts anderes als ein klingelndes Handy.

Natürlich waren laute Klingeltöne in der Bibliothek verboten. Aber niemand interessierte sich wirklich dafür, wenn es nicht überhandnahm. Und Tina dachte vermutlich gar nicht groß daran. Falls sie nicht von verächtlichen SMS und Anrufen anderer Schüler bereits so genervt worden war, dass sie ihr Handy abschaltete.

Carina hoffte auf das Beste und drückte, ohne hinzusehen, in ihrer Tasche die Tastenkombination, die sie in- und auswendig kannte.

Und tatsächlich hörte sie in der Ferne – ganz gedämpft – die vertraute Melodie von Carly Rae Jepsens Überraschungshit des Jahres.

Wie ein Bluthund auf der Spur eines Verbrechers schoss sie davon.

*****

Tina war am Ende. Sie konnte nichts anderes mehr tun, als zu heulen.

Wie ein Scherbenhaufen lag ihr Leben vor ihr. Alle Zukunftspläne zerschmettert. Und das alles nur wegen einer Dummheit.

Nein… Wegen eines Dummkopfes!

Tina versuchte, ihren Ausrutscher mit der Frau zu bereuen. Aber das schaffte sie nicht. Dafür war die Erinnerung zu… schön.

Und çanakkale escort sie hatte ja auch nicht mehr getan, als ihr sogenannter Freund. Sie hatte nicht mehr getan, als Gleiches mit Gleichem zu vergelten. Wieso war sie nun auf einmal die Böse?

Dass sie es war, zeigten die verschiedenen SMS, die sie im Verlauf einer Stunde bekommen hatte. Jeder, der ihre Handynummer kannte, schien informiert zu sein. Und jeder musste ihr unbedingt mitteilen, was für eine Schlampe sie doch sei.

Sie hatte sich nur die ersten Nachrichten angesehen. Aber das Handy wollte gar nicht mehr aufhören, Signaltöne von sich zu geben. Bis sie die Benachrichtigung für Textnachrichten abstellte.

Aber dann fand sie sich in der Stille der Bücherei wieder und es gab nichts mehr, was sie ablenken konnte. Es gab nur noch die hässliche Zukunft und sie.

Tina wusste, wie ihre Mutter reagieren würde, wenn sie von der Sache Wind bekam. Jungs waren schon ein Grund für stundenlange Streits mit viel Geschrei. Obwohl sie volljährig war, behandelte ihre Mutter sie in dieser Hinsicht wie ein Kleinkind.

Wenn nun auch noch Frauen dazu kamen, würde sich Tina vermutlich in irgendeinem Internat wiederfinden. Irgendwo, wo es legal war, Töchter bis zu ihrem Lebensende einzusperren. Oder wenigstens, bis sie einundzwanzig waren. Oder so…

Aber wenigstens würde ihr das dann ersparen, mit ihren ehemaligen Freundinnen zusammen zu studieren. Also war es vielleicht sogar ein Lichtblick.

Die Vorstellung, die nächsten Jahre immer zu ahnen, was hinter ihrem Rücken getratscht wurde, war jedenfalls der blanke Horror. Sie konnte es hören, als wäre es schon soweit…

„Das? Ach das ist die Schlampe, die ihren Freund mit einer Lesbe betrogen hat. Ist jetzt selbst lesbisch. Tragisch…”

„Bin ich lesbisch?”, fragte sie sich in ihrer Verzweiflung.

„Keine Ahnung”, antwortete die Stimme von Carina. „Bist du?”

Tina zuckte gehörig zusammen und schaffte es dank des Schreckens sogar, ihre Weinkrämpfe kurz hinter sich zu lassen. Durch den Tränenschleier sah sie ihre beste Freundin – oder ehemals beste Freundin? – den schmalen Gang entlangkommen, der zu ihrem Versteck führte.

Natürlich fand Carina sie. Das hier war eines ihrer Leseverstecke. Hinter einem schweren Bücherregal war der kleine Raum mit nicht mehr als einer Handvoll Quadratmeter vergessen worden. Hier hatte man alle Ruhe, die man sich wünschen konnte.

Aber… Wollte sie nicht auch gefunden werden, indem sie hierher floh?

„Hasst du mich jetzt?”, fragte sie. Es klang schrecklich erbärmlich.

„Bis gerade schon ein kleines bisschen”, antwortete Carine nun viel näher und schniefte. „Aber jetzt kann ich nicht mehr.”

Dann nahm sie ihre Freundin in die Arme und Tina ließ zu, dass ihr die Tränen wieder ausbrachen. Sie klammerte sich voller Verzweiflung an den wahrscheinlich einzigen Menschen, der noch zu ihr stand, und ließ alles heraus.

Eine gute halbe Stunde später hatte sie sich wieder etwas besser im Griff. Noch immer niedergeschlagen, aber nicht mehr akut suizidgefährdet, saß sie Carina gegenüber und stand ihr Rede und Antwort.

Das war das Mindeste, was sie für ihre einzige Freundin tun konnte.

„Also? Warum hast du es mir nicht erzählt?”, kam die naheliegende Frage zuerst.

„Ich wollte…”, antwortete sie kleinlaut. „Ich schwörs!”

„Aber?”

„Naja… Erinnerst du dich, als ich am Sonntag anrief?”

„Klar. Du wolltest frühstücken, aber ich war hundemüde, weil…”

Carina stockte und ihre Kinnlade klappte nach unten. Tina setzte ihren Satz fort.

„Weil die blöde Leckschwester in der Wohnung über euch es die ganze Nacht mit einer Neuen getrieben hat, die sich vor Begeisterung gar nicht mehr eingekriegt hat”, zitierte sie Carinas Worte ziemlich genau.

