Sortie Scolaire 02

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Ass

Hélène CARTIER, participant à une sortie scolaire, alors qu’elle s’est isolée pour parfaire son hale, s’est fait surprendre par trois voyous, interdite de réaction du fait de la présence proche de jeunes enfants, ils la possèdent de concert, et l’abandonne nue et déconfite sur la rive d’un petit îlet..

Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, affolée, écoutant son corps se calmer petit à petit, elle réalisait que ses violeurs avaient bien failli la faire jouir.

Cette constatation l’effarait, et alors qu’elle aurait du se sentir souillée, honteuse, elle ne ressentait qu’une certaine nausée due à sa mauvaise conscience, elle réalisait bien qu’il eut suffi quelques moments de plus, quelques coups de boutoir de plus, pour qu’elle hurle à plein poumon son plaisir. Heureusement la main qui la bâillonnait avait contenu ses premiers frémissements oratoires, avait-elle pour autant masqué la vérité à ses suborneurs?

Subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, t toujours dissimulée derrière les buissons, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps, et de toute manière, même s’ils partaient, pourrait-elle s’aventurer nue jusqu’au camping?

Oserait-elle seulement tenter l’aventure?

Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.

Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

Louvoyant d’arbuste en arbuste, soucieuse de ne pas se faire repérer de la rive, elle s’enfonça au cœur de l’îlet. Une demi-heure à peine s’était écoulée depuis le moment ou elle avait râlé sous les puissants coups de boutoir du petit voyou, et âme chavirée.

Enfin elle les découvrit, étendus sur le dos, nus, sur des draps de bain, ils l’attendaient visiblement, entretenant de la main leurs bandaisons. Visiblement les deux plus vieux commentaient grivoisement leur bonne fortune, alors que celui qui semblait commander, le plus jeune, elle évaluait son âge à 18, 19 ans, semblait rêvasser.

Et de fait le jeune loubard, du haut de ses 18 ans et demi, réfléchissait au déroulement de leur attentat, bien sûr, n’en étant pas à son premier guet-apens, il escomptait dès le départ que la peur de se voir remarquée, surtout par des jeunes enfants, la ferait taire, mais il lui apparaissait que la rébellion avait été fort molle, et même il lui paraissait que la jeune femme avait frémi entre ses bras, que si sa tête disait non, son corps semblait alors bien prêt de dire oui, il sentait encore les réactions de sa chair qui dévoilait kütahya escort par son accueil une certaine participation, de plus s’il ne se trompait pas, son sexe, sa chatte lui avait paru bien affable, bien humide, aspirant à la pénétration. Il entrevoyait l’occasion de poursuivre l’expérience avec cette belle jeune femme dodue, mais pour cela, il lui allait falloir asseoir son emprise.

A pas feutrés, elle s’approcha d’eux, goguenard, Franck l’interpella :

Alors la belle …. On en redemande?

– Vous savez bien que …. Que ce n’est pas cela … je dois rentrer au camp … et .. pour ça …. Il me …. Faut …

– Allez dis le ma belle .. tu veux tes vêtements? …. Crois tu les mériter?

– Oh oui … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez eu …. ce … ce que vous vouliez … je ne dirai rien … mais je vous en prie …. Rendez moi mes habits!

– C’est vrai tu as été gentille … mais ça ne suffit pas …. Il faudrait que tu …

– Ca ne suffit pas! …. Que voulez vous de plus ….. vous m’avez violé … et je ne dirai rien … je vous le jure …. Que faire de plus?

– Tu peux faire plus ma chérie …. Et crois moi tu vas faire plus …. Si tu veux rentrer au camp en cachant tes appas …. Tu vas m’obéir …. Faire tout ce que je veux ….

– Oui …. Je ferai ce que vous voulez …. Mais que ….

– « Tout à l’heure, tu l’as dit toi-même tu t’es laissée faire …. Maintenant j’en veux plus …Je veux que ce soit toi qui nous donne du plaisir …. Que tu t’occupes de mes copains avec tout ton savoir faire ….que tu nous montres la bonne salope que tu peux être …. Allez approche et montre moi ce que tu sais faire avec la bouche …

Et dolente, avec docilité, elle s’agenouilla entre les deux lascars, effleura leur queue du bout des doigts, hésitante, et comme le plus jeune lui empoignait les cheveux, servile elle se pencha sur son chibre et d’un souple mouvement du col l’enfourna.

Quelques allées et venues dociles sur le chibre du petit voyou et déjà l’autre la sollicitait à son tour d’un braquemart plus court, mais plus massif ….

Agenouillé face à eux, leur chef se branlait d’une main nonchalante tout en dirigeant de la voix sa performance. Il voulait maintenant que bouche ouverte en grand, elle s’occupe des deux bittes frémissantes en même temps… et servile comme jamais elle n’aurait pensé l’être, elle s’exécuta ….

Un pénis frémissant dans chaque main, elle les attira à elle et entrepris de lécher les deux glands simultanément, déployant une énergie, peu commune pour accomplir cet acte qui la révoltait au fonds d’elle-même, narquois Franck la fixait un rictus au coin des lèvres, savourant le spectacle de cette bourgeoise qui devait certainement, vu sa maladresse tangible malgré ses efforts, accueillir pour la première fois deux vits fumants en même temps dans sa bouche pulpeuse…

Et elle en faisait des efforts, picorant de petits coups de langues les deux prunes qu’elle sentait maintenant tressauter entre ses lèvres, soudain, d’un même mouvement ils lui forcèrent les commissures des lèvres et s’installèrent de force à l’entrée de sa bouche, butant sur la langue et les dents, et gémissant de plaisir ils se vidèrent en ahanant, profanant sa gorge au plus profonds de jets liquoreux qu’au bord de la suffocation, bouche bloquée sur les deux lances, elle dut ingurgiter au prix de nausées qu’elle fut stupidement fière de contrôler. L’épais jus lui tapissait la gorge, engluant sa luette, avant de s’écouler avec précision dans son pharynx dompté.

Elle dut encore, pour le satisfaire, toiletter soigneusement les deux dards visqueux, lapant jusqu’à la dernière traînée le sperme tiède .

Heureuse de les avoir manisa escort satisfaits si rapidement, elle glissa sur les genoux, prête à agir de même avec le voyou en chef.

Mais, lui se laissa couler sur le dos, puis la prenant aux genoux il l’attira au-dessus de son bassin lui précisant, tu vas d’abord te caresser avec ma queue, puis quand je te le dirai, tu t’empaleras dessus et tu me feras l’amour.

Elle comprit alors …. Non content de la posséder, ce petit salaud voulait que ce soit elle qui lui donne du plaisir .. en quelque sorte, il la forçait à se prostituer pour récupérer ses effets… et elle ne voyait aucune solution lui permettant d’échapper à cette dégradante gesticulation.

Les larmes perlant aux yeux elle se résigna, le vit dressé entre ses cuisses frôlait son sexe, de la main gauche, elle le saisit, et suivant ses indications elle le fit aller d’avant en arrière tout le long de sa fente, épouvantée elle sentit son sexe s’humecter, petit à petit, au grès des contacts de plus en plus précis sur ses babines enfiévrées, elle sentait monter en elle le désir de s’empaler sur ce chibre qu’elle aurait du haïr, elle sentait son bassin se cambrer, sa chatte s’embraser, son trou se dilater pour mieux accueillir son hôte. Enfin, d’une claque sur les hanches il lui ordonna d’enfourner son pieu, avec un long soupir, elle le guida précisément et d’une seule poussée fiévreuse l’engouffra au cœur de sa fournaise.

Sanglotant de honte, elle joua des hanches, l’étreignant de toute la force de ses sphincters, pour enfin s’abattre sur son ventre, cherchant ses lèvres de la bouche, avouant malgré elle le pied qui la submergeait toute tandis qu’incapable de se contenir plus longtemps il giclait à gros bouillons dans son ventre tétanisé.

Eperdue, elle resta de longues minutes allongées sur son torse, cherchant à reprendre sa respiration, sentant la bitte de son ” agresseur ” se rétracter entre ses lèvres frémissantes.

Enfant la houle qui agitait ses flancs se calma petit à petit, elle roula sur elle même, et, toute honte bue le sollicita à voix basse

– Rendez-moi mes habits maintenant … je vous en prie … vous avez eu ce que vous vouliez …. J’ai exécuté vos ordres …. Je … je me suis donnée à vous … alors … respectez votre parole …

– Je vais faire quelque chose pour toi … mais d’abord, dis-nous merci …. On t’a bien fait jouir ….

– Oh oui … merci …. Merci … souffla-t-elle, le rouge aux joues de devoir exprimer ce qui n’était qu’une profonde vérité.

Oh oui elle avait joui, son corps avait vibré, son âme exulté …et c’était bien là le plus pénible, alors qu’elle n’aurait du ressentir que honte et confusion, elle avait frémi de plaisir, incapable même de retenir ses cris orgasmiques lorsqu’elle s’était effondrée sur lui, pantelante … et voilà qu’en plus elle devait le leur avouer …

Calmement il fouilla dans son sac marin, et effets à la main, il proposa :

Tu as gagné une pièce de tes vêtements … une seule … je te laisse le choix ….

Elle sut tout de suite qu’il était inutile de le supplier, son air railleur lui disait assez qu’il n’attendait que cela pour l’humilier encore, et finalement se montrer inflexible. Elle ne réfléchit qu’un instant, comme il n’était pas question de rentrer au camp foufoune ou loches à l’air, il ne lui restait qu’à opter pour sa courte robe, qui au moins cacherait tous ses appâts.

– Donnez-moi ma robe s’entendit-elle chuchoter, larmoyant presque.

Un peu déçu de sa docilité, il lui tendit son vêtement qu’elle enfila promptement tandis qu’il ordonnait à ses comparses

Rendez-vous à la tente … je raccompagne madame …. On a encore des choses à se dire …

Pensant que le mardin escort trajet lui permettrait peut être de le fléchir, de récupérer culotte et soutien gorge, elle se tut, finalement heureuse qu’il lui accorda encore cette chance, et le dos rond elle lui emboîta le pas.

A plusieurs reprises, elle tenta, à voix basse de le supplier, elle chuchotait :

• Je vous en prie ….. Rendez-moi mes sous vêtements …. S’il vous plait … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez pris votre plaisir …. S’il vous plait ….

Mais imperturbable, muet, il se taisait, son sourire malicieux trahissait cependant son plaisir, il jouissait rien que d’entendre cette belle femelle l’implorer, alors qu’en ville elle ne lui aurait sûrement pas adressé la parole, il la sentait là, à ses cotés, prête à toutes les compromissions afin de récupérer son trophée.

Petit à petit il se pénétrait de sa dépendance, il appréhendait qu’elle ne pouvait se permettre de lui abandonner son maillot, que pour une obscure raison, il lui était impératif de le récupérer. Il savait que les écoliers qu’elle encadrait resterait là la semaine, et il entrevoyait que tant qu’il garderait sa lingerie, il aurait barre sur elle, qu’elle ne pourrait rien lui refuser, qu’afin d’éviter tout esclandre elle se plierait à toutes ses volontés. Ainsi, chemin faisant, il imaginait toutes les avanies qu’il pourrait lui imposer, toutes les positions dans lesquelles il la prendrait, toutes les variations qu’il lui ferait subir.

Ce n’est qu’en franchissant avec elle le pas de la tente qu’il lâcha :

– Bon ce n’est pas le tout ma chérie …. Tu veux que je te rende tes frusques …. Pourquoi …?

Larmoyante, contrainte d’exprimer ses peurs, elle avoua :

C’est mes fils qui me l’ont offert ….. et ils voudront certainement me prendre en photo le portant …. Pour montrer des souvenirs à leur père … il faut donc absolument que vous me le rendiez …..

Puisque c’est ainsi … et pour te remercier de m’avoir fait tant jouir …. Je vais te rendre, et comme déjà elle pensait triompher, il lui asséna :

– Ton soutien gorge

– Mais ….. pleurnicha-t-elle assommée

• Eh oui ma chérie … on va procéder par étapes …. Aujourd’hui ton cache nichons …. Et plus tard ….qui sait … Et maintenant à genoux … tu vas me dire merci!

Et à nouveau, en cette fatidique journée elle se retrouva prosternée devant ce sinistre voyou qui réclamait de sa bouche ces caresses qui la troublait tant. Folle d’inquiétude à l’idée qu’on puisse la surprendre en cette position, en cette activité, elle engloutit la verge déjà vibrante, consciente que la rapidité de la chose ne dépendait que d’elle.

Elle fit de son mieux, parcourant la hampe d’une langue agile, mordillant les testicules poilues, engloutissant à pleine gorge le chibre turgescent, convaincue d’obtenir, ce faisant, une rapide solution.

C’est avec un mélange de plaisir et d’appréhension qu’elle sentit enfin le fier braquemart frissonner puis tressauter dans sa bouche, elle était maintenant assez avertie pour savoir qu’une abondante éjaculation scellerait sa tâche. Aussi, si c’est avec joie qu’elle sentait poindre la fin de ses tourments, c’est avec rage qu’elle pressentait que bientôt la pine honnie lui vomirait son trop plein de foutre à pleine gorge.

Déjà, il lui pressait la nuque, lui écrasant la figure dans ses poils hirsutes, et se cabrant spasmodiquement, il se vida en plusieurs jets abondants qu’elle s’efforça d’avaler au fur et à mesure de leur émission, chaque goulée du jus tiède et glaireux lui tapissant la gorge, alors que bizarrement un trouble sentiment de satisfaction la pénétrait.

Après une dernière caresse de ses lèvres pulpeuses, il se rebraguetta, lui tendit le soutien gorge, et s’en alla, l’abandonnant prostrée, du sperme s’échappant à la commissure des lèvres, brisée aussi bien par ces émotions que par le plaisir qu’elle avait enduré lors de ce dernier viol…

Suite à venir.

– Coulybaca –

Ninon Éponge Les Dettes – Partie 01

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15/08/2021 – La Faute sur Mer

Ninon avait décidé d’aller faire un tour au marché de la Faute en ce beau dimanche, pas forcément pour acheter mais plutôt pour profiter de l’ambiance et boire un verre avec son copain Romain. A 25 ans, cette jeune femme avait emmenagé depuis quelques semaines en Vendée et découvrait le climat clément du coin. Romain, lui, était originaire de la région et connaissait beaucoup de monde ce qui aidait beaucoup Ninon à se faire des amis. Il faisait chaud ce jour là, lui était en short en échange, les regards appuyés, devinés derrière les solaires, des hommes présents, la mettait mal à l’aise même si elle en éprouvait inconsciemment du plaisir. Romain faisait comme si tout était normal, même lorsqu’elle avait essayé de le convaincre de la laisser se rhabiller, il justifia que lorsqu’on avait un corps comme le sien, il serait dommage de le cacher. Seul soulagement, la dentelle ne permettait pas de distinguer ses tétons érigés par l’air marin,

– Viens, on va aller faire un tour à la terrasse de l’hotel de la plage, j’ai soif.

Il passa commande de deux Spritz bien dosés et ils s’installèrent confortablement sur une petite table avec vue sur l’océan.

– Tu as vu, Marius est super sympa, il faudra qu’on revienne à l’occasion!

– Oui oui… mais je préférerais quand même essayer des fringues dans une cabine, tout le monde aurait pu me voir nue. Déjà que Marius m’a vue en body… chuchota t’elle.

– Quand tu es à la plage ou à la piscine en bikini, c’est pareil non?

– Bah non, là, autour, tous les gens étaient habillés.

– Ils ne t’ont pas vu et puis ils ne se seraient pas plaind, jolie comme tu es.

Romain avait toujours les bons mots pour la rassurer. Ninon se détendait de nouvau, l’alcool aidant.

– Salut Romain! Tu ne nous présentes pas?

Jacky, Théo et Fred débarquaient dans le bar, lieu qu’ils affectionnaient eux aussi. Des “potes” de Romain disons…

– Euh salut les gars, si si, je vous présente Ninon, ma copine.

Ninon, se relevant pour les saluer tira rapidement sur sa robe qui remontait sur ses fesses. Les garçons s’en aperçurent. Alors qu’elle leur tendait la main, Fred la tira vers lui pour l’embrasser sur la joue.

– Bonjour Ninon, quel beau prénom. Tu es nouvelle dans le coin? On ne t’as jamais vu.

– Oui, je suis arrivée il y a quelques semaines et j’ai rencontré Romain à la plage.

– Super, nous on est ses meilleurs potes, Jacky, Théo et moi même, Fred!

Romain rageait intérieurement, ces trois là avaient été des amis au début mais depuis trois mois, il leur devait beaucoup d’argent, mauvaises mains au poker… Il se demandait à quoi jouaient les compères mais n’essaya pas de les rabrouer.

– Venez, on va baller quelques shooters, il y a un salon de libre là.