Carina sah aus, als hätte man ihr gerade den Beweis für außerirdisches Leben auf ihrem Zimmerkaktus vorgelegt.

„D-das warst…?”, stammelte sie schockiert.

Tina blickte zu Boden und fühlte, wie sie knallrot wurde.

„Das war ich…”, flüsterte sie und nickte.

„Oh mein… Gott…”, japste ihre Freundin. „Wie… Wie konnte das passieren?”

Trotz ihrer Niedergeschlagenheit und Verzweiflung – und trotz ihrer grenzenlosen Scham – musste Tina lächeln.

Allein die Erinnerungen an diese Nacht und die Freundschaft von Carina machten ihr Leben noch lebenswert.

„Willst du das wirklich wissen?”, flüsterte sie vorsichtig.

„Worauf du einen lassen kannst!”

*****

Tina war stinksauer. So hatte sie sich ihren Abend in der Disko ganz bestimmt nicht vorgestellt.

Nicht nur, dass Carina auf ihre kleine Schwester raufpassen musste und nicht dabei sein konnte. Nein. Sie musste auch noch ausgerechnet an diesem Abend erfahren, wie wenig ihr Freund Thomas von Treue hielt. Ganz fantastisch!

Wäre es nicht so schmerzhaft gewesen, wäre es schon fast komisch. Er war wirklich so dämlich, in aller Öffentlichkeit vor seinen Freunden damit zu prahlen wie er sie mittlerweile çankırı escort fünf Mal betrogen hatte. In allen Einzelheiten.

Und einige dieser Einzelheiten deckten sich ganz gut mit kleinen Ungereimtheiten, auf die sie zuvor nichts gegeben hatte. Ebenso wie mit ein paar vorsichtigen Verdächtigungen, die Carina hier und da von sich gegeben hatte.

„Dieser Scheißkerl!”, fluchte sie laut und stampfte mit dem Fuß auf.

„Das sind sie alle”, antwortete eine sanfte Frauenstimme von der Seite.

Tina zuckte zusammen. Sie hatte nicht bemerkt, dass eine Frau sich neben ihr an die Säule lehnte.

Ein wenig misstrauisch hob sie den Kopf weit genug, um aus der Deckung ihres herabhängenden Haars einen Blick zu riskieren. Aber die Heimlichkeit hätte sie sich sparen können, denn die Fremde hatte den Kopf in den Nacken gelegt und die Augen geschlossen.

Staunend betrachtete sie die Frau, die offenbar von der Tanzfläche kam.

Sie war eindeutig schon älter. Vielleicht schon Ende zwanzig. Und sie hatte eine Aura der Selbstsicherheit, um die Tina sie sofort beneidete.

Die Fremde hatte schwarze Haare und einen südländischen Touch. Sie trug ein unwahrscheinlich tief dekolletiertes, rückenfreies Kleid in Schwarz und hohe, gleichfarbige Stiefel. Beides ganz eindeutig nicht von der Stange, sondern eher aus direkt aus der Kollektion eines Modedesigners.

Mit einem Anflug von Neid bemerkte Tina, wie unwahrscheinlich gepflegt und verführerisch diese Person auch verschwitzt noch aussah. Ihr Makeup war offensichtlich beste Qualität und zeigte keine Ermüdungserscheinungen. Oder trug sie keines…?

Nein. Diese Augenpartie war unmöglich natürlich.

Perfekte Wimpern. Wunderschön geschwungene Augenbrauen. Fantastische Locken, die selbst offen optimal lagen. Und dazu ein Traumkörper, den sie wie selbstverständlich zur Schau stellte.

Obwohl offensichtlich war, dass sie keine Unterwäsche trug, war an ihr nichts billig. Gäbe es bebilderte Wörterbücher, wäre ihre Abbildung neben dem Begriff ‚Klasse haben’ gewesen.

So eine Frau würde Thomas ganz sicher nicht betrügen.

„Tapp nicht in diese Falle, Süße”, sagte die Frau und lächelte.

Tina hatte nicht bemerkt, wie sie sich ihr zugewandt hatte. Hatte sie erkannt, wie die Schülerin gestarrt hatte? Wie peinlich!

Moment… Hatte sie etwa laut gedacht?

Erschrocken hob sie den Kopf.

Die Frau lächelte ein wenig, als sie Tinas offensichtlichen Schrecken sah.

„Du hast nicht laut gedacht, falls du dich das fragst”, sagte sie. „Aber du hast uns beide vergleichen, nicht wahr?”

Tina schluckte trocken und nickte.

„Und du hast dir gedacht, dass er sich mit mir keinen Blödsinn erlauben würde.”

Auch wenn es keine Frage war, nickte sie ganz automatisch erneut.

„Siehst du? In diese Falle sollst du nicht tappen. Nicht du bist schuld, sondern er.”

„Aber…”, wollte Tina widersprechen.

Die Frau drehte sich an der Säule und wandte sich ihr zu. Ihr Finger legte sich auf die Lippen der Schülerin.

„Du bist perfekt so, wie du bist, Süße. Wenn er zu dumm ist, zu erkennen, was er an dir hat, ist das sein Pech. Dutzende von Männern und so einige Frauen stehen bereits Schlange, um seinen Platz einzunehmen.”

Der Blick aus den dunklen Augen – die gut als Vorzeigebeispiel für ‚Smokey Eyes’ geeignet waren – ging Tina durch und durch. Sie verlor völlig den Faden ihrer Argumentation und konnte so oft schlucken, wie sie wollte – ihre Kehle blieb trocken.

„Frauen?”, piepste sie und klang wie ein Kleinkind dabei.

„Natürlich, Süße”, erwiderte die andere. „Für eine Schönheit wie dich würde ich schon über ein paar Leichen gehen.”

„Aber… Ich bin doch gar nicht…”, plapperte Tina völlig irritiert drauf los.

„Lesbisch?”

Sie nickte.

„Na und?”

In diesem Moment legte der DJ das Lied von Katy Perry auf und die Fremde lächelte. Ihr Blick sagte so etwas wie: ‚Siehst du?’

Wieder musste Tina hart schlucken. Ihre Beine schienen plötzlich aus Wackelpudding zu bestehen. Und in ihrem Bauch kündigte sich entweder gerade ihre Regel an oder ein Bienenschwarm feierte eine Party.

„I kissed a girl just to try it”, trällerte es aus den Boxen. „Hope my boyfriend don’t mind it.”

An dieser Textstelle blieb sie für einen Moment hängen und musste daran denken, was Thomas sich alles herausgenommen hatte.

„Mein Boyfriend kann mich mal”, rutschte es ihr raus.

Die andere Frau lächelte. Aber es war ein anderes Lächeln als zuvor.

Ihre Augen verengten sich ganz leicht und ein Glitzern lag darin. Sie näherte sich, ohne sich zu nähern. Auf einer anderen Bewusstseinsebene war sich Tina vage im Klaren darüber, dass in Wahrheit sie ihren Kopf eine Winzigkeit neigte. Dass sie die Einladung aussprach. So als wäre sie mit einem Jungen unterwegs und… wollte geküsst werden.

Nur dass der Junge eine wunderschöne Frau war, die jeden Mann… oder auch jede Frau haben konnte. Und die sich trotzdem für die kleine Tina entschieden hatte.

Heilige Scheiße fühlte sich das gut an!

Als die Frau sich langsam zu ihr neigte, konnte Tina die Augen nicht offenhalten. Sie wusste nicht, dass sie in diesem Moment bereits gefilmt wurde. Sie wusste nur, dass sie sich nach nichts mehr sehnte, als nach der Berührung der Lippen dieser Fremden.

Curiosity Pt. 02

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Asian

I slowly came to consciousness the next morning. I was lying on my side and Jacquie, yes she’d stayed the night, was still asleep, lying on her back. My head was on her shoulder, my right arm was draped over her tummy.

—————————

The day before, after we’d showered, where I’d introduced her to the delights of a power shower with a pulse mode setting, I’d suggested we make more coffee and head out to the garden. Having dried each other we walked out of the bathroom and Jacquie went to walk across the hall to my bedroom.

“What do you need from there, hun?” I asked.

With her lovely soft North East accent she replied, “Well, I’ll need my skirt, pet.”

I took her hand. “Why? There’s only you and me here. Be free for the day.”

She looked at me, her face a little worried. “But… what if someone sees us in your garden?”

“They won’t. I’m not overlooked. I have a hot tub and nobody’s ever seen me when I use it. Come on hun. It’ll be fun to spend the day naked. The weather is glorious. Let’s make the most of it.”

She didn’t look too convinced but put on a smile and said, “Okay pet. But I don’t promise I won’t put something on if I’m too self conscious.”

I left that comment alone. We could discuss her insecurities at another time. I led her out to the deck once more and picked up the cafetiere and cups. I made more coffee and took it all back out to find Jacquie sitting there with a cushion on her lap.

I set the stuff down and sat next to her. I smiled and kissed her softly, she returned the kiss with genuine feeling and I went to take the cushion off her. She pulled back and broke the kiss.

“I’m… I don’t know. I’m a little shy. I know it makes no sense. Sorry.”

“Why shy? I think I’ve seen most of you already, hun.”

“Yeah, I know pet, but… I’m very self-conscious of my tummy, my bum, my…”

I stopped her with a brief kiss. “You have a very sexy body, you’re just not used to thinking of it, or even looking at it, in the right way.”

She was genuinely intrigued. “How do you mean?”

I had a thought. “Come with me.”

I took her through to the bedroom and opened one of my wardrobe’s looking for a particular dress. I got it out and said, “Let’s put this on you?”

She took a look at it and said, “You’re allowing me to not be naked? That’s quite a close fitting dress and really short by the look of it. I can’t carry that off, pet.”

I smiled. “Hun you don’t have to ask permission. If you want to be dressed you can. If you want me to be dressed, I will be, but I’d rather stay naked if that’s okay? No, this is for another reason. Come on, let’s put it on.”

It’s a pale green, form fitting, sleeveless dress that comes to about mid thigh. The colour wasn’t exactly right for her, but that wasn’t the point. It’s made of a stretchy material that also shapes and contours.

She allowed me to help her with it, pulling it over her head and then adjusting and smoothing. Once I was satisfied I said, “Now, the problem most people have is that they don’t look in the right way. You stand in front of a mirror without thinking how others might see you. What’s sexiest about you is your profile.”

I opened the cupboard with the full length mirror and said, “Now, stand sideways on and look at yourself and tell me what you see?”

The dress did have a slight smoothing effect on her belly but not a ridiculous amount. That would be uncomfortable.

She did as I asked and said, “I see my belly and my fat arse.”

I giggled. I stood on her opposite side from the mirror and put one hand just below her breasts and the other on the middle of her back. I then slowly stroked down both hands, following her contours.

“I see a beautiful set of curves, hun. Push your bum out a tiny bit… right. See how your back and tummy flow smoothly together. Your bum isn’t enormous, it’s sexily shaped.”

“You… you think I look good?”

“I think you look amazing.”

She smiled. “Okay, pet. You win. I’ll be naked with you.”

As I helped her remove the dress she said, “I like what that dress did for my shape. Maybe I should get myself a corset or something?”

I waggled my eyebrows. “Mmm. I love the idea. Maybe get one with a built in suspender belt and wear stockings too?”