Tout en les entrainant vers un coin du bar, Jacky insista pour que Romain et lui s’installent sur un fauteuil. Fred et Théo, s’assièrent sur les côtés d’une banquette laissant à Ninon la seule place restante, entre eux deux. Elle hésita mais pour ne pas les brusquer, s’assit sur le bord du sofa. Elle ne se sentait pas à l’aise entre les deux hommes, la vue de l’océean avait disparue et la banquette faisait face à un grand miroir qui lui permettait de voir l’image qu’elle renvoyait depuis le marché. Elle frémit, elle se trouvait sexy mais beaucoup trop pour ce lieu et les personnes l’accompagnant. Crispée, elle conservait ses jambes serrées. Le premier mètre de shooters arriva vite, les hommes l’ignorait mais pour autant, elle n’arriva pas à se soustraire aux “culs secs” qui s’enchainaient. D’un coup, la discussion revint vers elle.

– Alors, comment vous êtes vous rencontrés Romain et toi?

– A une soirée étudiante, je suis encore en étude, pour devenir banquière, spécialisée en investissement.

– Génial, tu pourras gérer son budget! Il t’as expliqué comment nous sommes devenus amis avec lui?

– Non je ne crois pas.

– C’est bon les gars, vous n’allez pas lui raconter çà! pesta Romain

Fred ne releva pas kuşadası escort l’objection.

– Ton copain est un joueur de poker, mais dernièrement pas un bon! Et il nous doit beaucoup d’argent!

Ninon regarda Romain, de la colére et de la peur pouvait se lire dans ses yeux verts. Alors qu’elle allait lui demander une explication, une deuxième tournée de shooters fut servie.

– Allez buvez un coup, détendez vous, aujourd’hui c’est moi qui régale clama Théo.

– Installle toi plus confortablement fit Fred à Ninon en la tirant par les hanches au fond de la banquette.

Le regard vaporeux, Ninon savait maintenant qu’ils ne pouvaient plus ignorer qu’elle avait les fesses nues sous sa robe. Dans le miroir, le peau lisse de son pubis se reflétait indécemment.

– Tu sais Romain, on pourrait à nouveau être potes! On peut trouver un arrangement lui dit Théo tout en glissant sa paume sur les cuisses nues de sa copine.

Ninon se contracta encore plus, alors la main resserra son étreinte, un chuchotement dans son oreille lui fit lacher prise :

– Soit tu te laisses aller et on sera gentils, soit on passera à la méthode forte. Il nous doit 7000 euros, si tu veux qu’il reste intacte, calme toi et respire.

Romain poussa sur ses jambes pour se relever et aider Ninon mais l’alcool ainsi que le regarde de Jacky le stoppa net.

– Fait pas le malin toi. Tu ne nous rembourse pas mais tu te fais plaisir! On t’as vu sur le marché lui offrir cette petite robe. D’ailleurs où sont les vêtements qu’elle portait?

Romain, enragé, désigna son sac à dos du doigt. Jacky l’ouvra et en sorti le short et le débardeur.

– C’est vrai que cette robe est bien plus jolie, tu as du goût Ninon. Par contre fait attention, se changer sur le marché n’est pas très sérieux. Tu pourrais tomber sur des pervers.

Tout en continuant de fouiller le sac, il sortit le body.

– Mais c’est tout mignon çà. Plus besoin de culotte et soutif! En plus c’est un body de coquine çà, avec les pression, une traction et c’est parti pour une partie de jambe en l’air. Envoutante cette odeur! Merci Mademoiselle

Ninon détourna le regard alors que Jacky approchait le bas du body vers son nez. En parallèle, ses jambes étaient palpées allégrement par ses deux voisins d’infortune. Elle n’arrivait plus à lutter et à les garder serrées. Lorsque le serveur arriva avec un nouveau plateau, il faillit tout renverser. Ses yeux, rivés sur le miroir, absorbés par cet abricot lisse, etonné de voir les cuisses recouvertes par Fred et Théo, il s’excusa et promis de leur offrir cette tournée en s’en allant rapidement vers les toilettes.

– Je crois que tu lui a tapé dans l’oeil indiqua Fred à l’oreille de Ninon, vas le rejoindre tout de suite pour le remercier et surtout ne te nettoie pas.

Ninon ne bougeant pas de sa place, Fred lui fit sentir la pointe d’un couteau près de sa jambe. Affolée, elle se leva d’un bond et s’excusa auprès de la bande.

Elle tituba jusqu’aux toilettes où elle trouva le serveur qui sortait d’une cabine. Il n’osa pas lui parler et baissa les yeux.

Tout en balbutiant, elle lui dit :

– Je suis désolé si je vous ai choqué, c’est un gage, rien de plus.

– Pas de problème mademoiselle, vous êtes charmante.

– Mais pourquoi avoir accouru aux toilettes?

En disant celà, Ninon s’apercut de sa cupidité, il venait de se masturber… Comment obéir à Fred maintenant?

– Pardon madame, mais la vue m’a trop excité, je suis désolé, ne dites rien ou je serais viré.

Alors que le serveur s’appitoyait, Ninon tenta le tout pour le tout et releva sa robe jusqu’à son ventre.

– Mon gage n’est pas fini dit elle en essayant de garder son sang froid et ne pas pleurer.

Il cessa de parler et comtempla cette créature si attirante qui n’osait plus bouger, pétrifiée par son geste désespéré. Ninon du se résoudre tout de même à prendre les choses en mains si elle voulait que Romain ne s’apercoive de rien, elle attira le serveur à elle, défit kocaeli escort sa ceinture, baissa son pantalon. C’est lorsqu’elle s’agenouilla pour le prendre en bouche qu’elle vit le sperme maculant son membre. Tant pis, il était trop tard pour reculer, elle engloutit le gland ramollit qui ne tarda pas à regonfler. Sa taille était imposante et elle ne pu pas le garder totalement en bouche. Son serviteur repris de l’assurance, et alors qu’elle n’avait immaginé qu’une simple fellation, il la fit se relever, et la déposa sur le bord du lavabo. Il attrapa ses chevilles qu’il posa sur ses épaules et dans un mouvement brusque, s’enfonca dans sa chatte ruisselante malgré elle. Les attouchements prolongés sur ses cuisses avaient eu raison d’elle, les shooters aussi probablement. Ses yeux étaient larmoyants mais il se dit que c’était de la joie. Une telle occasion ne pouvait se refuser. Il essaya de l’embrasser mais elle reussi à s’y soustraire ce qui ne fit que décupler son énergie et el rythme de la pénétration. Lorsque son visage se crispa et qu’il allait jouir, Ninon essaya de le repousser, se souvenant qu’ils ne s’étaient pas protégés. Les premiers jets étaient déjà au fond de sa chatte et les derniers lui maculèrent le bas du ventre et le haut des cuisses. Le serveur ne demandit pas son reste, il remonta son pantalon et reparti en salle. Ninon sauta du plan de travail et, se rappelant les consignes, rabattit sa robe, essuyant juste le sperme visible sur ses cuisses. Elle prit quelques secondes aussi pour nettoyer ses larmes. Jamais elle n’aurait envisager de coucher avec un inconnu, sans se protéger, en plein milieu des toilettes et sur ordre d’un autre inconnu. Ne se reconnaissant pas, elle pris une grande bouffée d’air et reparti s’assoir sur la banquette, sous le sourire de Fred.

– Alors Romain, comment compte tu nous rembourser?

– Laissez moi un peu de temps, je vais trouver le pognon…

– OK, on te laisse une semaine, mais on va prendre une avance, aujourd’hui, ensemble lui repondit Fred.

Tout en prononcant cette phrase, sa main aggripa, de concert avec Théo, la cuisse de Ninon. Mais au lieu de simplement la caresser, il fit remonter sa jambe sur son genou. La position était clairement indécente, elle n’osait pas bouger mais son bassin glissait vers le bord de la banquette. Tous pouvaient maintenant voir ses charmes : la robe était remontée jusqu’au ventre, ses lèvres suitantes et ouvertes, son anus rosé. Quand Romain vit un filet de sperme s’échapper, il bouillonat. Fred s’en apercut.

– Ce n’est qu’une entrée en matière, le spectacle qu’elle a donné au serveur ne pouvait pas se suffir à lui même! Je te conseille de tenir ton engagement maintenant. Même si la journée n’est pas finie…

Afin de ne pas ameuter tout le restaurant, la bande paya les consos, Ninon du remercier en personne le serveur de sa gentilesse devant tout le groupe. Dans la rue bondée, elle sentait les regards appuyés sur ses cuisses où devait ruisseler la semence s’échappant de son ventre. Théo avançait, maintenant sa main sur ses fesses et Fred l’enlaçant par les épaules. Jacky maintenait la pression sur Romain, qui hésitait entre inquiétude et colère envers Ninon qui l’avait trompé. Quand il aperçut le chemin emprunté, il ne fut pas du tout rassuré, ils se dirigeaient vers la villa cotière de Jacky qui donnait sur la baie. La maison était toute neuve, cadeaux de ses parents… Ils s’installèrent dans le salon, dont la grande baie vitrée donnait sur le jardin avec piscine, qui lui même donnait sur la promenade cotière et l’océan.

– On a pas été cool avec vous alors je vous propose un petit coup de piscine! Mais toi Ninon, tu vas te laver avant, tu pues le sperme.

– Bande d’enfoirés, laissez la tranquille, elle n’a rien à voir dans cette histoire. rétorqua Romain.

– Oh ca va, pour une fois qu’elle peut avoir affaire à un vrai mec, d’après ce qu’elle m’a dit en chemin, il était bien gaulé!

Théo l’emmena jusqu’à la salle de bain. Elle pu fermer la porte et prendre une douche konya escort réparatrice. Qu’allait il lui arrivé encore? Après de longues minutes, Théo revint toquer à la porte

– Bon c’est fini là dedans? On est tous prêts à aller se baigner.

– Je n’ai pas de maillot.

– Pas grave, on en a déjà vu bien assez!

– Non arrêtez, j’ai obéi au bar, çà suffit.

Plus un bruit, Théo était parti. Lorsqu’il toqua à nouveau,

– Tiens, j’ai ramené ton sac, enfile ton body, c’est pareil qu’un maillot de bain!

Résignée, elle ouvrit la porte, pris le sac et referma aussitôt. Elle enfila le body et rejoingnit les garçons, nerveuse, inquiète de la suite des évenements.

Jacky et Fred était déjà dans l’eau, Romain s’apprétait à y entrer, en boxer de bain, certainement prété par ses “amis”. Au moins, avec son body noir, ses formes n’étaient pas trop visibles, si ce n’est ses fesses, bien moulées. Théo l’attrapa dans ses bras et la jeta à l’eau. Le groupe chahutait un peu mais presque naturellement, sans arrière pensées. Romain ne souriait pas mais il participait à ces chaimaillades. Théo sortit de l’eau,

– Bon on va sécher un peu et boire un coup? Jacky, tu as rempli ton frigo?

– Bien sur, servez vous!

Les quatres autres jeunes gens rejoignèrent Théo sur la terrasse, burent quelques bières. Au bout d’un moment, Ninon demanda timidement où se trouvaient les toilettes?

– Tu es trempée encore, tu ne vas pas me salir la maison lui cria Jacky.

– Mais donne moi une serviette, je vais me sécher.

– Non, les serviettes sont à l’intérieur, tu patientes.

– Avec ce que vous m’avez fait boire, je ne pourrais pas.

– Tu es une grande fille, il fallait prendre tes précautions!

Ninon descendit de sa chaise et, malgré les instructions, se dirigea vers la baie vitrée. Jacky accouru alors que Fred maintena Romain pour qu’il ne bouge pas. Il l’attrapa par le bras, la tira jusqu’au bord de la terrasse, s’agenouilla et avant que la jeune femme ne puisse réagir, il fit sauter les pressions du body.

– Vas y, le jardin ne t’en voudra pas.

Les deux mains jointes devant son entrejambes, Ninon était tétanisée, elle appelait Romain du regard qui restait bloqué. Jacky la poussa dans le dos avec force, l’obligeant à se rattraper sur les mains, à quatres pattes dans l’herbe, elle pleurait à chaudes larmes.

– Mais dit donc, la vue t’excite salopard! intervient Fred en regardant le boxer de Romain honteux qui restai muet.

– Profite, du sexe en plein air, c’est pas tous les jours que tu dois la baiser au bord d’une piscine avec ton salaire….

– Si tu ne te bouges pas, je prend ta place lui fit Jacky toujours à côté de Ninon dans la pelouse.

Romain se leva, accouru vers Jacky pour le frapper mais tomba sous l’effet de l’alcool ingurgité. Son sexe bandé bien visible au travers du maillot trop serré.

– Tu n’as toujours pas compris que tu n’avais pas le choix. Tu as joué, tu as perdu, maintenant assume.

Ninon compris qu’il fallait agir si elle ne voulait pas se faire pénétrer par Jacky, elle fit signe à Romain de venir vers elle.

– Romain, s’il te plait, viens. Ils ne te laisseront pas tranquille. Et je préfére que ce soit toi.

– Que c’est mignon, regardez ce beau petit couple, ils sont charmants. On leur donnerait le bon dieu sans confession. Un joueur invétéré et une belle salope prête à avaler de la bite.

Romain s’approcha de sa copine, son érection retombée suite à son humiliation. Jacky lui fit signe d’enlever son maillot, résigné, il obéit. Des rires s’élevèrent en voyant son sexe recroquevillé.

– Bon, je crois qu’il n’est pas prêt, ce sera pour plus tard. De toute façon Ninon, tu avais quelque chose à faire il me semble.

Tout en l’attrapant par les cheveux, Jacky la maintena à quatres pattes, l’amena un peu plus loin de la terrasse et lui ordonna de se vider. Alors qu’elle voulu se redresser, de sa main libre, il lui claqua les fesses.

– Une chienne fait ses besoins sur ses deux jambes? NON! alors pisse maintenant, ou sinon tu attendra d’être séche.

Abbatue, elle finit enfin par se relacher et l’urine jaillit le long de ses jambes, pendant de longues secondes. Le body avait tout de même été épargné. Jacky la poussa un peu plus loin, l’allongeant sur le dos dans l’herbe.

Le Stage en Entreprise 02

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Big Tits

Quelques jours plus tard, je commençais mon stage. Comme tous les matins, Audrey et Marine venaient nous chercher Caroline et moi. Ce matin la, je m’étais habillée d’une mini jupe en cuir noire sur des collants noirs. Le printemps étant enfin arrivé, je mis un haut decolleté qui moulait mes seins. Audrey et Marine avait insisté pour que je mette durant mon stage des escarpins que je ne mettais habituellement que pour aller en boite . La paire que je porte aujourd’hui est d’un rouge vir éclatant! Ma mère, elle, est habillé très classe. Un tailleur blanc sur des bas blancs satinés et des talons aiguilles couleur ivoire. A peine entré dans notre salon, Audrey et Marine nous ordonnérent de retrousser nos jupes devoilant notre chatte. Elles décidèrent d’un petit jeu avant de partir au travail.

Vous allez nous lécher la chatte, la première qui nous fait jouir a gagner, la seconde aura un gage.

Nous nous exécutons immédiatement. Agenouillées devant nos tortionnaires, maman s’occupe d’Audrey et je m’approche de Marine. Elle agrippa mes cheveux et me força à lecher sa fente. Je lui donne des coups de langue esperant la faire jouir rapidement. Marine donne des coups de reins en haletant. Mon père regarde le spectacle sans dire un mot.

Je caresse la vulve de Marine avec mes doigts puis en donnant des grands coups de langue. A coté de moi, maman bouffe la chatte d’Audrey qui gémit. Marine agita son bassin de plus en plus violemment. J’agite mes doigts dans sa fente rapidement ce qui la fit jouir. Son orgasme la fit hurler de plaisir et elle resta bouche ouverte, haletante. J’ai de la mouille sur le visage et m’essuie avec un mouchoir. Furieuse, Audrey repoussa maman qui tomba a terre.

T’es vraiment nulle ma pauvre. T’as un gage!

Je me demandais en quoi allait consister le gage et maman aussi sans doute .

J’ai une idée, lança Audrey, allez on part au boulot.

Nous nous préparons pour sortir de notre pavillon. Je baisse ma jupe et maman va pour faire la meme chose quand Audrey l’arrete.

Non! C’est ca ton gage tu vas jusqu’à la voiture jupe troussée et cul nu!

Maman blemit sous son maquillage.

Mais… les voisins vont me voir…

C’est bien ce qu’on espere!! lançèrent Audrey et Marine en éclatant de rire.

Rouge de honte, maman dut obeir, elle sortit de notre pavillon, courant presque sur ses talons aiguilles, jupe tirebouchonnée autour de la taille laissant apparaître son porte-jarretelles blanc immaculé tenant ses bas satinés. Je la suis jetant des regards alentour. kahramanmaraş escort Aucuns voisins a l’exterieur. Mon cœur fit soudain un bond dans ma poitrine! J’aperçoit derriere sa vitre , monsieur Lambert , notre vieux voisin. Il a au moins 70 ans. Un gros pervers qui nous matte regulièrement moi et maman. Le rideau de la fenetre se rabat subitement.

Nous montons precipitemment dans notre Mercedes et nous demarrons.

Maman et moi sommes a l’arrière, coincées entre Audrey et Marine qui nous carresse la vulve ou nous malaxent les seins a travers nos vetements. Maman a du ouvir sa veste de tailleur hexibant ses seins degager de son soutient-gorges. Audrey m’a enfoncé deux doigts dans ma chatte et elle les agite vigoureusement me faisant couiner et mouiller. Marine suce les pointes des seins de Caroline.