“God. I haven’t worn stockings in years. I’ll have to shave my legs properly.” She took a deep breath and added. “I’ll do it. For you.”

I placed a soft kiss on her lips, which she returned with passion as I let the dress drop on the bed.

“Do it only if you want, hun, but I’d love to see it. With your colouring either go white, black or… maybe a violet colour?”

We walked back through to the deck and finally drank our coffee and nibbled on cookies. Jacquie didn’t pick up the cushion and we just basked in the sunshine and chatted amiably. She finally seemed to be comfortable with being naked, at least with me.

We spent the afternoon just being together.

She finally said, “I suppose I should get afyon escort dressed and head home. I need to eat some dinner.”

I kissed her and said, “I can always fix something to eat, hun. You’re welcome to stay the night if you like.”

Her face lit up but she said, “That sounds lovely but I don’t want to put you to any trouble, pet.”

“Don’t be silly,” I replied, “It’s as easy to make dinner for two as it is for one. Please? I’d love for you to stay.”

She’d relented and I’d fixed us a light meal. I’d set the hot tub to fill before we ate and once we’d finished we walked back out and climbed in. I switched the bubbles on and I told Jacquie to move over one of the outlets, which I also did. I love the feeling of the bubbles of air between my legs and I watched as Jacquie felt the warm rush against her pussy.

“Oh my. Will this thing make me come, pet?”

I smiled. “If you let it, yes.”

We leaned against each other and kissed deeply. As the bubbles worked their magic I took one of her nipples in my fingers and slowly stroked and squeezed. I felt her fingers mirror me and after several minutes she broke the kiss and called out.

“Oh fuck. Fuck. I’m so close.”

My own orgasm wasn’t far away but I focussed on her, letting my hand drop down between her legs and circling gently around her clit.

She started shuddering and I felt her sink a little into the warmth as she called out. “Oh, oh, oh, yes! Yeeees!”

As she came I kissed her deeply, holding on to her. When she calmed down she didn’t say a word, just kissed me and then I felt her fingers on my clit, sliding either side, up and down. It was pretty much all I needed. I was suddenly filled with heat and a rush from inside and out of my pussy. As I came I felt a finger slide into me and her thumb stroked my clit. It went on forever, wave after wave of gorgeous sensory overload. As it started to recede she slowed and stopped. The bubbles were still giving me little aftershocks.

She kissed me softly and then said, “Oh pet. I love making you come. I think it’s my new favourite thing.”

I smiled into her beautiful eyes. “And I have to say you’re very good at it. A fast learner. That was delicious. Thank you.”

We moved off the bubbles and eventually I turned them off and we got out and I set the tub to drain. We went through, locking the French doors behind us, got towels and dried each other and then went to bed where we just cuddled and kissed until I fell into a dream filled sleep.

—————————

I gently pulled the covers up and away, revealing Jacquie’s naked body, her left leg out to the side. I could feel her calm breathing. I idly traced my fingers through her thick, dark bush, finding that her clit was, not surprisingly, hidden by her hood. I brought my finger up to my lips and wet the tip, returning it to her clit and circling slowly. I was rewarded with a soft sigh and for a moment I thought she’d woken up, but her breathing was still fairly steady so I continued to circle softly and I felt her clit slowly swell under my touch.

I didn’t hurry anything, I just continued my stroking and from my viewpoint I saw her nipples crinkle up. Now her clit was significantly larger and I felt tingles in my own pussy just at the whole eroticism of the moment.

After several minutes I felt and heard her take a deep breath and she said with sleep filled lust, “Oh… what a wonderful way to be woken up.”

I lifted my head up and, without stopping my movements, said, “Good morning babe,” and kissed her softly. She returned the kiss with passion and the kiss deepened

I felt her hips sink into the bed and then lift back up to my touch so I sped up my movements just a little.

“Oh, pet. I was close when I woke up now… oh god. I’m… I’m coming.”

She started shaking and her arm pulled me closer into our kiss. I slowed a little and then stopped for a couple of seconds before starting again, which served to make her orgasm build further.

She broke our kiss and cried out, “Oh fuck. Yes. Yes. God.”

I slowed down as her shaking subsided and finally stopped.

She blinked her eyes. “I don’t think I’ve ever been woken so beautifully. Thank you. God, I haven’t had this many orgasms in years.”

I kissed her softly. “I am so happy to have made you happy and, I sense, sated your curiosity and dampened your fears, at least a little.”

In response she kissed me on my shoulder then moved down to take a nipple in her mouth, grazing it gently. I sighed with pleasure as she then carried on kissing down over my tummy. We were now head to toe. Well… perhaps pussy to mouth? She moved herself over me and I looked at her wetness and glistening thatch of hair as I felt her mouth cover my clit and her tongue started circling. I reached up and pulled on her hips, pulling her down to me. Sixty nine can be awkward because of the focus you need while also being pleasured, but this was so natural. I parted her lips and aydın escort she pressed gently down onto my mouth. Her clit was still engorged and when I started sucking and licking she moaned into me. I felt her fingers at my entrance and so I mimicked her. As her fingers slid into me I slid mine into hers. The sound of her tasting me and the sounds of our wetness combined with my already heightened state meant that I could feel my orgasm about to burst forth. Sensing this Jacquie sped up a little and that was enough. My pussy thrilled, heat and release spreading out from my cunt walls and clit, tingles thrilling through my body. It seemed to carry on forever and at some point I was aware of Jacquie’s own cries of pleasure as I felt her walls clamping on my fingers.

We both slowed down and Jacquie collapsed onto me before sliding around and coming up so that we could kiss. I could taste our combined juices and was in heaven.

When we finally broke our kiss she said, her voice shaking slightly, “I think I could become addicted to you, pet.”

I placed a kiss on her lips and replied, “The feeling is completely mutual, hun. You are an amazing lover.”

She looked quizzical. “Really? I’m not sure I’ve ever been told that. Well, I have to say, you’re also one of the best and by far the best woman I’ve ever been with.”

I giggled. I liked her silly sense of humour. “Come on. Let’s get ourselves sorted and have some breakfast. I have to meet up with some friends in a couple of hours.”

We got up and went and showered. Once dried, we went through to the kitchen where I made coffee and croissants which we took outside.

As we sipped and ate I watched her. “You’re a lot more comfortable being naked now, aren’t you, hun?”

She got a wry smile and said, “Yep. I’m quite liking it. I might even do it more at home. Um…”

I sensed she wanted to ask something and she wasn’t sure if she should. I raised my eyebrows. “You know you can ask me anything.”

“Yes. Well… It’s… can I see you again?”

I let my eyes widen in pleasure. “Oh, I’d love that. How about next weekend? You can come here or I can come to you. It’s your choice.”

“Oh, I want it to be here if that’s okay. I like the privacy of your garden.”

We eventually dressed each other and went our separate ways, parting with a lingering kiss.

———————————————

A couple of days later I had just finished my weekly shop at the supermarket and was in my car, my phone in its cradle. I was about to drive off when it rang. I saw it was Jacquie.

“Hi hun.”

Her voice, over the car sound system, was slightly shaky. “Pet… are you alone?”

I was worried. “Well, I’m in my car in a supermarket carpark so technically I am and I’m not. Why? What’s happened?”

Still shaking she replied, “Nothing. I’m um… I’ve been thinking about our weekend and… I just keep getting so horny. I’m naked on my bed and I was thinking about you and… I wanted to hear your voice before I made myself come. I… hope you don’t mind.”

I got a sudden rush of tingles and twinges. “No hun. That’s a huge turn on. Give me a second. I want to do something.”

“Okay. But don’t be long. Please?”

“I won’t. Promise.”

I quickly lifted my bum, hitched up my knee length skirt and awkwardly wriggled my panties down and off.

“I am now sitting in my car with no panties. I’m going to drive and stroke my clit with you.”

“Oh fuck. I can see you. Beautiful. When I see you on the weekend I want to do something.”

“Oh?”

“Do you have one of those strap-on toys? I want to fuck you with one.”

“I have a couple and they’re two ended so we both get pleasure. I’d love that. You can take me doggy style. That’s one of my favourites. Would you like that?”

I was very wet now as I drove along. It’s not too far and soon I was pulling into my driveway.

“I’m home. Are you close?”

I heard her breathing. “Yes. Yes! Any moment. Oh… fuck… I can taste you. I’m coming….”

I grabbed my phone, quickly got out of the car and ran into the house. Running through to my bedroom I put it on speaker phone. “I’m on my bed hun. Playing, thinking about you fucking me on Saturday. I’m going to come soon.”

“Fuck. I’m going to come again! I’m thinking about fucking you. I really can’t wait.”

I saw it and felt it in me. I was now rapidly flicking my fingers over my clit. “I’m going to come… I’m… there!”

As it washed through me I heard Jacquie crying out. “Oh god! Fuck yes. Fuck yes.”

Once I’d calmed down I said, “Wow, Jacquie. That was wonderful. Amazing phone sex.”

“Mmmm. Thank you, pet. It was delicious.”

“Okay. I have to go and get my shopping from the car. I’ll see you Saturday.”

“I really, really want to see you. Can we do it sooner? I’ve got a couple of surprises for you.”

I thought about it. “Um… okay. How about tomorrow afternoon? About three?”

“Perfect. I’ll see you then. ağrı escort Mwah!”

“Mwah!” I said and disconnected the call.

—————————

The next day I lazily got up, spent the morning cleaning and tidying up. I went out for a meeting with a friend, Carla. We sat and sipped coffee and chatted about everything and nothing. I told her I had to get home to prepare for a visitor. She smiled and raised an eyebrow. “Oh? Someone important? Work or play?”

She knew me so well. “Um… play.”

“Oh? Anyone I know?”

She did know Jacquie as it happens but I didn’t want to betray any confidence so I just shrugged, smiled and just said, “Not telling. It’s really up to her if she wants anyone to know.”

“Mysteriouser and mysteriouser. Well, I hope you have fun, hun. Tell me all about it when you feel you can.”

I got home and, after a light lunch, prepared myself by showering and making sure the toys were all clean and the harnesses ready. My anticipation of what was to come wass making me very tingly and I was suddenly quite keen for Jacquie to arrive.

I had decided I would greet Jacquie completely naked so, as three o’clock approached, I went to my bedroom and took off the blue shift dress I had been wearing, followed by my bra and panties. I put them all in the laundry basket and briefly stood in the middle of my bedroom, closing my eyes and imagining Jacquie’s look and touch. I cupped my right breast in my left hand and started stroking my already engorged clit. I was so turned on and ready. I was suddenly interrupted by a knock on the front door. I stopped and, with excitement rising in me, practically ran through the kitchen and down the small hallway. I double checked on the monitor that it was Jacquie, I didn’t want to shock some delivery driver, and sure enough, there she was, smiling nervously into the camera.

I opened the door and saw the look of surprise on her face.

“Well, don’t just stand there. Someone might see me!” I took her hand and pulled her gently into the hallway. I pushed the door closed behind her and pulled her into a willing embrace and kiss.

After a few seconds we broke the kiss and she said, “Oh christ, pet. What a lovely surprise. I’ve been dreaming about seeing your body and I didn’t have to wait long at all.”