Antoine, mon père, conduit la Mercedes tout en jetant des coups d’oeil dans le retroviseur. Cela dure ainsi toute le trajet nous mettant dans un etat d’ecxitation instense. Nous arrivons dans l’entreprise ou travaille mes parents. Comme par hasard, j’ai été affecté à la DRH qui est dirigé par maman. Elle entre dans son bureau saluant les secretaires. Ils n’y a pas que des femmes dans sons service. Deux hommes, Guillaume et Fabrice, la trentaine la salue en matant ses jambes ou son cul ou les deux je ne sais pas trop…Ils me lance un regard rempli de convoitise. Faut dire qu’avec ma jupe en cuir et mes talons aiguilles rouges je ne passe pas inaperçu. Audrey et Marine me donne des photocopies à faire ( travail de stagiaires!!) pendant qu’elles prennent un café avec leurs collègues.

La matinée se passe tranquillement a part Audrey et Marine qui me caresse le cul ou les seins des qu’elles le peuvent. C’est dans l’après midi que cela c’est un peu gatée…

J’avais terminé mon travail et Audrey et Marine me demandèrent de venir avec elles. Elles m’emmenèrent au second étage , l’étage de la direction. Nous entrons dans le bureau de monsieur Dumoulin, le PDG de la boite. Un homme petit et gros. Je reste sutupefaite devant la scene que je decouvre : Maman, debout sur ses escarpins, jupe enroulée autour de la taille, veste ouverte, seins hors du soutient-gorges, se tenant au bureau, se fait pilonner par monsieur Dumoulin qui la tenant aux hanche la pilonne comme un fou lui donnant de violents coups de reins faisant sauter ses seins. Son gros ventre vient claquer contre ses fesses. Mon père debout a coté de ma mère regarde la scène.

Audrey et Marine kastamonu escort me pousse dans le bureau.

Voila la fille, Monsieur le Directeur. Comme promis!

Monsieur Dumoulin tourna la tete vers moi.

Aussi salope que la mère?

Pire Monsieur le Directeur , pire .

Audrey souleve ma mini jupe en cuir devoilant mon collant. Elle me positionne a quatre pattes et m’oblige a aller vers Monsieur Dumoulin qui continu de baiser ma mère.

Monsieur Dumoulin sortit son sexe de maman et me l’enfourna dans la bouche m’ordonnant de le suçer. Je m’appliquais du mieux que je pouvais bien que je n’est pas pas une grande experience dans le sujet. Je lui pompe la bite, léchant le gland, salivant dessus. Monsieur Dumoulin m’agrippa les cheveux et fit coulisser sa queue rapidement dans ma bouche m’etouffant à moitié.

Pendant ce temps, Audrey et Marine exige de mon père qu’il enleve son pantalon. Il se retrouve la bite à l’air. Monsieur Dumoulin a de nouveau enfournée maman et il s’agite comme un fou dans sa chatte. Caroline halète et gémit en ouvrant la bouche sous les coups de reins de son patron.

Je fut trainée par Audrey vers mon père.

Suce ton père, petite chienne!

Horrifiée, je proteste. Audrey et Marine me pousse en avant me contraignant à avaler la bite d’Antoine. Mon père me jette un regard. Je m’active sur sa queue, lui lechant la hampe de bas en hauts, lui titillant le gland. Mon père bande comme un fou, j’ai presque du mal a tenir son sexe dans ma main. J’entends ma mère qui pousse un cri de protestation. Monsieur Dumoulin vient de l’enculer sans ménagement. La tenant aux hanches, il lui défonce son cul avec frénésie.

Sou mes coups de langue, papa ne tarda pas à jouir en grognant. Une importante quantité de sperme gicla dans ma bouche , débordant, coulant sur mon menton.

Monsieur Dumoulin éjacula sur le cul de Caroline et me promis que la prochaine fois, il me baiserait.

Ce fut ainsi pendant tout mon stage qui heureusement ne durait que quinze jours. Maman et moi nous étions regulièrement baisée soit par Monsieur Dumoulin, soit par Audrey et Marine. Le dernier jour de mon stage, je preparais mon rapport que je devait faire signer à la DRH, ma mère donc.

J’entrais dans son bureau et malgré tout ce que j’avais deja vu, j’eu un choc en decouvrant la scéne.

Antoine entierement nu se faisait fouetter par Audrey avec un martinet, un chat à neuf queues comme ont dit, ma mère acroupi pompait les bites de Guillaume kayseri escort et Fabrice, alternant entre les deux queues, ses mains manucurées s’agitaient autour de leurs bites. Marine s’approcha de moi et souleva ma petite jupe ecossaise. Dessous, je ne porte rien a part des bas auto-fixants.

Elle me caresse la vulve, me faisant mouiller immédiatement. Caroline penchée en avant suce la bite de Fabrice pendant que Guillaume, la tenant aux hanches la pilonne comme un fou.

Audrey ordonne à mon père de se masturber. Marine me poussa contre le bureau et commença à me bouffer la chatte avec application me faisant gémir comme une folle. Je me mords les lèvres, secouant la tête de droite à gauche. J’entends les grognements de mon père se faisant masturber par Audrey qui prend un plaisir sadique à s’arreter juste avant qu’il n’ejacule maintenant la pression. J’entend les cris de maman défonçé par Fabrice a quatre pattes au milieu de son bureau.

Marine agite ses doigts dans ma fente me faisant couiner de bonheur. Guillaume et Fabrice demandèrent à baiser la mère et la fille. Nous nous retrouvont , maman et moi, cote à cote, debout sur nos escarpins. pilonnées par Guillaume et Fabrice. Nos gémissements puis nos cris emplissent le bureau. Audrey prend des photos pour les montrer à Monsieur Dumoulin. Marine se fait lecher la fente par mon père pendant qu’Audrey lui fouette le cul avec le chat à neuf queues….

Mon stage terminé, je pensais que le cauchemar l’etait aussi, du moins pour moi. Je me trompais….

Je rentrais des cours et à peine etais je rentrée dans notre pavillon que j’entendais les cris et les gémissements, je fut horrifiée par le spectacle.

Caroline, ma mère, vetu d’une tenue de soubrette, robe noire ultra courte lui arrivant aux tiers des cuisses, petit tablier blanc, bas résilles et talons aiguilles vertigineux se fait baisée comme une chienne par Monsieur Lambert notre vieux voisin, il la pilonne son ventre flasque venant claquer contre les fesses de maman. Elle porte un collier autour du cou et une laisse pend entre ses seins. Mon pere porte un portes-jarrtelles en vinyle et des bas noirs. Il titube sur des escarpins. Lui aussi porte un collier et une laisse. Ils sont tout deux baillonnées par des boules en latex enfoncées dans leur bouches. Il est a quatre pattes dans le salon et derriere lui, le tenant aux hanches, Audrey equipée d’un gode-ceinture lui defonce son cul…..

Alors petite chienne? T’es parents nous appartiennent maintenant.

Je me retourne. Marine ,Monsieur Dumoulin, Guillaume et Fabrice sont la egalement…..

Vous devinez la fin n’est ce pas? Maman et moi avont été defoncées tout le week end par ces pervers. Papa est devenu la lopette d’Audrey et Marine. Maman la pute de Monsieur Dumoulin et Monsieur Lambert et moi la chienne de Guillaume et Fabrice…

Le chantage de Summer 02

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Ebony

Ceci est une histoire avec chantage et contrainte. Je remercie l’auteur original Wilcox010 de m’avoir permis de la traduire.

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Résumé : Summer Wayne est une épouse et mère de 40 ans. Elle enseigne l’anglais. Summer fut récemment initiée au sexe en groupe par son mari. Elle commença à ressentir des désirs et des besoins qu’elle n’avait pas auparavant. Elle avait même placé une annonce sur un site se nommant « Femmes en manque de sexe », juste pour voir. Elle reçut quelques réponses sans intérêt mais la nuit dernière, un homme prénommé Maître T l’avait presque insulté. Elle lui avait répondu pour lui dire qu’elle ne voulait plus correspondre et pour lui montrer ce qu’il avait manqué, elle lui avait envoyé une photo de son corps nu en croyant ne pouvant pas être reconnue.

Nous sommes vendredi matin dernière journée de la semaine scolaire. Summer a hâte que la journée se termine. Elle sait qu’elle va passer un week-end seule car son mari est en voyage d’affaire en Asie et ses deux enfants sont à l’université.

Aujourd’hui, elle donne un devoir aux élèves de ses quatre classes. Ils vont devoir rédiger un essai de plus de 1000 mots sur un écrivain dont ils ont lu un livre le semestre dernier. Ses étudiants ne seront surement pas contents. Ils devront rendre leur travail au bout d’une semaine et elle n’accordera pas de délai supplémentaire. Summer faisait toujours cela afin que ses élèves comprennent que l’anglais était important. Et donner un devoir difficile au début aidait les étudiants à réussir leur année.

Alors que Summer est sous la douche, elle se rappelle de l’épisode de la veille dans son bain. Ses mains commencent à caresser doucement ses seins, s’attardant longuement sur ses mamelons. Elle les pince et les tord sentant un frémissement dans son sexe. Tandis que l’eau chaude cours sur son corps, sa main fait lentement le chemin vers sa touffe et atteint son clitoris enflammé. Son index commence à le titiller et l’amène près de l’orgasme qu’elle désire maintenant chaque matin pour bien démarrer la journée.

Alors que ses mains travaillent, elle se souvient des mains des deux hommes et de son mari qui la touchaient. James et elle étaient sortis dans un bar. Il lui avait fait rencontrer les deux hommes qui lui avaient caressé ses jambes nues au bar.

Elle commence à tirer plus durement sur ses tétons et elle frotte son clitoris plus vite. Et elle crie alors que l’orgasme la submerge. Elle doit se tenir au porte-serviette pour ne pas s’effondrer dans la douche et attendre que les vagues de sa jouissance s’épuisent.

Summer s’essuie lentement et enlève l’eau de sa chatte assez poilue. Elle repense aux fois où son mari voulait qu’elle s’épile. Elle avait toujours refusé, pensant que ses poils pubiens faisaient partie de sa féminité. Pour elle il n’y avait que les salopes et les putes qui se rasaient la chatte. Dons elle avait toujours refusé les demandes de James.

Elle s’assoit pour se maquiller mais son portable sonne. C’est Lisa sa meilleure amie qui lui rappelle qu’elles doivent se voir ce soir vers 18h00 dans leur bar à cocktail préféré. « Merde » pense Summer, elle ne pourra pas revenir se changer avant son rendez-vous car elle a une réunion en fin d’après-midi qu’elle ne peut manquer.

Après avoir fini de se maquiller, Summer ouvre son placard pour choisir ses vêtements pour la journée. Elle prend d’abord un soutien-gorge rose et sa culotte assortie. Le soutif est assez fin mais il couvre ses mamelons. Toutefois, en cas de froid, ses tétons ont tendance à pousser le tissu. Summer avait remarqué que lorsque ses mamelons durcissaient sous le tissu, on avait tendance à leur offrir des verres à Lisa et à elle.

Ensuite elle prend un ensemble tailleur jupe beige. La jupe tombe juste au-dessus de ses genoux et elle est boutonnée sur le devant. Elle complète avec des bas surmontés de dentelle et des talons hauts. Ayant fini de s’habiller Summer se regarde dans la glace, rajuste un ou deux boutons de sa jupe, ramasse sa serviette et se dirige vers l’école dans sa BMW décapotable.

La journée de la femme est intense et remplie par les protestations de ses étudiants. Ce sont les joueurs de football et les basketteurs qui râlent le plus. Ils savent très bien qu’une mauvaise note en anglais peut les faire échouer et perdre leur bourse sportive. C’était arrivé les années passées. Un joueur en particulier avait échoué et perdu sa bourse de football pour l’université d’état. Il lui avait promis de la faire payer.

Un de ses élèves les plus troublant est Todd SPILLERS. Il a un très grand potentiel mais il ne l’utilise pas pour ses cours. Todd est une énigme pour Summer car elle sent qu’il n’est pas très ouvert sans qu’elle comprenne pourquoi. Durant sa dernière heure de cours la professeure doit s’absenter pour aller commander quelques fournitures Elle demande :

– Monsieur SPILLERS, pouvez-vous surveiller la classe pendant 10 minutes hatay escort s’il vous plaît.

– Avec plaisir Madame WAYNE. Répondit le garçon.

Quand l’heure de cours se termine, Summer n’est toujours pas revenue. Tous les élèves sortent mais Todd reste. Il a remarqué que son professeur a laissé son téléphone sur le bureau. Il a une idée rapide. Il attend que tous les étudiants aient quitté la salle pour prendre son iphone dans son sac et sa clé USB, puis il télécharge tous les contacts du carnet d’adresse du téléphone de Mme WAYNE. Il repose son téléphone juste avant qu’elle ne revienne dans la pièce.

Todd la trouve magnifique et ne peut attendre pour la posséder. Mais il doit être patient et s’assurer qu’il a assez de choses pour qu’elle réponde à ses exigences et ses désirs.

A l’heure du déjeuner, la journée de Summer est quasiment terminée. Pour ce semestre, elle a quatre classes le matin, deux heures de planification et 45 minutes de surveillance d’étude.

Alors qu’elle se prépare à manger son sandwich du déjeuner, son téléphone lui indique qu’elle a un SMS. Elle ne reconnait pas le numéro et il n’y a pas de nom dans l’auteur de l’envoi. Elle clique sur le message et est stupéfaite de lire : « Salope, je ne crois pas que tu puisses me laisser tomber si vite sans me donner la possibilité de déterminer si tu es ou non digne de moi. Mais j’apprécie la photo que tu m’as envoyé où on te voit sur le meuble de la salle de bain, te baiser avec un gros gode noir. Je parie que ton mari a adoré le spectacle. Dis moi salope, comment réagit ta chatte quand tu penses à cette image ». le texte est signé « Maitre T. ».

Summer, les mains tremblantes et incontrôlables, ne peut croire ce qu’elle vient de lire. Comment peut-il avoir son numéro? Elle a toujours son portable avec elle et elle n’a jamais donné son numéro, les seuls qui le possèdent sont de bons amis.

La référence à l’image sur le meuble de salle de bain la fait réfléchir. Elle n’a envoyé cette photo à personne. Elle se demande si ce n’est pas une blague que lui fait son mari. En effet, il est le seul à connaitre cette photo faite lors du week-end spécial. Elle répond au message : « Je ne connais personne s’appelant Monsieur T. Et je n’ai jamais envoyé de photo à personne. Alors James, appelle moi et arrête de jouer à l’inconnu. » Elle signe « Prof101 ».

Todd sourit en lisant la réponse de sa professeure. Elle n’a aucun moyen de savoir qu’il est Maitre T. Et il est en possession d’une image qui la montre clairement en train de se faire jouir sur un meuble de salle de bain. Alors il écrit en retour : « Mme Wayne, je possède bien une photo de vous. D’ailleurs je la joins à ce message afin que vous réalisiez dans quelle position vous êtes maintenant. Maitre T. ».

Summer sursaute lorsque son téléphone bipe à nouveau. Il doit être minuit en Asie et son mari James doit être endormi normalement. Son visage pâlit et de la sueur commence à se former autour de ses lèvres et dans son dos quand elle lit le message et clique sur la pièce jointe. « Oh mon dieu » est tout ce qu’elle peut prononcer en voyant son visage tordu de plaisir, un vibrateur noir enfoncé dans son vagin et sa main libre pinçant son mamelon. Elle remarque que la photo est prise juste avant son orgasme et elle maudit James d’avoir fait cette photo.

Elle reprend un peu d’aplomb et répond : « Je ne sais pas qui vous êtes et je ne comprends pas comment vous avez eu cette photo. Je n’apprécie pas que vous envoyiez cette image sur le réseau de téléphone car elle pourrait tomber dans les mains de personnes me connaissant. Comment puis-je faire pour récupérer cette photo? Prof101 » .

Summer attend à son bureau une réponse immédiate de l’inconnu. Mais elle ne reçoit pas de messages pendant les trente prochaines minutes. En attendant, elle ne peut s’empêcher de se demander qui peut posséder cette photo, comment il est et qu’est-ce ça va lui coûter pour la récupérer. Ses paumes sont moites, son cœur bat la chamade et ses seins bougent au rythme de sa respiration précipitée. Puis son téléphone sonne pour un nouveau message : « Salope, tu m’as envoyé l’image la nuit dernière. J’ai trouvé intéressant que tu envoies une telle photo à quelqu’un dont tu veux te débarrasser. Maintenant, que vais-je faire de toi salope? je crois que tu vas devoir travailler très dur pour que je n’envoie pas la photo au webmaster du site de l’école pour qu’il la mette en ligne pour tous les élèves et leurs parents. Ce serait normal salope. Tu aurais dû réfléchir avant d’envoyer une telle image provocatrice à quelqu’un que tu ne connais pas. Maintenant elle est à moi et je me fais un plaisir de te faire payer pour pouvoir la récupérer. Maître T.