I smiled, taking in her outfit. It was less conservative than she usually went for. It was a sleeveless black dress with a slight flare and, surprisingly, just above mid thigh in length. I noticed she had sheer black tights, or possibly stockings, and pale violet flat shoes.

“Come on through. You look fabulous hun. I’ve been looking forward so much to seeing you. Want to know a secret?”

She followed me into the kitchen and replied, “Yes. Please.”

I smiled. “Guess what I was doing when you knocked?”

She looked at me and, I noticed, her eyes dropped down to my pussy. My wetness was clearly obvious. “Oh, please tell me you were playing.”

I pressed my lips together and just nodded.

“Oh fuck. I just felt a rush in my panties.”

I giggled. “Well I look forward to helping you get out of them. Would you like a coffee? Something else?”

She shook her head. “No, pet. I want to share my surprises with you and then I want to make love. Can we go to your bedroom?”

Intrigued, I took her hand and led her through. She took in the double dildo and harness lying on the bed. “Oh my. We’re really going to do this, aren’t we? I’m even wetter now.”

“All in good time. Now, what are these surprises?”

In answer, she turned her back and said, “Could you unzip me, pet?”

Even more curious, I stepped forward and slid the zip down the back. I was intrigued to see, as the dress opened, the hooks and eyes of a bodice of some sort. It was pale violet, matching her shoes.

I slid the straps off the top and slid the dress down to reveal a beautiful corset with a black lace ruff skirt. I lowered the dress to the floor, revealing that the corset had straps that were holding up her black stockings.

She stepped out of it and turned, a nervous look on her face. “Well? Is it okay?”

“Okay? Hun. You look stunning. I love it. Wow. Feel what you’re doing to me…” I took her hand and placed her finger between my legs, stroking it up between my lips.

“Oh, fuck. God, Anna, I’ve wanted this for so long. I’m so happy you like it.”

I leaned forward and placed a short kiss on her soft lips. “I don’t just like it. I adore it. You are one sexy siren, hun. Thank you so much for my wonderful surprises.”

She bit her lip and said, “I’ve got one more surprise for you…”

I raised my eyebrows, wondering what on earth it could be. “Okay… where is it?”

“Well, you know I said my panties were wet? If you remove them you’ll find out.”

A look of confusion crossed over my face, but I said, “Gladly.” I assumed maybe the panties were special in some way.

I knelt down in front of her and lifted the ruff to reveal a violet, matching g-string. At first I wasn’t sure what the surprise was until I realised something was missing.

I took the sides of the string and slowly lowered it, revealing a triangle of black hair. Trimmed. The full bush was gone. I saw that she’d shaved between her legs and up the sides, shaping it.

5. Der Auftrag

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5. Der Auftrag

Das Telefon an Karolina Müllers Schreibtisch summte.

Sie war die derzeit zuständige Lektorin für den Bereich Kurzgeschichten und Romane als Volontärin in Mona von Waldstedt’s Verlag. Das Firmenimperium der Baronin umfasste neben ihrem Steckenpferd Eventmanagement ihres verstorenen Ehemanns u.a. einen Verlag, in welchem hauptsächlich Sexromane, Pornobücher und Kurzgeschichten mit sexuellem Inhalt, eingereicht von Privatleuten, verlegt wurden.

Weiterhin betrieb sie eine eigene, absolut auserlesene Mode- und Dessous-Schneiderei, in welcher nur handgefertigte Klein-Auflagen, welche von Mona selbst designt, entworfen und in der hauseigenen Schneiderei gefertigt und in 3 absolut exklusiven Dessous-Shops vertrieben wurden. Nylonstrümpfe in 0 DEN beispielsweise wurden nur aus England und Frankreich importiert, hergestellt auf den letzten 3 weltweit verfügbaren alten Nylonstrickmaschinen. Weiterhin betrieb Mona v. W. einen High-Score Sex-Shop für außergewöhnliches „Spielzeug” – vom Dildo jeglicher Form, Art und Material über ferngesteuerte Vibro-Eier für Fotze und Arsch bis hin zu Fickmaschinen in jeglicher Form und Funktion – alles exklusiv und nur für sie von Designern und speziellen Handwerkern hergestellt, von ihr persönlich ausgesucht, und natürlich höchstadelig von ihr persönlich vor Kauf getestet! Für Baronin Mona von Waldstedt alles nur vom feinsten, edelsten und eben auch am teuersten….

Karo schaute auf das Display, sah, dass die Verlagsleiterin und Betriebsleiterin Sabrina anrief, nahm den Hörer ab und meldete sich:

„Hi Sabrina, was gibt’s?”

„Karo, komm doch bitte nachher mal kurz in mein Büro, ja?!”

„Ok, mach’ ich!” – antwortete sie und legte auf.

Auf Grund des Arbeitsfeldes, in dem die Mitarbeiterinnen sich bewegten, gab es in Mona’s Betrieben einige Regeln, u.a. eine Kleiderordnung. Da fast täglich sehr exklusive Kunden der High Society aus ganz Deutschland und dem europäischen Ausland zu Gast waren (um welche sich Mona nur mit Terminvergabe höchstpersönlich und vollkommen diskret selbst kümmerte) um sich die Kollektionen, Spielzeuge und Medienartikel anzuschauen, hatte sich die Mitarbeiterinnen nicht nur schriftlich mit Notarverträgen dazu verpflichtet, absolutes Stillschweigen über die weltweit bekannte Kundschaft zu wahren – sie mussten sich auch dazu verpflichten, während der Arbeit und auch privat (man vertritt das Unternehmen ja schließlich auch privat in der Öffentlichkeit) einen ‚angemessenen Kleidungsstil zu pflegen’, wie die Baronin es zu sagen pflegte. Alle Mitarbeiterinnen waren verpflichtet, grundsätzlich nur Röcke und Kleider zu tragen, ausschließlich kombiniert mit Strapse und Nylons und nur High-Heels ab mindestens 90 mm Absatzhöhe. Weiterhin mussten sie sich entsprechend sehr feminin kleiden, was bedeutete, dass man die Ladys eigentlich in nur Nylon, Chiffon, Seide und ähnliche Materialien sah.