Summer répond rapidement : « Vous ne pouvez pas me demander de vous verser de l’argent. Je ne suis pas une femme riche et mon mari non plus. Nous sommes juste un couple qui arrive tout juste à payer ses factures. Et puis, vous ne pouvez quand ığdır escort même pas penser à faire afficher cette photo sur le site web de l’école. Je serais humiliée et je perdrais tout ce que mon mari et moi avons réussi à construire. Peut-être pouvons-nous trouver un arrangement pour que vous me rendiez cette photo. Prof101. »

Todd ne peut croire l’évolution de la situation. En seulement trente minutes, Madame WAYNE offre un arrangement pour la photo. Il pense qu’elle doit croire qu’il est un crétin. Comment peut-elle croire que quelqu’un va lui rendre la seule copie d’une image aussi érotique? Eh bien il va voir comment elle est motivée pour la récupérer. Il écrit : « Salope, je suis un homme sympathique donc je pense que l’on peut trouver une compensation équitable. Mais il me semble, d’après le ton de vos messages de hier soir et d’aujourd’hui, que vous croyez mener les négociations. Ce n’est pas le cas. Donc, à partir de maintenant les messages que vous m’enverrez devront commencer par Cher Maitre T. et finir par Votre Salope Summer. » Todd envoie le texte et attend la réponse de « sa salope ».

Le visage de Summer pâlit à nouveau. Maintenant elle se rend compte qu’elle est en face de quelqu’un avec qui ça ne va pas être facile de négocier. Il a le dessus et c’est lui qui lui ordonne comment elle doit lui parler et signer « Votre Salope Summer ». Elle réfléchit et décide qu’un message plus dur est approprié : « S’il vous plaît, veuillez stopper vos demandes déraisonnables et rendez-moi ma photo. Prof101 ».

Todd sent maintenant qu’il a presque gagné. Il envoie une réponse rapide et directe : « Salope, le non-respect de ma première demande va te coûter cher. Ci-dessous, tu trouveras le numéro de téléphone de ton mari. Si j’ai bien compris, il est en voyage en Asie. Mais un message détaillé de ton profil sur le site des femmes en manque de sexe avec ta photo le feras surement revenir rapidement. Maitre T. »

– Oh mon Dieu! Dit-elle à voix haute.

Elle lève les yeux pour s’assurer que la porte de sa salle de classe est bien fermée. Sinon une personne dans le couloir aurait surement entendu son cri.

Heureusement la porte est fermée et les affiches sur la vitre empêchent quiconque de voir dans la classe. Summer réalise qu’elle n’a pas la main et qu’il va falloir qu’elle fasse tout son possible pour récupérer cette image avant que son mari ou le webmaster de l’école ne la possède. Alors elle écrit : « Maitre T., je suis désolée de ne pas avoir répondu correctement. Je n’ai pas les pensées claires. S’il vous plaît, donnez-moi une autre chance de trouver un moyen pour payer le retour de ma photo. » Summer signe correctement « Votre Salope Summer » et envoie le message.

Todd sait qu’il l’a. Maintenant il doit être rapide avant que le temps libre de sa prof se termine et qu’elle parte en salle d’étude. Il lui écrit : « Salope, je vais te donner une chance de plus mais si tu la bousilles, tu peux dire adieu à ta carrière et à ton mariage. Car non seulement j’enverrai l’image à ton mari mais aussi à tes deux fils. Es-tu d’accord pour faire ce que je te demande. Maitre T. »

Todd n’a pas longtemps à attendre avant d’avoir la réponse : « Cher Maitre T., je suis prête à faire ce que vous demandez pour récupérer ma photo. Votre Salope Summer. »

Il répond en retour : « Salope, tu enlèves jupe, et chemisier, puis tu t’assois sur ton bureau et tu prends une photo dans cette position. Ainsi je serais sûr que tu feras ce que je demande pour te rendre la photo. Maitre T. »

Summer est choquée de recevoir ce message de son maitre-chanteur. Comment peut-elle prendre cette photo? Elle regarde son téléphone et apprend le dispositif du retardateur de prise de photos. Elle verrouille la porte de la salle de classe, déboutonne sa jupe et son chemisier, les enlève. Puis elle pose son téléphone sur sa chaise et essaie de cacher sa figure quand il flashe. Elle regarde la photo, contente que son visage soit méconnaissable et elle l’envoie avec le message : « Cher Maitre T., veuillez trouver ci-joint la photo demandée. J’espère que cela vous prouve que j’obéirai à votre demande pour récupérer ma photo. Votre Salope Summer. »

Lorsque Todd reçoit le texte et l’image, il est à la fois excité et énervé. Il voulait une photo d’elle en sous-vêtements montrant son visage. Il tapa un autre message : « Salope, tu me déçois pour la dernière fois. Je ne t’ai pas dit de cacher ton visage. Pour cette transgression, tu enlèves ton soutien-gorge et tu reprends une photo en t’assurant que ton visage est visible. Maitre T. »

Summer est surprise par la réponse. Elle s’est déjà rhabillée et elle a déverrouillé la porte de sa classe. Elle sait qu’elle n’a pas d’autres choix que d’obéir sinon il enverra la photo compromettante à son mari et à ses enfants. Elle se lève de son bureau, va verrouiller de nouveau la porte puis elle enlève jupe et chemisier, passe les mains derrière son dos et dégrafe son soutien-gorge. ısparta escort L’air frais de la classe tombe sur ses seins et instantanément ses mamelons commencent à durcir. En plus, elle sent de l’humidité qui se forme dans sa culotte rose. Summer est surprise par la réaction de son corps à ce striptease forcé dans sa classe. Elle place le téléphone sur la chaise, se met sur le bureau et compte jusqu’à cinq. L’appareil flashe. Elle s’est bien sur assurée que son visage soit visible. Elle tape rapidement un message et envoie la photo à Maitre T.

Todd hurle presque dans sa cachette dans le vestiaire des garçons. C’est à cet endroit qu’il a déjà baisé plusieurs jeunes étudiantes. Le message de sa professeure contenait une photo ainsi que le message : « Cher Maitre T., j’espère que la photo jointe vous indique que je suis prête à faire tout ce que vous voudrez pour que je puisse récupérer l’autre photo. Mais comme je suis professeur, j’ai très peu de temps pour répondre à vos demandes. Etant donné mon emploi du temps de cet après-midi, je me suis rhabillée. Peut-on parler plus tard de ce que je devrais faire? Votre Salope Summer »

Todd répond en retour : « Salope, ta photo et ton attitude me satisfont. Cependant, je suis déçu que tu remettes tes vêtements sans ma permission. Je sais où tu travailles et je connais très bien le parking où tu te gares. Donc, pour n’avoir pas attendu pour te rhabiller, après les cours, tu devras aller à ta voiture, enlever ta culotte et la mettre sur le siège à côté. Et ensuite tu attendras qu’une personne vienne à ta voiture. Je regarderai de loin et je verrai la personne à qui tu parleras. Tu ne devras pas enlever la culotte du siège sinon tu le regretteras. Maitre T. »

Summer s’évanouie presque à la réception de ce message. Cette histoire doit cesser. Elle écrit : « Cher Maitre T., s’il vous plait, ne me faites pas faire cela. Votre Salope Summer.

Après l’envoi, elle attend mais elle ne reçoit pas de réponse. Elle est préoccupée de ce que peut faire son maitre-chanteur. Elle a peur qu’il envoie les documents à son mari et ses enfants.

Le reste de la journée, elle ne peut pas se concentrer tellement les émotions bouillonnent en elle. De prendre ces photos dans la classe l’ont excité si bien que sa chatte est légèrement humide. Elle ne peut croire que ce genre de dégradation la stimule. Durant tout le temps de la période d’étude, elle erre de son bureau au tableau où elle écrit le programme du lendemain. Elle ne fait pas attention à sa jupe qui montre ses jambes. Les garçons dans la classe ne peuvent soustraire leur regard des jambes de Mme WAYNE. Ils peuvent apercevoir le haut de ses bas à chaque fois qu’elle marche. Et ils sont obligés de cacher leur excitation derrière leur table.

Ensuite, il y a la réunion de service. Summer ne fait pas du tout attention car elle se demande comment elle va faire pour enlever sa culotte tout en étant assise dans sa voiture. Le directeur de l’école, M. HARDING, qui mène la réunion remarque le regard au loin de Mme WAYNE. Il l’a vu entrer dans la salle et il a été surpris de voir la jupe bailler pour laisser apercevoir le haut des bas en dentelle. Il s’est dit : « Wow, ce professeur d’anglais est très sexy…Il faut que je garde un coup d’œil sur elle. »

Après la réunion, Summer retourne dans sa classe pour ranger ses affaires. Elle s’assoit à son bureau et relit le dernier message de son bourreau. Quand la cloche retentit, elle se lève de sa chaise, baisse sa culotte sur ses chevilles puis l’enlève pour la placer dans son sac. Elle se précipite dans sa voiture, met la culotte sur le siège à côté d’elle et fait semblant de lire des documents. Mais elle regarde autour d’elle pour essayer de voir son maitre-chanteur.

Son téléphone sonne avec un nouveau message : « Salope, je t’ai dit d’enlever ta culotte DANS la voiture. Tu vas le regretter. ».

Effrayée, elle répond de suite : « Non Maitre T. Je suis désolée, ne faites rien. J’ai fait une erreur mais j’étais inquiète que quelqu’un m’aperçoive l’enlever dans le parking. Je vous promets de vous obéir. Votre Salope Summer ».

Elle lit la réponse : « Salope, enlève ta veste de tailleur et déboutonne les deux boutons du haut de ton chemisier beige. Puis tu enlèveras tous les boutons de ta jupe sauf le dernier. Et débrouille toi que le haut de tes bas soit bien visible. Je vois quelqu’un qui s’approche. Assure-toi qu’il voit ta chatte. Maitre T. »

Summer regarde et pense : « Oh mon dieu, c’est Todd SPILLERS qui approche, que va-t-il voir ». Elle commence à se couvrir mais elle se souvient que Maitre T. regarde et elle ne peut se permettre qu’il mette ses menaces à exécution. Quand Todd arrive à sa voiture, elle baisse ses papiers pour qu’il puisse voir son décolleté et s’il regarde bien, son mont de vénus poilu. Puis elle se souvient que sa culotte est sur le siège à côté. Comment peut-elle l’expliquer à un étudiant? Mais elle manque de temps alors que Todd s’approche et dit :

– Mme WAYNE, il faut que je vous parle de mes résultats.

Elle s’aperçoit que son regard tombe sur le haut de son chemisier et qu’il peut voir son soutien-gorge qui couvre à peine ses mamelons qui pointent contre le tissu.

– Comment puis-je vous aider Todd?

Interrogatoire Renforcé

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Asian

Interrogatoire renforcé

Cette histoire est fictive et relève du fantasme, tous les personnages ont plus de 21 ans.

Introduction des principaux personnages et de la scène.

Safia est une jeune femme de 25 ans environs, elle fait environs 1.60 m pour 50 kilos, sa peau est blanches et légèrement bronzée. Elle vient d’être traînée manu militari dans une pièce relativement grande ou l’attendent 5 soldats en uniforme.

Il y a le capitaine Jackson, un spécialiste des interrogatoires de l’armée américaine, et deux femmes soldates, Cathy, une Américaine blonde de 40 ans, et Mélinda une afro-américaine, elles sont toutes les deux en treillis militaire.

Il y a aussi deux soldats hommes anonymes.

En dehors de la salle derrière une vitre sans teint, on retrouve le lieutenant Jermain, un instructeur formateur de de la police militaire et ses apprentis en formation pour devenir les futurs agents du renseignement.

Fin de l’introduction.

L’instructeur Jermain présente la détenue aux apprentis :

“Aujourd’hui, c’est un cours de travaux pratiques sur le traitement des prisonnières de guerre et des interrogatoires, nous avons Safia qui est la sœur d’un chef insurgé terroriste important issue d’une tribu puissante et influente hostile à la présence américaine. La jeune irakienne est entre les mains de l’armée américaine depuis environs 24 heures, elle n’a pas bu ni manger, et est restée attacher les mains dans le dos avec une cagoule sur la tête la plupart du temps. L’objectif de sa mission est de retrouver son frère ou d’identifier d’autres insurgés et d’avoir ds infirmations sur leur fonctionnent. Regardez bien comment l’expérimenté capitaine Jackson procède avec ce type de détenue.”

La cagoule de Safia lui est retirée et ses menottes retirées.

“Tout d’abord, il créer une discussion avec Safia qui parle très bien l’anglais” dit le lieutenant Jermain.

Le capitaine Jackson engage une conversation avec la prisonnière en lui demandant d’abord son nom, prénom, âge, nationalité lieu de naissance, niveau d’études. La fille répond Safia T, 25 ans, née à Bagdad dans un quartier chic, elle est irakienne et a fait des études de management dont une année à Boston ce qui explique qu’elle soit parfaitement anglophone.

Le capitaine lui demande ensuite sa profession, si elle est mariée, et si elle est en bonne santé. La jeune femme répond qu’elle aimerait travailler dans une entreprise informatique, qu’elle est célibataire et en parfaite santé.

Le lieutenant Jermain explique à ses élèves que “C’est important de créer un contact personnel en commençant par un dialogue amical et de mettre à l’aise la détenue en la libérant de ses entraves, pour lui faire relâcher la pression quelques instants.”

“Le comportement assez froid et distant de Safia est normal, elle vient de passer un sale moment, sous le choc de son arrestation et ne sait pas encore exactement ou elle est. La prison d’Abou Ghraib était réputée terrible sous l’Ancien Régime, et la détenue ignore de toute façon ou elle se trouve.”

Ensuite, “il faut poser des questions simples sur ce que nous voulons”.

Le capitaine dit à Safia que l’armée américaine cherche son frère et il lui demande si elle sait où il est.

La prisonnière lui répond qu’elle ne sait pas. Le militaire lui demande ensuite quand l’a t’elle vue pour la dernière foi, elle répond le mois dernier quand les résistants avaient pris le contrôle du quartier, son frère était avec elle, et depuis le lancement de l’assaut américain sur la zone, elle ne l’a pas vu. Jackson lui demande ensuite qu’est ce qu’elle a fait avec lui, de quoi a t’elle parler?

Safia répond qu’elle a parlé de ses problèmes avec son fiancée, qu’elle préfère annuler ses fiançailles , ainsi que des problèmes de la vie quotidienne et sa volonté de quitter l’Irak, ce a quoi le frère à répondu qu’elle sera bientôt en sécurité en Jordanie ou en Turquie.

Jackson lui répond ironiquement qu’elle est en sécurité entre les mains des Etats Unis. Ensuite, il lui demande ce qui motive son frère à résister à la plus grande puissance mondiale. La fille lui répond qu’il est un patriote et un combattant de la foi qui n’accepte pas de voir des Américains occuper son pays. Jackson lui dit qu’il le comprend et qu’a sa place, il ferait la même chose.

Il lui demande aussi s’il a des amis, qu’est ce qu’il faisait avant la guerre. Safia lui dit qu’il a deux vrais amis qui sont avec lui, ils sont fans de foot, et qu’avant la guerre, il voulait être kinésithérapeute.

Jermain commente “La fille dit sûrement vrai et se montre très coopérative” fait remarqué le formateur à ses étudiants dont l’un lui rétorque “Elle est innocente, et n’a pas l’air d’avoir d’informations importantes ne devrions-nous pas la libérer?”

Jermain lui répond “Quelques soit le degré de coopération un prisonnier peut toujours retenir des informations, et qu’il ne faut surtout pas la libérer pour le moment car elle pourrait indiquer à nos ennemis des informations elazığ escort sur nous. C’est en fait notre otage.”.

“Une otage?” Réponds l’un des étudiants, “Oui, car entre nos mains nous avons un moyen de pression sur les insurgés, son frère sait que nous l’avons.”

“Mais pourquoi garder une innocente?” Demande l’étudiant.

“Innocente? Bien sûr qu’il peut arriver qu’une personne soit arrêtée et punie, car présente au mauvais endroit et au mauvais moment, ou parce qu’elle habite dans un foyer de la guérilla ennemie, c’est la vie, mais vous ne pouvez pas faire confiance à une prisonnière comme Safia sans l’avoir adoucie et imposée de mesure de coercition et de pression pour la rendre pleinement coopérative. Et qu’il est impossible de croire en ce qu’elle raconte sans quelques pressions physiques et psychologiques que certains appellent torture et d’autre interrogatoire renforcé.

Ne vous en faite pas, toutes les procédures son validé par le ministère de la Défense et les meilleurs juristes des Etats Unis affirment que nos pratiques respectent les conventions de Genève et ne sont pas de la torture, et que nous devons faire notre travail sans états d’âme dans le cadre du droit.”

Jermain ajoute que “Safia croit en la cause de son frère, chose normal et parfaitement compréhensible, mais que nous, notre but est d’obtenir une parfaite soumission et coopération de la détenue, ce qui passe par briser leur identité personne, leur estime d’eux même et leur système de valeur.”

Après ces quelques commentaires, la séance reprend. Le capitaine Jackson prend un ton plus autoritaire envers sa prisonnière et lui donne l’ordre de lever les bras pour qu’une soldate lui impose une palpation générale et s’assurer qu’elle n’a pas d’armes sur elle.