Als Gegenleistung für die Diskretion und die zugegebenermaßen strengen bayburt escort Regeln, zahlte Mona ihren Damen deutlich über Tarif liegende Gehälter, jede Angestellte hatte das Anrecht auf einen ihrer Stelle entsprechenden Dienstwagen, wobei alle Kosten hierfür von der Baronin getragen wurden und Mona übernahm die Hälfte aller anfallenden Kosten für die grundsätzlich hochwertigen Kleider und Dessous der Damen. Nylonstrümpfe wurden komplett kostenfrei zur Verfügung gestellt.

Karo schaute kurz in ihren Taschenspiegel, zog sich die Lippen nach, schüttelte einmal ihre langen braunen Haare, zupfte sich ihre schwarzen Nahtnylons zurecht und ging dann zu Sabrinas Büro. Sie klopfte kurz an und öffnete die Tür.

Vor Sabrinas Schreibtisch saß Mr. Welsh, er vertrat den englischen Nylonhersteller, welcher Mona belieferte. Irgendwie schien er ein wenig nervös, als Karo eintrat und fuchtelte eilig mit den Händen in Bauchhöhe rum, was Karo nur erahnen konnte, da er mit dem Rücken zu ihr saß.

„Hi Sabrina”, sagte Karo und schaute zu Sabrina auf.

Quer über Sabrinas Gesicht, von der Unterlippe bis zum rechten Auge, zog sich ein fetter Spermastreifen, welcher von zwei dicken Schlieren an ihrer Stirn und ihren blonden Haaren komplettiert wurde. Ein dicker Tropfen seilte sich gerade noch von ihrem Kinn in Richtung ihrer riesigen, von einem roten Nylontop umschlossenen und einem schwarzen, durchsichtigen Tittenhalter gehaltenen Riesentitten, respektive ihren Nylons ab. Sabrina lächelte etwas verlegen, öffnete den Mund, um Karo zu begrüßen, was zur Folge hatte, dass nun das Sperma den Weg in ihren Mund fand.

„Jetzt ist es auch egal”, – dachte sie, schaute Karo ganz offen in die Augen und schob sich die Ficksuppe aus ihrem Gesicht und vom Kinn in den Mund. Sie schluckte, leckte sich mit ihrer Zunge den Glibber von ihren roten Lippen, zwinkerte ihr kurz zu und sagte:

„Schön, dass Du da bist, Karo!”

Sie nahm zwei große Stapel mehrerer mit Gummibändern zusammengefasster Unterlagen und packte sie in zwei Kartons.

„Das ist in den letzten drei Wochen leider liegen geblieben, und das, obwohl Du so viel gearbeitet hast. Es sind Unmengen an Neueinreichungen für Kurzgeschichten. Die Chefin möchte sich einen Teil davon selbst anschauen und entscheiden, was wir davon verwenden werden – das schaffst Du alleine nicht mehr”.

Karo verzog innerlich angewidert das Gesicht. Sabrina hatte dem Kerl, der dämlich grinsend in seinem Sessel saß, einen geblasen und schob sich die Sacksahne auch noch genüsslich in ihr rotes Blasmaul – ja schlimmer noch, sie schluckte es auch noch und leckte sich die Lippen ab – einfach ekelhaft. Für sie als überzeugte Lesbe gab es in ihrer Vorstellungskraft fast nichts Schlimmeres. Aufreizende Dessous, Nylons, durchsichtige Blusen, Tops Slips und BH’s zu tragen, war eine Sache – schließlich mochte sie das Gefühl, sich feminin zu kleiden, Nylons und überhaupt alles seidige und glatte ebenfalls sehr, wie wohl alle Mitarbeiterinnen bilecik escort hier – auch ihre 19-jährige Freundin Bea, welche als Azubi angestellt war, aber sich irgendeinem Sackträger als Maulfotze anzubieten, um vielleicht bessere Einkaufsoptionen zu bekommen…. – nein, ganz sicher nicht! Oder liebte diese Spermasau diesen Fickglibber wirklich einfach nur so? Unvorstellbar!

„Nimm Bea mit, damit sie den Weg zu Mona auch mal kennt und Dir diese Sache demnächst abnehmen kann” – säuselte Sabrina hintergründig….., jeder im Betrieb wusste, dass die beiden ein lesbisches Verhältnis hatten.

Karo nahm Sabrina die beiden Kartons ab, drehte sich zur Tür, welche Sabrina grinsend für sie öffnete.

„Ja, mach’ ich – ich werde Beate gleich Bescheid sagen. Ach übrigens… Du hast noch Ficksahne im Haar, auf Deinem Dekolleté und….” – sie deutete mit den Augen auf Sabrinas Beine, welche von dunkelbraunen Nylonstrümpfen umschmeichelt wurden…. „Deinen Nylons….- muss ja vielleicht nicht jeder sehen!”

Sabrinas Lächeln verschwand und sie schaut auf ihr Nylontop und Ihre Strümpfe und dachte: „scheiße, alles voller Sperma – der Typ hat aber auch sowas von abgespritzt” – und wurde dabei irgendwie schon wieder geil. Bevor Sabrina etwas erwidern konnte, war Karo verschwunden.