Safia reste très élégante malgré ses dernières heures mouvementées. Elle porte une belle robe traditionnelle arabe bleue, une veste noire et un joli hijab (voile, foulard) blanc qui lui couvre la tête et le cou. Elle à la tête baissée

Le lieutenant Jermain insiste sur l’importance de s’assurer que la personne à questionner ne cache rien et qu’il faut toujours fouiller les prisonniers de façon très sérieuse.

La séance continue et le capitaine Jackson donne l’ordre à la prisonnière se déshabiller complètement. Safia se met à trembler et dit qu’elle refuse de se déshabiller en public devant des hommes.

Le Lieutenant Jermain fait remarquer à ses étudiants qu’il est important de forcer une prisonnière à effectuer elle-même des actes humiliants et dégradants comme retirer ses habits devant des hommes. Imaginez une fille respectable, pudique, pieuse timide et bien élevée comme elle faire un strip-tease elle-même, c’est bien plus efficace que de la mettre à poil de force. De plus, c’est lui faire perdre tout contrôle sur elle-même et prendre un avantage psychologique important.”

Capitaine Jackson hausse durement le ton et répète à nouveau à l’Irakienne l’ordre de se déshabiller, sans faire d’histoires, sinon des moyens de coercitions seront employés et au final dans toutes les hypothèses elle se retrouvera sans vêtements. Que toute résistance est vaine, les gardiens et les gardiennes sont bien plus costaud que Safia et entraînés physiquement, et que ses vêtements seront arrachés et découpés.

Le formateur explique aux élèves que “L’interrogateur ici fait monter la pression sur la détenue pour obtenir sa collaboration avant d’user de la force”.

Safia se met à pleurer en disant qu’elle ne veut pas se mettre toute nue devant les hommes.

Jackson lui répond qu’il est un interrogateur et qu’il a le droit d’assister aux fouilles réglementaires et que maintenant ça suffit, la discussion est terminée, et il pousse Safia contre le mur.

Jermain reprend la parole “La discussion sur le déshabillage ne doit pas durer longtemps, un seul rappel et pas plus sinon la prisonnière va penser qu’elle a le pouvoir de discuter les autres, puis un peu de pression physique suffisent pour les rendre plus dociles.”

Captain Jackson ordonne à la jeune captive d’enlever sa veste, ce qu’elle fait.

Le formateur insiste sur “L’importance de fouiller les vêtements dans la recherche de tous objets illégaux, les vestes doivent être bien observés et étudier minutieusement, car il est facile d’y cacher des puces téléphoniques par exemple.”

L’inspection continue et Safia doit retirer le foulard qu’elle a sur les cheveux et le remettre à ses geôliers. Elle a des très beaux cheveux brun ondulés, volumineux qui dégage une bonne odeur de parfum oriental.

Jermain intervient devant ses apprenants pour dire “Elle doit porter un couvre-chef comme cette écharpe qu’elle porte lorsqu’elle sort de chez elle selon les règles de sa culture et de sa religion. Certes, nous savons que Safia le porte plus par tradition et respect pour sa famille que par conviction, car sur le campus de son école lors de son année aux USA, elle allait tête nue et s’habillait à l’occidental, elle portait erzincan escort même par moments lors de certaines occasions des tenues très osés et courtes.”

Une fois le foulard vérifié, il faut passer à la suite, et on ordonne à la fille d’enlever sa robe, une belle robe arabe bleu qui descend jusque à ses chevilles et est très ample et large.

Jermain réagit en disant : “Waow elle porte des sous vêtement de luxe, très sexy et très cher, cette petite coquine cache bien son jeux derrière sa tenue traditionnelle elle se fait très plaisir, si vous regardez bien sa culotte, vous verrez qu’elle mouille deja, elle sait qu’avec ça elle chauffe les mecs. Disons que dans le métier, avoir le droit d’assister aux fouilles à poil de femmes très sexy est une sacré chance, ça peut même créer des vocations.”

L’enseignant ajoute “Regardez son visage, elle est à la fois tellement embarrassée et humiliée de se déshabiller en public, mais elle est toute rouge, car elle sait l’effet qu’elle procure au mec qui la regarde, on a tous la bite bien raide ici en voyant ce spectacle et Safia voit bien les bosses qu’on les gardiens autour d’elle.”

La prisonnière doit ensuite retirer son soutien-gorge.

“Tous les regards sont portés sur sa poitrine, elle sent bien que le public autour d’elle observe avec passion ses seins en forme d’obus de taille moyenne, très fermes, avec des mamelons marron rose. Observez bien comment la détenue à l’air énervée maintenant, c’est tout un spectacle, profitez-en, quand la fille est jolie car malheureusement dans le métier c’est principalement des hommes qu’on interroge, c’est pas tous les jours qu’on peut mater des jolies choses”.

Jackson ordonne à la fille de mettre les mains sur la tête et qu’elle n’a absolument pas le droit de tenter de cacher ses seins. La culotte y passe juste après.

Safia doit garder les mains sur la tête et écarter les jambes pour que tout le monde puisse bien voir sa chatte et sa vulve. Elle est toute rouge et elle a quelques larmes. Mais elle mouille. Jackson lui fait quelques remarques “Alors tu ne serais pas un peu une salope? Tu as l’air d’aimer montrer ta chatte et tes seins en public non?

Jermain commente “N’oubliez jamais de faire retirer les chaussures et les bas, collants, chaussettes ou tout autres habits aux détenus, non seulement parce qu’une fouille à nu se fait par définition totalement à poil sans aucun vêtements, et que les chaussettes et assimilés sont des armes potentiellement dangereuse pouvant etre utiliser comme des armes, au USA des détenus mettent des pierres dans leurs chaussettes et ça représente un danger.

Le Capitaine fait enlever ses derniers morceaux de tissus à Safia qui en pleurnichant défait ses chaussures, une paire de tennis blanche et enroule ses bas le long de chaque jambes et laisse pendre ses seins en se baissant. Ses pieds sont assez petits et très jolis avec des orteils vernis en couleur vert flashy, ses petons sont bien entretenus.

Jermain intervient auprès de ses élèves pour leur rappeler une anecdote au sujet de séjours bostonien de la prisonnière. “Dans la résidence du campus universitaire, Safia et une de ses copines afro-américaines ont rendu un étudiant blanc esclave sexuelle pendant plusieurs semaines avec leurs pieds, Safia qui sur le Campus était en short, débardeur et tongs comme la plupart des étudiantes américaines quand il fait chaud avait remarquer que ce “pauvre” étudiant était spécialement attiré par ses pieds, elle l’a charmé et en a fait son véritable valet, elle le faisait faire le ménage à poil dans sa chambre, s’amusait à lui tripoter le zizi, a lui mettre des petits objets dans les fesses en rigolant avec sa copine. Donc pour ceux qui doutent encore que nous ayons à faire ici à une véritable obsédée sexuelle, je pense que vous êtes rassurés.

Safia doit remettre les mains bien sûr sa tête et écarter les jambes et les cuisses et ne pas bouger.

Jermain : “Revenons aux choses sérieuses et concrètes de ce cours pratique. Une fois la détenue complètement nue, privée de toute pudeur, exposée, et vulnérable, il n’y a aucune raison de se précipiter surtout quand c’est un joli modele. Regardez bien le détail important aussi, les affaires de la prisonnière sont mis dans un sac et sorti hors de la pièce, assurez vous que la détenue voit bien qu’elle n’a plus espoir de récupérer ses vêtements et de s’habiller, ça renforce son désespoir et sentiment d’impuissance.”

Jermain explique qu’on va passer à la fouille corporelle à proprement parler “Bien sur qu’en général les fouilles se font avec des gardes du même sexe que les prisonniers, mais lorsque vous êtes un interrogateurs, vous pouvez et je dirais même avez le devoir d’assister à la fouille, surtout quand c’est une femme. L’humiliation fait partie du processus et du travail d’adoucissement pour délier les langues.”

Jackson ordonne d’abord à Safia de secouer ses cheveux dans tous les sens, et de bouger sa tête d’avant en arrière, puis erzurum escort l’une des femmes soldates vient lui regarder dans les oreilles, lui fait grandement ouvrir la bouche pour y vérifier les gencives, sous la langue, et dans le fond de la gorge avec une lumière, puis de soulever ses seins, la gardienne palpe et caresse les seins de la captive tout en soulevant bien ses nichons. La surveillante vérifie aussi bien le ventre, spécifiquement le nombril et les aisselles. Ensuite, Safia doit faire quelques squats toute nue et tousser fort, tous les yeux sont rivés sur sa chatte et son anus. Ensuite, elle doit se pencher et toucher ses orteils et écarter les fesses pendant qu’une gardienne examine ses entrailles avec une lampe torche.

Puis les pieds nus de la prisonnière son aussi contrôlés, ses doigts de pieds sont minutieusement inspecté tout comme ses plantes de pieds.

Jermain ” Ceci est la procédure classique d’une fouille, mais ici nous sommes dans un contexte de guerre avec l’objectif d’assurer la sécurité maximum et de dégrader les prisonniers.”

Safia doit ensuite se placer sur une table, sur le dos, obligée de ramener les genoux vers elle et d’écarter les cuisses le plus possible. Les organes génitaux exposés à toute personne présente dans la salle. Une gardienne lui examine attentivement le vagin, en écartant les lèvres et triturant le clitoris, puis en y introduisant un spéculum pour bien écarter la chatte de la suspecte. Safia doit rester plusieurs minutes exposée ainsi et subir les moqueries et blagues de l’interrogateur.

Jermain dit à ses disciples “Imaginez la consternation que la pauvre fille doit ressentir?

Surtout que le capitaine Jackson et les gardiennes n’hésitent pas à commenter l’intimité de la prisonnière nue, surtout que l’une des soldates prend des photos de la détenue dans une position plus qu’embarrassante, sa chatte ouverte par un spéculum est photographiée , quelle “adorable petite chatte bien juteuse,!” “Notre salope se rase elle-même la chatte!”. Puis son anus aussi est mis en valeur et immortalisé par une photo, avec pour commentaire “Un petit anus bien serré et avec de jolis petits plis”, “Elle doit être bonne à enculer aussi cette salope”.

Les gardes mâles se masturbent devant elle satisfait de ce spectacle. Cathy et Melinda se déshabillent et ne gardent que leurs bottes, casquettes et colliers auxquels est accroché son matricule de soldate.

Cathy libère la chatte de la détenue de son spéculum et se met à masturber doucement la captive. Sur la table. Mélinda lèche le corps de Safia, elle lui fait plein de bisous sur tout le corps, elle lui bouffe littéralement les seins, sous le crépitement des flash de l’appareil photos. Safia est toute chaude et tout émoustillée de sentir la douceur de la bouche de la noire lui mordiller les tétons et la couvrir de baisers.

Jackson dit à Safia en riant “Si tu ne parles pas nous enverrons ses photos à ta famille et à ton frère pour leur prouver que tu es bien une salope de lesbienne qui en profite pour baiser, et nous avons aussi des témoignages de ce que tu as fait à Boston, dont quelques partouzes”.

Safia qui rougie, cette fois de plaisir, n’y prête pas spécialement attention, elle sent la langue de la soldate Cathy se promener sur le bas de son corps, Cathy lui mange cette fois-ci les orteils , elle passe sa langue de haut en bas, et lèche consciencieusement les pieds de l’Irakienne, sa langue passe bien sur ses plantes de pieds, puis elle lui embrasse et mord les orteils vernis un à un avant de remonter petit à petit ses longues jambes pour y introduire sa langue dans l’anus et le clitoris. Safia à aussi le droit de se faire lécher le cul, elle tremble et a un orgasme, mais l’Américaine assoiffée de sexe continue à lui lécher le cul. La soldate Melinda, quant à elle, embrasse l’Irakienne à pleine bouche et lui caresse le haut du corps.

Safia lui dit dans un parfait Anglais “, c’est trop, c’est trop arrête”, puis des spasmes l’interrompt elle se débat, mais elle ne peut rien faire face à cette avalanche de stipulation sexuelle. Jackson lui dit “Non nous n’arrêterons pas, car tu mouilles trop et tu aime ça.

Safia, leur crie “bande de pervers!” Et Jackson lui répond “Hahahaha toi aussi, tu en es une, tu a l’air d’aimer ça. Safia n’en peut plus et s’abandonne au plaisir des langues et des mains lesbiennes et elle jouit.

Les lesbiennes laissent un peu de répit à Safia, et Jackson l’accuse sur un ton d’inquisiteur d’avoir fait des choses sales. Safia essoufflée et la chatte toute mouillée n’a qu’une envie, recommencer, car Cathy à encore un doigt dans son cul et son clitoris est pressé par l’autre main de Cathy.

Jackson ordonne ensuite à Safia de se masturber, elle n’hésite pas, elle est chaude comme tout et à tout oublier ce qui se passe autour d’elle. D’une main, l’Irakienne se caresse et pince les mamelons et frotte et fait tourbillonner ses doigts sur ses lèvres et son clitoris avant de s’introduire des doigts dans la chatte.

Jermain intervient “Vous êtes raides, vous avez le droit de sortir vos bites et de vous masturber comme cette salope en profitant de ce magnifique spectacle.”

Quand la prisonnière jouit, les soldates l’essuient énergiquement. On lui laisse quelques instants de répit avant de la relever.

La Femme de Mon Proprio

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Amateur

Je m’appelle Guillaume. Etudiant à la Fac. 21 ans . Plutôt beau gosse, grand, plus d’1m85, blond, les yeux bleus. J’arrivais de ma province sur Paris et le plus dur dans ce cas la c’est toujours de trouver un logement. J’en avais visiter plusieurs et la plupart étaient soient hors de pris soit carrément insalubre. J’avais rendez-vous ce samedi après-midi pour en visiter un autre. J’avais eu le propriétaire au téléphone la veille, un type pas vraiment aimable, et il m’avait simplement préciser qu’il serait absent et que ce serait sa femme qui ferait la visite.

J’arrivais un peu en retard à l’endroit prévu. Je sonnais et ,surprise, une magnifique blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte. Elle devait avoir une soixantaine d’années mais elle était encore bien conservée pour son âge. Je m’excusais pour mon retard et elle me fit entrer. Nous commençons à visiter l’appartement. Enfin l’appartement…Le petit studio…Elle porte une jupe noire sur des bas noirs. Ses talons aiguilles noirs vernis la grandissent et elle presque de ma taille. Mais c’est surtout ses seins qui m’impressionnent. Elle porte un haut moulant sous sa veste de tailleur avec un décolleté qui ne cache pas grand chose. Plusieurs fois au cours de la visite, je ne peux m’empêcher de mater ses jambes et ses seins. Je crois bien qu’elle s’en rend compte et je la vois rougir.

Elle se tourna vers moi et m’annonça le prix du loyer. Enorme! Je lui dit que eskişehir escort je ne peux pas payer une telle somme. L’épouse du propriétaire parut ennuyée.

– C’est que je crains que mon époux refuse de baisser le loyer…

Elle rougit encore quand je la regarde droit dans les yeux. J’ai du succès avec les femmes en général. Mais d’habitude elles sont de mon âge, bien qu’il me soit déjà arriver de me taper des cougars en boite de nuit. J’ai souvent constaté qu’elles étaient beaucoup plus salopes et surtout plus soumises que les filles de mon âge. Je m’approche d’elle et elle recule, effrayé par mon regard. Elle se retrouve coincée contre le mur. Je suis contre elle maintenant.

– Qu’est ce que vous faites? Balbutie t’elle.

– On pourrait peut être s’arranger sur le prix?

– Quoi!!! Mais vous êtes fous!

Je lui prends les seins à pleine mains, les malaxant sans douceur. Elle pousse un petit cri et se débat mollement. Je continue et elle ferme les yeux.

– Arrêtez, arrêtez! Bafouille t’elle, rouge comme une pivoine.

J’arrive à baisser le haut, découvrant un soutient-gorges en dentelle rouge dont les énormes seins débordent littéralement. Je baisse les balconnets et me penche suçant la pointe de ses tétons. La femme du proprio se débat, les cheveux en bataille, le souffle court. Elle me supplie de la laisser. Je n’en ai cure, je suis trop excité, je veux gaziantep escort baiser cette belle salope .

Je relève sa jupe et découvre qu’elle ne porte pas de collant mais des bas accrochés à un porte-jarretelles rouge également comme le string. Je ricane.

– Mais dis donc, ça joue les bourgeoises mais ça portes des dessous de putes…

Elle rougit violemment.

J’écarte le string et lui titille le clitoris, enfonçant mes doigts dans sa chatte. Et la surprise! Elle coule comme une fontaine! J’agite mes doigts de plus en plus vite et Madame pousse un long gémissement. J’éclate de rire.

– J’en étais sur que t’étais une grosse salope, je pense que je vais l’avoir ma baisse de loyer…

Je l’oblige à s’accroupir devant moi et je sors mon membre. Je bande comme un fou et je force le barrage de ses lèvres rouges enfonçant mon gland dans sa bouche. Je lui agrippe les cheveux et fait coulisser ma queue entre ses lèvres. L’étouffant à moitié. Elle proteste mais j’appuie sur sa nuque enfonçant ma bite au fond de sa gorge lui provoquant un haut le cœur. Sa tête monte et descend sur mon membre, je sens sa langue qui titille mon gland. Quelle suceuse!!

Je la relève. Elle est toute rouge, haletante. Le soutient-gorges baissée, les seins à l’air, la jupe tirebouchonnée autour de la taille.

– Comment tu t’appelles?

– Claudine, bafouille t’elle.

giresun escort A quatre pattes, Claudine, Allez!!! Obéie!!

Claudine secoue la tête et proteste. Je lui donne quelques claques sur les fesses et elle se précipite sur le sol, son cul tourné vers moi. Je lui enfonce de nouveau mes doigts dans la chatte la branlant sans ménagement. J’entends ma bourgeoise qui gémit et secoue la tête. Mes doigts sont couvert de mouille et je lui ordonne de me les nettoyer. Elle s’exécute, léchant mes doigts. Non seulement la femme de mon propriétaire est une salope mais c’est aussi une soumise. Je vais m’éclater avec elle . Je la pénètre, mes mains agrippées à ses hanches grasses et je la pilonne brutalement lui donnant de violents coups de reins. Mon ventre vient claquer contre ses fesses. Ses gros seins ballottent dans tous les sens sous mes coups de boutoirs. Claudine balbutie des mots sans suite…

– Oui,oui, non, Oh mon Dieu, je vais jouir…Je vais….

Elle poussa un cri strident et s’effondra sur le sol.

N’en pouvant plus, je me positionne devant son visage ravagé et éjacule sur elle en de longs jets saccadés, l’aspergeant de mon foutre. Elle en a sur le front, le nez, dans les cheveux…Des filaments coulent de son menton pour tomber sur ses seins. Comble de l’humiliation, je la contraint à nettoyer le sol en léchant le sperme tombé à terre.

Claudine est rhabillée, honteuse, elle n’ose pas me regarder.

Elle a baissée le loyer de moitié.

– T’es vraiment une chienne Claudine, à partir de maintenant t’es ma pute personnelle.Tu viendras me voir régulièrement prendre ton coup de queue. Et habiller sexy. J’ai des potes à te présenter!

Claudine sort de l’appartement précipitamment.

Der Ferienjob Teil 01

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Big Tits

Tina schaute nochmal auf den Zettel in ihrer Hand und versicherte sich, dass sie vor der richtigen Haustüre stand.

Dann drückte sie die Klingel an der Mauer neben dem schweren schmiedeeisernen Tor.

Es dauerte eine Weile bis eine krächzende Stimme aus der Sprechanlage erklang: “Ja?”

“Ich komme von der studentischen Jobvermittlung, wegen dem Ferienjob.” antwortete Tina.

“Oh, ja! Komm rein.” krächzte es wieder aus dem Lautsprecher.

Ein kurzes Klicken ertönte und dann öffnete sich summend das Schmiedeeiserne Tor wie von Geisterhand.

Tina lief staunend die lange Auffahrt hinauf bis vor die Tür der großen, schönen Villa.

Noch nie hatte sie ein solches Anwesen aus der Nähe gesehen.

Rechts neben der großen Haustür stand ein dunkel-blauer Porsche in der Auffahrt.

Gerade als sie die Stufen zur Haustür hinaufstieg, öffnete sich die Tür und eine umwerfend attraktive Frau trat ihr entgegen.

Sie war ca. 40 Jahre alt, sehr schlank, aber mit recht üppigen Brüsten, die sich durch den blutroten Morgenmantel abzeichneten. Sie hatte langes schwarz gewelltes Haar und grüne, leuchtende Augen.

Ihr Gesicht war von einer solchen ebenmäßigen Schönheit, dass es Tina fast die Sprache verschlug.

“Hi, ich bin Claudia S.! Aber nenn mich ruhig Claudia. Komm doch rein!” wurde Tina von ihr begrüßt.

“Hallo! Ich bin Tina. Ich komme wegen dem Ferienjob.” wiederholte sie etwas schüchtern.

“Prima! Dann lass uns doch gleich in den Garten gehen.” meinte Claudia und führte Tina durch den langen Flur und ein sehr modern eingerichtetes Wohnzimmer, bis hinaus auf die Terrasse.

Vor ihnen lag ein weitläufiger, schöner Garten, mit Blumenbeten in allen Farben und einer Gruppe hoher alter Tannen.

An der rechten Seite der Terrasse befand sich ein Swimmingpool und gleich dahinter ein kleiner Geräteschuppen.

Der ganze Garten war von einer hohen Hecke umzäunt.

“Das ist aber ein schöner Garten!” staunte Tina beeindruckt.

“Ja, das ist er.” nickte Claudia zustimmend.

“Aber leider macht er auch viel Arbeit und da mein Gärtner 2 Wochen Urlaub hat, könnte ich ein klein wenig Hilfe von Dir gut gebrauchen.” seufzte sie.

“Verstehe.” nickte Tina.

“In den Beten sollte mal wieder das Unkraut gejätet werden und die Rosen müssen geschnitten werden. Der Rasen sollte gemäht und der Pool gereinigt werden. Und der kleine Geräteschuppen da drüben könnte mal wieder etwas Farbe vertragen.” zählte sie auf.

“Du siehst, es gibt viel zu tun.” seufzte sie erneut.

“Ok! Womit soll ich anfangen?” klatschte Tina in die Hände.

Claudia lachte überrascht von so viel Tatendrang.

“Ich würde vorschlagen, Du fängst mit den Rosen an. Eine Gartenschere findest Du im Geräteschuppen.”

Tina holte die Gartenschere aus dem Schuppen und begann die Rosenbüsche zurückzuschneiden.

Claudia hatte sich neben dem Pool auf eine Liege gesetzt und telefonierte mit ihrem Handy.

Das Wetter war herrlich, der Himmel wolkenlos, so dass es sicher um die 30° Celsius im Schatten hatte.

Obwohl Tina eigentlich ganz froh war über das schöne Wetter, geriet sie doch ziemlich ins Schwitzen.

Und, dass Claudia sie während des Telefonierens scheinbar genau beobachtete, machte die Sache für Tina nicht eben leichter.

In ihre Arbeit vertieft, bemerkte Tina erst, als sie mit den Rosenbüschen fertig war, dass Claudia inzwischen wohl ins Haus gegangen war, denn sie war weit und breit nirgends mehr zu sehen.

Tina überlegte, dass es wohl eine gute Idee wäre, als nächstes den Rasen zu mähen, da er schon ziemlich hoch war.

Doch als sie den Rasenmäher im Geräteschuppen begutachtete, bemerkte sie, dass der Benzintank fast leer war.

Auch der Reservekanister, der daneben stand, war bereits leer.

Sie würde wohl neues Benzin holen müssen – doch dazu würde sie Geld brauchen.

Also beschloss sie, Claudia nach etwas Benzin-Geld zu fragen.

Sie ging zurück zur Terrassentür. In der Tür blieb sie stehen und rief nach Claudia – doch sie erhielt keine Antwort.

Also ging sie hinein, durchs Wohnzimmer bis in den Flur. Dort angelangt, rief sie erneut nach ihr – doch anstelle einer Antwort, vernahm sie nur ein leises Geräusch, das aus dem oberen Stockwerk zu kommen schien.

Also ging Tina die Treppe hinauf.

Gerade, als sie erneut nach Claudia rufen wollte, hörte sie ein lautes Stöhnen, dass aus einer Tür ganz in ihrer Nähe kam.

Erschrocken und neugierig zugleich, schlich sich Tina vorsichtig zu der Tür, die eine Hand breit offen stand.

Sie schaute durch den Türspalt hinein. Zunächst konnte sie nichts Besonderes erkennen, doch dann sah sie Claudia durch einen Spiegel, der in der Zimmerecke gegenüber der Tür stand.

Claudia lag vollkommen nackt auf einem großen Bett. Ihre Beine waren weit gespreizt und während sie mit ihrer einen Hand ihre Brüste knetete, fickte sie sich selbst mit zwei Fingern ihrer anderen Hand. Mit schnellen, heftigen Stößen, stieß sie immer und immer wieder tief in ihre blank-rasierte ardahan escort Möse.

Tina blieb wie angewurzelt stehen und konnte ihren Blick einfach nicht von Claudia abwenden. Das war das geilste, was sie je gesehen hatte und sofort spürte sie, wie eine Hitze auch zwischen ihren Beinen aufstieg.

Mit zitternden Knien sah sie weiter zu, wie Claudia inzwischen ihre Finger aus ihrer Fotze gezogen hatte und sie nun genüsslich abschleckte, nur um sie sogleich wieder in ihren Honigtopf zu tauchen und sie anschließend erneut abzuschlecken.

Schließlich verrieb sie ihren glitschigen Mösensaft auch noch genüsslich über ihre ganze Möse und ganz besonders über ihre vor Erregung angeschwollene Klit, wobei sie vor Lust erneut laut stöhnte.

Tina spürte, wie ihr Slip von ihren eigenen Säften langsam feucht wurde, doch sie traute sich nicht, auch nur die kleinste Bewegung zu machen. Stattdessen schaute sie gebannt, weiter dabei zu, wie sich Claudia langsam ihrem Höhepunkt näherte.

Noch immer rieb sie mit einer Hand in Kreisen über ihre steife Klit, während sie mit der anderen Hand inzwischen wieder begonnen hatte, sich selbst mit drei Fingern zu ficken.

Mit laut klatschenden Geräuschen, stieß sie immer heftiger und schneller ihre Finger in ihr triefendes Loch und stöhnte dabei lauthals ihre Geilheit hinaus.

Schließlich war es soweit!

Ihr ganzer Körper verkrampfte und mit einem lauten “Aaaahhhhhh!” überrollte sie ihr Höhepunkt.

Eine Zuckung nach der anderen durchfuhr ihren schweißgebadeten Körper, während sie noch immer in Kreisen ihre sensible Klit massierte.

Als ihr Orgasmus schließlich etwas nachließ und sie langsam ihre Finger aus ihrer zuckenden Fotze heraus zog, beschloss Tina, dass es an der Zeit war, schleunigst zu verschwinden, damit sie nicht womöglich noch entdeckt werden würde.

Schnell schlich sich Tina, die Treppe hinunter, durch den Flur und das Wohnzimmer, bis hinaus in den Garten.

Dort angekommen, blieb sie stehen und überlegte, was sie nun tun sollte.

Sie wollte sich nichts anmerken lassen und beschloss daher, statt den Rasen zu mähen, einfach das Unkraut zu jäten.

Während sie über dem Blumenbeet kniete und begann die kleinen Unkraut-Pflänzchen auszureisen, spürte sie, wie ihr komplett durchnässter Slip zwischen ihren erregten Schamlippen klebte. Sofort kamen ihr die erregenden Bilder von Claudia wieder in den Sinn, wie sie dort auf dem Bett lag und sich selbst zum Höhepunkt gefickt hatte.

Tina hatte schon oft über Sex mit einer anderen Frau phantasiert während sie masturbierte und hatte dadurch auch schon manch herrlichen Orgasmus erlebt – aber nie wäre sie auf die Idee gekommen, das auch mal in der Realität auszuprobieren! Aber der Anblick von Claudias feuchter Möse hatte sie so unglaublich geil gemacht, dass sie am liebsten ihre Zunge sofort tief in diese herrliche Lustgrotte gesteckt und jeden Tropfen ihres Mösensaftes aufgeschleckt hätte, den sie hätte kriegen können.

Noch während Tina ihren lüsternen Gedanken nachhing, hörte sie plötzlich wie ihr Name gerufen wurde.

Sie drehte sich um und sah, das Claudia – wieder bekleidet mit ihrem Morgenmantel – auf der Terrasse stand und sie zu sich her winkte.

Tina erschrak. Hatte Claudia sie etwa entdeckt, wie sie sie beobachtet hatte? Was würde jetzt geschehen?

Doch als sie sich der Terrasse näherte, merkte sie schnell, dass das wohl nicht der Fall war, da Claudia ihr ein großes Glas mit eis-gekühlter Limonade entgegenstreckte.

“Komm, setz Dich zu mir! Du solltest mal eine Pause machen, bei der Hitze!” lachte Claudia ihr entgegen.

Tina nahm dankend das Glas Limonade und setzte sich Claudia gegenüber auf die zweite Liege, die neben dem Pool stand.

“Du bist ja schon ganz nass geschwitzt.” bemerkte Claudia.

Tina lief rot an, denn sie wusste ja den wahren Grund für ihren Schweißausbruch.

“Ja, es ist wirklich ziemlich heiß.” bestätigte sie.

“Kein Wunder bei dem Wetter! Mir ist auch ziemlich heiß.” bemerkte Claudia und öffnete ihren Morgenmantel ein Stückchen weiter, so dass Tina einen tiefen Einblick in ihr Dekolleté erhaschte. Offensichtlich trug sie unter dem Morgenmantel keinen BH, so dass Tina den Schweiß auf den Innenseiten ihrer schönen, großen Brüste sehen konnte.

Bei der Vorstellung, dass Claudia unter dem Morgenmantel vielleicht sogar noch ganz nackt war, lies einen warmen Schauer durch Tinas Körper laufen. Sofort kamen ihr wieder die Bilder von der nackten Claudia in den Sinn, wie sie sich vor wenigen Minuten noch selbst gefickt hatte und selbst, wenn es vielleicht nur Einbildung war, so glaubte Tina doch für einen Moment, den moschus-ähnlichen Duft Claudias Möse riechen zu können.

Verlegen schlürfte Tina an ihrer Limonade und versuchte verzweifelt an etwas anderes zu denken.

Zum Glück begann Claudia, ihr Fragen über das Studium zu stellen und begann auch von sich selbst zu erzählen.

So erfuhr Tina, dass Claudia tatsächlich viele Jahre als Laufsteg-Model gearbeitet und inzwischen ein eigenes, artvin escort recht erfolgreiches Mode-Label gegründet hatte. Sie war auch zweimal verheiratet gewesen, hatte sich aber vor zwei Jahren erneut scheiden lassen. Seither genoss sie das Single-Dasein, wie sie meinte.

Während sie sich so über Gott und die Welt unterhielten, bemerkte Tina erneut, wie wunderschön und sinnlich Claudia war. Sie war fast das genaue Gegenteil von ihr. Während Claudia groß, schlank und ein südländischer Typ mit schwarzen Haaren war, war sie selbst eher klein, athletisch und strohblond mit heller Haut. Nicht das Tina hässlich gewesen wäre, ganz im Gegenteil, sie war immer sehr stolz auf ihr Aussehen, aber mit Claudias umwerfender, sinnlich-erotischer Ausstrahlung konnte sie keines Falls mithalten – zumindest war sie davon überzeugt.

Sie unterhielten sich über eine Stunde lang sehr angeregt und es stellte sich heraus, dass sie sich wirklich gut verstanden. Und Tina bemerkte, dass sie Claudia nicht nur sehr schön, sondern auch wirklich sehr nett fand.

Doch dann wurde es wieder Zeit, an die Arbeit zu gehen. Tina widmete sich wieder dem Unkraut in den Blumenbeeten, während Claudia erneut einige Telefonate führte.

Als es schließlich Abend wurde, verabschiedete sich Tina kurz von Claudia und versprach, pünktlich um 13 Uhr am nächsten Nachmittag wiederzukommen.

++++

Kaum war Tina in ihrer kleinen Studentenbude angekommen, zog sie ihr schweiß-nasses T-Shirt und den BH aus.

Auch ihre Jeans streifte sie ab und zog schließlich auch noch ihren Slip aus.

Nackt wie sie war, lies sie sich auf ihr Bett fallen.

Die kühle Luft, die durch das offene Fenster herein wehte, tat ihr gut.

Doch es dauerte nicht lange, bis ihre Gedanken wieder um die nackte Claudia kreisten, wie sie da auf ihrem Bett gelegen und sich selbst befriedigt hatte.

Und sofort spürte Tina, wieder die Hitze in ihr aufsteigen und ein wohliges Kribbeln in ihrem Unterleib.

Sachte begann sie ihre Brüste zu streicheln, während sie an die blank-rasierte, vor Erregung dunkel-rot geschwollene Möse Claudias dachte.

In langsamen Kreisen begann sie ihre Klit zu streicheln, während sie sich die Bilder vergegenwärtigte, wie sich Claudia leidenschaftlich mit ihren Fingern gefickt hatte.

Mit drei Fingern ihrer anderen Hand tauchte sie schließlich in ihre bereits feuchte Grotte ein und begann sich langsam eben so zu ficken, wie es Claudia getan hatte.

Immer schneller und heftiger wurden ihre Stöße, während sie sich vorstellte, Claudia würde sie mit ihren Fingern ficken.

Kurz vor ihrem Höhepunkt, zog Tina schließlich ihre von ihrem eigenen Saft verschmierten Finger aus ihrer geilen Fotze und steckte sie sich in ihren Mund, während sie dabei unablässig ihre unglaublich erregte, steife Klit mit schnellen Hin- und Her-Bewegungen massierte. Voller Leidenschaft leckte sie ihren eigenen Mösensaft von ihren Fingern und stellte sich dabei vor, es wäre Claudias herrlicher Nektar, den sie da kostete.