Beate saß in ihrem kleinen Büro und schaute erregt auf ihr Handy, welches auf ihrem rechten Bein lag. Ihre schwarzen Nylons schimmerten unter dem Handy und alleine der Anblick dieses seidenweichen Stoffs mit den vielen kleinen Fältchen am Knie und dem so typischen Doppelrand ließen sie erschauern. Ihre linke Hand wanderte, während ihre Augen auf dem kleinen Bildschirm ihres Handys die Scene beobachteten welche sie und Karo bei ihrer letzten Sex-Session gefilmt hatten, zu ihrem rechten Euter, ertasteten ihre 2 cm langen erregten Nippel, welche deutlich unter der schwarzen Chiffonbluse und dem hauchdünnen BH, welcher die Massen ihrer großen Hängetitten kaum bewältigen konnte, hervorstachen und begann den Nippel zu malträtieren. Sie nahm ihn zwischen Daumen und Zeigefinger, zog und drückte den Nippel heftig, während sie es gleichzeitig ihrem Kitzler besorgte. Ihre rechte Hand steckte in einen Nylonstrumpf, den sie mit Spucke nassgesabbert hatte und ihr nylonbezogener Zeigefinger bewegte sich rasend schnell damit über ihren großen angeschwollenen Kitzler. Auf dem kleinen Display waren die beiden Nylonfotzen in 69-er Position mittlerweile soweit und spritzen sich gegenseitig ihre Orgasmussäfte in die gierig geöffneten Münder.

Fast im selben Moment, als Karo in Bea’s Büro kam, schüttelte diese sich von ihrem Orgasmus überwältigt und squirtend, die Augen geschlossen, zitternd und zuckend. Der Ledersessel war zwischen ihren Beinen triefend nass, die Nylons glänzten unter ihrem hochgeschobenen Rocksaum und saugten sich voller Squirt-Flüssigkeit.

„Beate!!!”

Karo sprach ihren Namen laut, hart und irgendwie vorwurfsvoll aus. Bea zuckte erschrocken zusammen, bingöl escort und das Handy fiel auf den Boden. Karo schaute auf den Bildschirm und sah, wie Sie und Bea sich nach dem Höhepunkt, genüsslich und zärtlich die Fotzen trockenleckten –

„es waren schöne Stunden”, – dachte Karo innerlich lächelnd. Bea riss die Augen auf und schaute in Karo’s Gesicht, wollte eigentlich irgendetwas sagen, bekam aber keinen Laut heraus.

„Sind denn heute alle sexsüchtig? Sabrina läßt sich von so `nem englische Schwanzträger ihre Fickfresse vollspritzen, nachdem sie ihn mit ihrer Maulfotze abgewichst hat, und dann schiebt sich diese Spermaschlampe den ganzen Fickschleim in Ihr Hurenmaul, schluckt diesen ekligen Glibber auch noch runter und Du wichst Dir hier im Büro auf unser Video Deine gierige Lesbenfotze und spritzt das halbe Büro voll! Seid ihr alle plemplem, oder gab’s zum Frühstück Lady-Viagra? Bist Du bescheuert – willst Du Deinen Job los werden? Was wäre, wenn jemand anderes in Dein Büro gekommen wäre, hä?”

„Ist aber keine andere gekommen, und nur, weil Du 4 Jahre älter bist als ich, mußt Du mich hier nicht so zurecht stutzen. Ich weiß auch nicht, was los ist, aber ich bin heute sowas von dauergeil…. – kann mich gar nicht konzentrieren und denke eigentlich den ganzen Tag schon an Deine saftende Schleimfotze, Deine nylonverhüllten Fickstelzen und Deine wunderschönen weichen schlaffen Sacktitten – ich kann’s nicht ändern, ich bin einfach nur geil heute!”

Karo hielt einen Moment inne und merkte plötzlich, wie geil sie selbst war. Ihre Lesbenmöse war klatschnass und sie spürte, wie ihr Kitzler gegen das Nylonhöschen rieb – er musste schon ziemlich geschwollen sein. Ihre Nippel taten weh und drückten sich gegen ihren Tittenhalter. Sie rieb, von Bea unbemerkt, die Oberschenkel kurz aneinander, und ja, sie musste wohl schon die ganze Zeit irgendwie unbewusst geil gewesen sein, denn auch ihre Strümpfe waren innen einfach nur nass und voller Geilschleim. Sollte diese Spermasau Sabrina sie etwa geil gemacht haben?

Sie schüttelte sich kurz, um diese Gedanken zu vertreiben.

„Bea, wir haben von Sabrina den Auftrag erhalten, diese beiden Kartons voller eingereichter Kurzgeschichten-Manuskripte zur Chefin zu bringen. Im Moment haben wir so viel eingereichtes Material, dass ich es nicht alleine schaffe. Mona braucht aber noch Material für den nächsten *Best-Of*-Band und wird selbst einiges davon Korrektur lesen und ggfls. eben auch für die neue Herausgabe nächsten Monat freigeben”.

„Und warum muss ich da mit?” – murrte Bea brummelig.”

„Damit Du auch endlich den Weg zur Chefin kennst und auch mal alleine dorthin fahren kannst – los, mach’ Deinen Stuhl und was immer Du sonst noch vollgewichst hast, sauber und dann komm – in 10 Minuten an meinem Auto”.

Sie beugte sich zu Bea hinunter, gab ihr einen Kuss auf die Stirn, nahm die beiden Kartons und ging.

Bea nahm ein paar Feuchttücher und reinigte den Stuhl. Selbst der Schreibtisch war von Ihrem Fotzensaft eingesaut – sie reinigte auch diesen mit einem Lächeln, ging kurz ins Bad, um sich etwas frisch zu machen und ihre Nylons und Rock trocken zu tupfen und machte sich auf den Weg in die Tiefgarage.

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