Und beim Gedanken Claudias nasse Muschi zu lecken, war es schließlich so weit. Tina explodierte in einem unglaublich heftigen Orgasmus. Sie bäumte sich auf und musste ein lautes Stöhnen unterdrücken, damit ihre Mitbewohnerin nichts mitbekam. Ihr ganzer Körper erzitterte. Wie elektrische Stromstöße durchfuhr es ihren Körper immer und immer wieder.

Schon sehr lange hatte sie keinen so herrlichen Orgasmus mehr erlebt, dachte sie, als sie schließlich erschöpft, aber sehr entspannt auf ihrem Bett lag.

++++

Am nächsten Tag stand Tina, wie vereinbart pünktlich um 13 Uhr wieder im Garten der schönen Villa und begann damit, den Geräteschuppen neu zu streichen. Die Sonne stand bereits wieder hoch am Himmel und es war schon wieder ziemlich heiß, doch Tina hatte zum Glück dieses Mal ihre knappen Hotpants und ein bauchfreies T-Shirt an, so dass sie sich viel wohler fühlte.

Claudia lag wieder auf einer der Liegen neben dem Pool und telefonierte unablässig mit ihrem Handy.

Doch gerade als Tina damit beschäftigt war, eine weitere Dose Farbe zu öffnen, legte Claudia das Handy zur Seite, stand auf, ging zum Rand des Pools, öffnete ihren Morgenmantel und lies ihn zu Boden gleiten. Zu Tinas Überraschung war Claudia nun vollkommen nackt. Mit einer eleganten Bewegung sprang sie kopfüber in den Pool.

Tina stand wie unter Schock und starrte auf das Wasser, in dem Claudia nackt, wie Gott sie schuf, nur ungefähr 5 Meter von ihr entfernt, ihre Bahnen zog.

Für einen kurzen Moment schaute Claudia zu Tina hinüber und lächelte. Da erst bemerkte Tina, dass sie noch immer auf Claudia starrte. Etwas verschämt, begann sie mit rotem Kopf sich sofort wieder an ihre Arbeit zu machen.

Doch als Claudia schließlich wieder aus dem Pool stieg und sich noch immer nackt wie sie war, auf eine der Liegen neben den Pool in die Sonne legte, konnte Tina nicht anders und schielte immer wieder zu Claudia hinüber.

Es war ein göttlicher Anblick, wie diese unglaublich, perfekte Schönheit dort vollkommen nackt bodrum escort nur wenige Meter von Tina entfernt auf der Liege lag und sich in der Sonne räkelte.

Dieser Anblick entfachte in Tina bereits wieder ein wildes Feuer und sie spürte, wie sie bereits wieder feucht wurde zwischen ihren Beinen.

Doch zu Tinas Bedauern, stand Claudia nach einiger Zeit plötzlich wieder auf, zog sich den Morgenmantel über und verschwand im Haus.

Nach ca. einer viertel Stunde erschien sie jedoch wieder auf der Terrasse mit einem Tablett in den Händen, auf dem zwei große Gläser mit Limonade standen.

Sie setze sich wieder auf die Liege und rief Tina zu sich.

Dankbar nahm Tina das Glas Limonade an, das Claudia ihr anbot und setzte sich auf die andere Liege ihr gegenüber.

Sie machten wieder etwas Smalltalk über das schöne Wetter und ähnliche Themen.

“Das ist aber ein schönes Tatoo!” bemerkte plötzlich Claudia und deutete auf Tinas kleinen Delphin über ihrem Bauchnabel.

“Oh, das. Ja. Danke!”

“Hat das weh getan?” wollte Claudia wissen.

“Nein, nicht sonderlich.” wiegelte Claudia stolz ab.

“Ich habe auch ein Tatoo. Warte ich zeige es Dir.” meinte Claudia und öffnete zu Tinas Verblüffung eine Seite ihres Morgenmantels ein Stück und entblößte so ihre linke Brust. Tina erkannte eine geschwungene Rose mit stacheligem Stiel, in deren Blüten-Mitte Claudias Brustwarze lag.

“Das hat allerdings ziemlich weh getan! Auch noch Tage danach!” kommentierte Claudia.

Dann streichelte sie langsam mit dem Zeigefinger ihrer rechten Hand über die Rose und ihren Nippel und meinte:

“Aber jetzt fühlt es sich herrlich an!”

“Hier, fühl mal!” fügte sie hinzu und ehe Tina reagieren konnte, nahm sie Tinas rechte Hand in ihre und legte sie sich auf ihre Brust.

Vollkommen überrumpelt wusste Tina nicht, wie sie reagieren sollte, während Claudia ihre Hand festhielt und sie langsam über ihr Tatoo und ihre Brustwarze gleiten lies.

Und anstatt ihre Hand wieder loszulassen, lies sie sie weiter über ihre ganze Brust wandern und schloss dabei sogar genüsslich ihre Augen.

“Oh, ja! Das fühlt sich so gut an!” stöhnt sie dabei leise.

Tina war vollkommen perplex.

“Aber Claudia, was tust Du da!?” fragte Tina nach einer Weile verwirrt.

Claudia öffnete wieder ihr Augen, blickte Tina direkt an und antwortete: “Ist das nicht offensichtlich? Ich verführe Dich!”

Und nach einer kurzen Pause fügte sie hinzu: “Tina, ich will Dich! Du machst mich total scharf!”

Tina konnte nicht glauben, was sie da hörte.

“Du glaubst mir nicht?” fragte Claudia, als sie Tinas Gesichtsausdruck bemerkte.

Während sie in der einen Hand noch immer Tinas Hand festhielt, öffnete sie mit der anderen ihren Morgenmantel ganz, so dass nicht nur beide ihre nackten Brüste, sondern auch der Rest ihres nackten Körpers zum Vorschein kam.

“Hier! Da kannst Du es spüren!” und bei diesen Worten, führte sie Tinas Hand von ihrer Brust hinab zwischen ihre Beine und legte sie auf ihre blank rasierte Möse.

Sie spreizte ihre Beine ein Stück weiter und drückte Tinas Finger tiefer in ihre weiche rosa-farbene Spalte.

Und dann konnte Tina tatsächlich deutlich die Nässe ihrer heißen, erregten Muschi an ihren Fingern spüren!

“Spürst Du wie feucht ich Deiner wegen bin!” stöhnte Claudia laszive und drückte Tinas Hand noch stärker an ihre geile Möse und begann mit Auf- und Abbewegungen ihres Beckens Tinas Finger durch ihre glitschige Spalte zu reiben.

“Und Deine lüsternen Blicke vorhin am Pool haben mir verraten, dass Du mich auch willst!” hauchte Claudia.

Inzwischen überwand Tina langsam ihren Schock und stellte fest, dass Claudia natürlich vollkommen Recht hatte und es machte sie tierisch an, mit ihren Fingern diese unfassbar geile, weiche Muschi zu streicheln. Claudia hatte große lange Schamlippen, viel größer als Tinas und es fühlte sich herrlich an, diese heißen, fleischigen Lippen zu streicheln.

Wie unter Hypnose streichelte sie weiter Claudias feuchte Spalte rauf und runter.

“Ohh, jaa! Das fühlt sich so gut an! Bitte, hör nicht auf!” stöhnte Claudia und lies Tinas Hand nun freies Spiel.

Tina hatte auch gar nicht vor aufzuhören – ganz im Gegenteil!

Als Tina schließlich den Eingang zu Claudias Lustgrotte unter ihren Fingern spürte, konnte sie nicht widerstehen, krümmte ihre Finger etwas und lies sie langsam immer tiefer in sie hinein gleiten. Ohne jeden Widerstand tauchten ihre Finger immer tiefer in Claudias triefend nasses Loch.

“Ohh, mein Gott! Jaaa, Tina! Fick mich!” stöhnte Claudia mit lustverzerrter Stimme.

Und Tina fickte sie, zunächst mit einem, dann mit zwei und schließlich sogar mit drei Fingern, während sie dabei gleichzeitig mit ihrem Daumen Claudias steife Klit massierte.

Claudia stöhnte und hechelte inzwischen unablässig und stieß immer wieder ein langgezogenes “Ohhh, jaaa!” hervor.

Sie hatte ihren Kopf lustvoll in den Nacken geworfen und streckte Tina mit weit gespreizten Beinen verlangend ihre Möse entgegen.

Und Tina tat nur zu gerne was von ihr verlangt wurde. Sie fickte Claudia mit immer schnelleren und heftigeren Stößen ihrer Finger, während sie mit ihrer anderen Hand begonnen hatte, Claudias Klit mit schnellen Hin- und Herbewegungen zu massieren.

Princess Poppy

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Amateur

Princess Penelope Visounche, Poppy for short, woke up alone in her bedroom. She lay naked as she rubbed her feet together and curled deeper into her silk white sheets. She knew to expect her company soon, one of the castle staff would knock on her door with warm tea at exactly 8:15 every morning.

Her pert nipples stood erect in the morning cold, while she sat up and stretched her arms and legs. Her long, wavy brown tresses cascaded over her shoulders, down her back and her bright blue eyes shimmered with excitement for the day to begin. She had of course, been waiting for this day all month. Knock, knock, knock

Poppy heard a soft tapping on her door. “Come in,” Poppy sang softly.

Aneshka slowly opened her bedroom door then she shut it behind her.

“Good morning miss, I have your mint tea and your royal dress has been pressed for you. Let’s get you dressed.”

Poppy smiled warmly and lifted her arms for Aneshka to pull off her nightgown. She had been one of the house managers to the Royal Visounche family as long as she’d remembered, probably as long as Poppy’s been alive. Closest to Poppy growing up, once she’d finally turned 25 and looked to live on her own smaller property, separate from her family and mother, The Queen, it seemed right for Aneshka to stay with Poppy in the move as her new house manager. Poppy’s older sister Anastasia was next in line to be queen, so there wasn’t much responsibility for her other than an expected marriage one day.

Goosebumps sucked Poppy back into the present while Anee helped with her dressing. She warmed a generous amount of oil in her hands and it made Poppy giggle when she rubbed it over her body. Anee rubbed oil and moisturized Poppy’s legs, then her arms, her stomach, then left the rest to her neck and tits. Poppy let her head lay back and eyes close in relaxation. All of Anee’s rubbing made poppy want to bend her over and hump her beautiful behind until she came, but that would be saved for a new friend. She also knew that Aneshka did not particularly like being humped, not that Poppy didn’t force her by royal command from time to time anyways.

Finally, Aneshka pulled the last dress-strings up and tied them tight so the princess looked clean and neat. She slipped on her comfy palace heels, kitten heels maybe even shorter. Anee stepped back and admired the princess then gave a satisfied huff with approval of the outfit. Aneshka turned to exit the bedroom, and they started down the long corridor where excited whispers and taps echoed at the end room.

Poppy was pleased to see that her interviews had arrived on time. Now that she was living on her own, she had organized to meet with eligible women for the role of the royal handmaiden to the princess. All of about 30 girls were lined up and stood, tall and still as the princess gracefully entered the room behind Aneshka. Poppy felt her clit tingle with excitement to finally pick her handmaiden after so long. She had been very specific in what she wanted when the guards were looking for women to recruit from the kingdom. adana escort Poppy was happy to see all of these women were more than viable options, absolutely stunning, each and every one of them.

Poppy walked down the line of women, silently. Examining each of them for royal perfection. She eventually rolled to a stop at the second to last girl in line. The girl’s hands shook, out of nervousness. Her pale freckled cheeks slowly pinked up as the princess scrutinized her. The intricate braid her mother had weaved into her long blonde locks felt childish in this room of seasoned women. All that was left from her older sisters was a much too small gown, Annette had received the invitation far too late for there to be alterations done on the dress. Her huge, back-straining tits were spilling out of the front and sides of her top. Watching her sheepishly try to cover herself made Poppy’s pussy hot. Annette’s milky tits were in full view as Poppy’s 5’10ft tall body practically towered over the poor girl who stood at barely 5ft tall.

“What’s your name dear?”

“Annette Dupri, my princess.”

“Meet me in my chambers tonight love, I will begin instruction for you to start your duties as my royal handmaiden.” Poppy firmly commanded before she left the room swiftly followed by her security detail. She chuckled as she heard the rest of the women in the room sigh in sadness as they all began to realize that they’ve missed their chance at the position.

Poppy waited excitedly for Annette. She had eaten dinner early and bathed quickly like a child on Christmas Eve. She giggled as now she lay naked in her bed, again, while she waited for her new plaything to make her way to her bedroom. The small rap against her bedroom door was like music to her ears. Annette shuffled into Poppy’s bedroom meekly, she again, tried to cover herself up to no avail. The princess’s house servants were instructed to dress Annette in a thin nightgown. Poppy is happy to see her nipples standing and staring back at her. Poppy focused on them moving beneath the thin fabric, fighting the urge to rip them free of their confines. Poppy commanded Annette to shut the door behind her.

“Good evening Princess. I am here to your chambers as you asked. Did you need assistance bathing? Or maybe a foot massage?”

“No, thank you, Annette Dupri we both have a long night ahead of us,” Poppy whispered. “I’d like you to start with undressing completely please. I want to have a look at you.”

Annette gave a puzzled look, but obliged to the princess nonetheless. She slipped the straps off of her shoulders and let the fabric fall to the floor and pool at her ankles. She stood silently as the Princess stared at her naked body hungrily. Annette felt like prey with Princess Poppy being her predator. Poppy stood, still nude, and slowly approached her, eyes locked on her boobs. Annette stood still as Poppy touched and groped as she pleased. Poppy ran her warm hand between Anette’s legs and squeezed her tit hard enough to elicit a gasp from Annette’s lips.

“Come ankara escort now Anette, I’ve been waiting for you all afternoon dear.” Annette was equally as uncomfortable as she was nervous. All she wanted was to put her nightslip back on. She had never been this vulnerable and shown this much skin to anyone before in her life. Being the youngest of her siblings, she was kept very close to home. When the invitation came for this prestigious opportunity in the castle, she knew it would be life changing for both her and her family’s status. Those words might mean differently to her now, as Princess Poppy guided her hand through the dimly lit room.

Poppy climbed up the steps to her custom-made bed. Poppy wanted a mattress as massive as money could buy, just in case she decided to have more than one “guest” in her suite that night. She instructed Annette to lay out on the bed and spread her legs as wide as she could.

Annette could cry, she was terrified. The princess climbed to her knees and settled in between her legs. Her pussy was forced to be exposed to her attacker, and Annette knew she dare not move. Refusing a royal command was punishable by treason.

“Annette, you will lay here and be still until I am finished with you. I will not hear complaints and you will sleep here once we are finished.”

“Y-y-yes Princess, as you command” Annette whimpered out in response. Her legs shook out of fear, with no idea of what the Princess was about to do to her. Annette had never even been intimate with a man before, she wondered what sex with a woman would be like.

Poppy reached her arm down to her own sopping pussy lips and spread them apart to expose her throbbing clit. Poppy looked down Annette’s body to see a small tuft of hair hiding a pair of perfect pink lips, barely poking out behind her outer labia. The Princess lowered her pelvis down to Annette’s virgin mound and let out a satisfied groan as her exposed clit made contact and Poppy humped her little toy.

Annette squeaked in response as a tear rolled down her cheek. She wanted to go home, to leave this room and run until she hit the village. She could only sob and grip the bed sheets on either side as Princess Poppy rutted into her. Poppy grabbed Annette’s small hips and increased speed in her humping. Poppy could feel her clit building dangerous amounts of friction, she thrusted and rubbed her clit up and down Annette’s wet slippery slit. She shuddered as she felt her orgasm begin to build at the bottom of her stomach.

Poppy suddenly reached behind and grabbed Annette’s buttocks, gripping both cheeks harshly. She was thrusting into her at her hardest now. Poppy’s hot sighs of ecstasy gave Annette goosebumps down her neck as she wethered The Princess’ weight over her small frame as she tribbed on her young pussy. Poppy felt her butt-cheeks clench in with each deep thrust she delivered into Annette. While Annette was frozen in fear, trying to remain as still as possible so as to not provoke her attacker anymore. The Princess’s legs shook with her adıyaman escort nearing orgasm.

“Are you ready for my royal nut Annette?” Princess Poppy was gasping for air at this point. She was pounding Annette’s mound, she was right on the brink of cumming all over her royal subject.

“Yes, Princess please. Then I’d like to go home please.”

Poppy shrieked and convulsed still on top of Annette. Her clit throbbed as waves of orgasm rushed over her and left her light-headed. Poppy’s pussy still remained level with Annette’s while she laid her weight on top of her and she caught her breath. Annette wriggled helplessly and choked out a plea for mercy.

“Please miss, now that you’ve finished I’d like to go home. My parents will receive me. I would like to decline this job ma’am if I could.”

Poppy got up to her knees again and this time opened her legs on either side of  Annette’s body. She knelt down and stared into Annette’s deep brown eyes. Poppy’s chilling baby blues were firm and Annette found herself unable to look away.

“You’re never leaving again Annette, I thought that was clear when we also sent for your belongings. You’ve said your goodbyes to your family. You and your body are at my disposal as my royal handmaiden and are to be used however I see fit,”  Poppy barked out in a queenly manner.

Annette continued to sob and covered her eyes with her hands as the Princess sighed contently, satisfied with the defeat of her new friend. Poppy gently grabbed Annette’s wrists and pinned both to either side of her head flat out on the bed. Annette’s legs still remained sprawled out on the bed, helplessly. Poppy gave a soft kiss to the top Annette’s cheek, still wet with her tears while Annette’s eyes remained clamped shut.

Poppy leaned down to Annette’s ear to whisper, “you’ll want to see this dear, you should open your eyes Annette.”

Annette opened her eyes only to find the princess’s eyes now to be closed above her. She felt the familiar wet sensation of The Princess’ pussy touching hers. Poppy’s lips began to turn up into a knowing smile, then she sighed with relief as she let open the floodgates and started to pee on this sweet girl. Annette began to struggle, horrified by what was happening but helpless against the princess’ weight. Her flow seemed endless and Poppy just groaned shamelessly and erotically. At one point Annette felt the princess hump and massage her lips apart to ensure that the royal urine got thoroughly into her pussy folds and hole. The princess was marking her territory. Finally the hot stream dribbled to a stop and the princess shook her little bum then climbed off of Annette, then off of the bed. Poppy stood there and admired her work. Annette sat in the middle of the sheets shaking, soaked in a royal golden shower.

“Annette please change my sheets then come to bathe us so we can go to sleep it’s getting late. I will instruct the servants to run us a hot bath” poppy strutted off, her hips swayed as she almost skipped to the bath. She was so happy to finally have her own handmaiden.

“Yes, Princess,” Annette’s legs shook as she climbed off the bed and began stripping the bed, unsure of what to do next.

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More chapters to come if you’re interested in what comes next 🙂

Véronique Ch. 03

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Big Tits

Suite à son « drive fuck », Igor avait ramené Véronique sur le parking de l’hypermarché pour qu’il puisse lui-même récupérer son propre véhicule. Celle-ci était restée allongée sur la banquette arrière après son coït anal, essayant de retrouver ses esprits après s’être laissée entraînée du côté obscur. Elle mit un long moment, une fois qu’Igor avait quitté sa voiture sans un regard pour elle, pour se relever, remettre de l’ordre dans ses vêtements, puis tenter de nettoyer le siège arrière maculé du sperme d’Igor qui s’était écoulé de son cul! Elle finit par reprendre le volant pour rentrer chez elle, dans un état de confusion avancé, boulversée par le téléscopage d’un profond sentiment de honte et du souvenir du plaisir inouï ressenti au moment de son premier orgasme anal conscient!

Je croisai Stéphane au boulot la semaine suivante, nous discutâmes de choses et d’autres, et j’appris entre les lignes qu’ils recevaient des amis le samedi soir chez eux. Je commençai à échafauder un petit plan pour profiter moi aussi de cette soirée.

Le samedi soir, Je m’approchai de la maison de Stéphane et Véronique. Il était 19h, le soleil d’automne commençait à décliner. Je m’arrêtai sur une place de parking à une centaine de mètres, m’habillai de manière discrète, puis me dirigeai à pied vers la maison, l’air de rien (espérant ne pas croiser Véronique ou Stéphane!!), et m’étant assuré que j’étais seul dans la rue, je me faufilai le long de leur mur de clôture, caché par une végétation important côté extérieur. J’avais prévu une sorte de marche-pied pour atteindre le sommet du mur (qui faisait presque 2m50 de haut, ils ne souhaitaient visiblement pas être dérangé, mais cela n’allait pas m’arrêter!), je me hissai au sommet du mur : j’avais choisi judicieusement la place, j’étais quasiment invisible de la maison : entre le mur et celle-ci, Stéphane avait planté une belle haie de hauts bambous, puis on trouvait la piscine, avec un cabanon de jardin du côté du mur, enfin la terrasse en bois accolée à la maison.

De ma position, j’avais une vue plongeante sur le salon ouvert sur la piscine par une grande baie vitrée. Je pouvais observer Véronique également dans sa cuisine, sans doute en train de préparer le repas pour ses invités. Elle était vêtue d’une robe assez légère, une robe d’été à motifs floraux, qui mettait bien en valeur sa belle poitrine. Dans le salon, Stéphane était en train de préparer l’apéro, tandis que la plus jeune fille du couple, en première année de classe prépa, mettait la table. A l’étage, je découvris par hasard l’aîné de leurs filles, Marie, en école d’ingénieur, en train de se préparer dans sa chambre. Elle passait et repassait devant la fenêtre, et j’eus soudain la chance de la voir retirer son tee-shirt, exhibant un joli soutien-gorge assez sage, puis l’ôter également, offrant à mes yeux une poitrine magnifique, ferme : une digne descendante de sa mère! elle continua à aller et venir, quelques instants, me permettant d’en profiter avec plaisir, avant de remettre un soutien-gorge plus sophistiqué, en dentelle, et visiblement push-up car celui-ci lui remontait encore la poitrine, comme si cela était nécessaire! elle enfila finalement une robe par-dessus, et la combinaison de l’échancrure de la robe et du soutien-gorge pigeonnant donnait un décoletté ravageur! S’étant recoiffée rapidement, elle sortir de sa chambre en éteignant, et je la vis quelques instants plus tard arriver dans le salon.

Il était temps de commencer à mettre en place mes activités. Je me laissai descendre le long du mur, et m’avançai discrètement jusqu’à la cabane de jardin. Je n’étais plus séparé de la maison que par la piscine, j’étais donc à 5 ou 6 m de ma proie. Saisissant mon téléphone, j’écrivai quelques lignes puis envoyai le message. Je me positionnai à l’angle du cabanon pour observer la réaction de la destinataire. Je vis sa plus jeune fille lui apporter son téléphone, Véronique s’essuya les mains avant de le déverrouiller, puis je la vis écarquiller les yeux puis tourner brusquement la tête vers le jardin, l’air affolé! il y avait de quoi, le contenu du message était le suivant :

« slt ma belle! tu as une bien jolie robe, j’aimerais bien voir ce qu’il y a dessous! tu as 5 mn pour trouver une excuse et venir me retrouver derrière ton cabanon de jardin, sans soutif ni culotte. Sinon … »

Elle relut le message, tourna à nouveau la tête vers la fenêtre (mais l’obscurité naissante l’empêchait de voir dehors), relut à nouveau le message. Je sentais la tension et la panique la gagner, j’imaginais la confusion dans sa tête : refuser mon invitation revenait à risquer la diffusion des images prises lors de son anniversaire, venir me retrouver revenait à accepter le chantage, qui pouvait être sans limites, et en même temps son corps se souvenait encore du plaisir pris avec Igor! Je la vis finalement sortir de la cuisine et s’engager dans les escaliers. Elle redescendit quelques instants plus tard, j’imaginais qu’elle avait été retirer ses sous-vêtements, il me semblait que sa poitrine était moins marquée, van escort et s’entretenir avec Stéphane, qui hocha la tête positivement. Elle disparut alors de mon champ de vision.

Reculant derrière le cabanon, j’attendis patiemment la suite. Quelques instants plus tard, un bruit de pas rapides m’alerta et Véronique surgit derrière le cabanon, l’air toujours affolée.

– Pourquoi est-ce que tu me fais ça? marmonna-t-elle.

– On dit bonjour quand on est bien élevée, pour commencer, rétorquai-je.

– Je ne trouve pas ça drôle! Mes invités vont arriver d’ici un quart d’heure!

– Peut-être pas drôle, mais tu vas y prendre du plaisir! si tout va bien, ce ne sera pas long.

Bougeant rapidement, je saisis Véronique par les épaules, je la plaquai contre le mur du cabanon. Avant qu’elle n’ait plus réagir, j’avais glissé une main entre ses cuisses, vérifiant l’absence de culotte!

– C’est bien, tu respectes les consignes, souriai-je.

– Salaud!! rugit-elle

– Doucement, ma belle, pour le moment tu es pieds et poings liés, et tu fais ce qu’on te dit, répondis-je sèchement. Pour ce soir, j’ai décidé de te donner du plaisir, alors profites-en! Ecarte les cuisses maintenant!

Elle me regardait avec un regard haineux, mais finit par écarter les jambes petit à petit.

Je m’agenouillai à ses pieds, et soulevant sa robe légère, plongeai mon visage dans son intimité! ma bouche trouva quasiment instinctivement le chemin de sa chatte, et je posai mes lèvres sur ses propres lèvres intimes, lui arrachant un cri de surprise. Ma langue s’activa immédiatement, titillant son clitoris, parcourant sa fente : je la sentais s’humidifier progressivement (avec ou contre son gré, je n’étais pas en mesure de le voir dans ma position), mais au fur et à mesure que je lui bouffais le minou, je l’entendais gémir progressivement de plus en plus fort. J’avais saisi ses fesses de mes deux mains, les malaxant, appréciant le grain de sa peau et la fermeté affriolante de son cul. Véronique venait maintenant à la rencontre de ma bouche, elle s’était décollée du mur, me donnant plus accès à son fessier, et je sentais son bassin onduler sous mes coups de langue. Ses halètements augmentaient, je la sentais proche de l’orgasme, j’en profitai pour accélérer le rythme et enfoncer la langue plus profondèment dans son vagin, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un grognement étouffé, me plaquant le visage entre ses cuisses, se raidissant de tout son corps sous la décharge de plaisir qui la submergea! je donnai encore deux ou trois coups de langue pour la forme, puis me relevai face à elle.

Elle avait les yeux fermés, la bouche entr-ouverte, appuyée lascivement contre le cabanon. Je remis un peu d’ordre dans sa robe, puis posai un doigt sur ses lèvres, et je fis mine de disparaître dans les bambous. Je m’arrêtai un peu plus loin pour l’observer. Elle réapparut de derrière le cabanon, essayant de se recoiffer un peu, et se dirigea à pas chancelants vers la maison, en restant hors de vue du salon. L’intermède avait duré une dizaine de minutes, je me demandais quelle excuse elle avait pu donner à Stéphane pour s’absenter en pleine préparation du repas. Revenant à mon point d’observation initial en haut du mur, je la vis revenir au salon, embrasser Stéphane, puis retourner en cuisine, sans doute pour terminer ce qu’elle avait commencé.

Quelques minutes plus tard, j’entendis le carillon du portail. Stéphane sortit accueillir ses invités. De ma position, je vis arriver un couple à peu près du même âge que Véronique et Stéphane, l’homme était plutôt maigrichon, pas très grand et assez austère, alors que sa femme était plutôt bien en chair, légèrement enrobée mais très opulente, avec une poitrine xxl bien mise en valeur. Ils étaient accompagnés de leur fils, et je compris rapidement les raisons de la tenue de l’aînée des filles, car elle se jeta dans ses bras : c’était donc son petit ami et ses parents. Visiblement les parents se connaissaient bien, et les discussions furent vite animées. J’avais sorti mes jumelles, et j’observais attentivement toutes les personnes, essayant de détecter des failles, des comportements intéressants, … Véronique discutait dans la cuisine avec la mère du fiancé de sa fille, qui semblait une vraie pipelette! Véronique faisait bonne figure, mais la conversation avait l’air de la saoûler, surtout qu’elle devait encore ressentir dans ses entrailles les souvenirs du cunilingus précédent! Dans le salon, Stéphane et le père était dans des fauteuils, un verre à la main, et je me rendis compte rapidement que ce dernier avait très fréquemment le regard attiré par l’aînée des filles, en grande discussion avec son copain sur le canapé. Je voyais bien qu’il n’était pas indifférent au charme et aux formes de celle-ci, sa position lui donnait une vue de premier choix sur une belle paire de jambes fuselées et sur son décoletté affriolant!

Tout le monde se rejoint au salon, et on trinqua gaiement, avant de passer à table quelques minutes plus tard. Véronique était à côté de Stéphane, yalova escort et en face du couple d’amis. Le père avait trouvé un nouveau centre d’intérêt, le regard plus souvent qu’à son tour plongé dans le décoletté de Véronique : il avait du repérer d’ailleurs l’absence de soutif de la belle, ce qui ne devait pas lui déplaire! Je n’attendis pas la fin de l’entrée pour lancer ma deuxième attaque : j’envoyai un nouveau message :

« ton voisin d’en face a l’air d’apprécier ta poitrine libérée, petite cochonne! »

Elle se tourna pour récupérer son téléphone sur le buffet derrière elle, regarda le message, et je la vis instictivement porter une main à sa poitrine pour rabattre sa robe! Je souriais dans ma barbe.

J’enchaînai immédiatement :

« j’ai besoin de toi 5 mn. Même endroit. Tout de suite. »

Elle ouvrit le nouveau message, je le vis se décomposer dans mes jumelles. Il me sembla que Stéphane lui parlait, sans doute pour savoir qui lui envoyait ces messages, elle répondit quelque chose que je ne pouvais entendre, et se leva de table, disparaissant de mon champ de vision.

Quelques instants plus tard, elle me rejoignait derrière la cabane de jardin

– Pourquoi tu me fais ça?

– Tu as apprécié la dernière fois, non?

Elle se mordit les lèvres, mais ne répondit pas. Je sorti de ma poche un chapelet de boules chinoises, 6 belles boules d’une trentaine de mm de diamètre.

– Tu connais ce bel objet de désir?

Elle me regarda d’un air interrogateur.

– Je pense que tu vas apprécier. Mets-toi face au mur, maintenant! lui intimai-je.

Elle obéit à contre-cœur, se retourna face au mur.

– Pose tes mains sur le mur, et cambre-toi un peu en écartant les jambes!

Une fois en position, je posai délicatement une main à l’intérieur d’une de ses cuisses, appréciant la douceur de sa peau, et remontai lentement, jusqu’à venir lui emplamer le sexe en douceur. Elle était encore humide du cunilingus que je lui avais prodigué, et je lui massai tendrement les grandes lèvres. Véronique s’était arrêtée de respirer, essayant de résister à l’attouchement, mais cela ne dura pas, et elle finit par laisser échapper un gémissement léger.

– Tu aimes ça, n’est-ce pas?

– Salaud! fut sa seule réponse

– Bon, tu n’as pas beaucoup de temps : détends toi maintenant, on passe à la phase 2.

Saisissant la première des boules chinoises, je la posai à l’entrée de son sexe, et commençai à pousser pour la faire rentrer. Véronique se contracta légèrement, mais elle était bien lubrifiée, et la boule disparut rapidement dans son vagin.

– Et de une!

Sans attendre, j’engageai la deuxième derrière, qui disparut aussi facilement dans sa chatte.

– Et de deux!

Véronique serrait les dents, la sensation n’était pas douloureuse mais inhabituelle.

– C’est parti pour une de plus!

Et je fis pénétrer la troisième boule. Je dus forcer un peu plus pour pousser les deux boules déjà en place, mais il ne fallut que quelques secondes pour que son sexe n’avale également cette dernière!

– Eh ben, c’est pas mal! on pourrait en mettre un wagon, on dirait!

Véronique répondit d’un grognement.

– Je continue avec une quatrième? tu crois que ça rentre? l’interrogeai-je.

Et je présentai la dernière boule du chapelet contre ses grandes lèvres maintenant congestionnées, et commençai à pousser. Mais je la retirai avant que sa chatte ne l’ai avalée :

– Non, finalement, je vais essayer ailleurs …

Et je fis glisser la boule jusqu’à l’entrée de son cul. Véronique voulut s’y opposer, mais je m’y attendais, et je la bloquai contre la paroi de la cabane en lui faisant une clé de bras de ma main libre.

– Non, ne fais pas ça! protesta-t-elle

– Mais si, je vais le faire, et tu vas aimer au final.

Et je commençai à pousser pour forcer ses sphincters contractés.

– Non, s’il te plaît, c’est trop gros …

– Trop gros! tu ne te souviens pas de ce que tu as pris dans le cul récemment? ça, c’était trop gros, et pourtant tu as tout pris, et tu as aussi pris ton pied, à ce qu’on m’a dit.

Et je donnai une bonne impulsion de mon pouce, la boule finit par franchir la dernière défense de son cul et disparaître dans son fondement. Véronique poussa un glapissement au moment ou la boule froide était avalée par son colon, et se mit à respirer plus rapidement.

– C’est mieux comme ça! tu vas voir que tu vas en redemander!

Et je présentai l’avant-dernière boule contre son anus, et l’enfonçai sans préliminaire d’un coup sec! Elle glappit à nouveau, et sa respiration s’accéléra encore. J’avais relâché son bras, elle s’était à nouveau appuyée des deux mains contre la cabane, et sans s’en rendre compte, s’était encore plus cambrée, faisant ressortir son cul de rêve.

– Il n’en reste plus qu’une!

– Non, je n’en peux plus, s’il te plaît, non …

– Une petite dernière, c’est tout, et après tu pourras aller retrouver tes invités qui t’attendent, surtout le petit lubrique çorlu escort en face de toi!

Tout en la tourmentant, je faisais jouer la dernière boule chinoise contre son anus, la tournant et retournant, la faisant pénétrer un peu puis ressortant.

– Tu t’imagines si il savait qu’il a en face de lui une chienne lubrique avec 3 boules chinoises enfoncées dans le cul!

Et je fis pénétrer dans le même temps la dernière boule dans son cul, lui arrachant un dernier cri au passage de ses sphincters. Véronique haletait, le vagin et le cul envahis par les boules chinoises, expérimentant les sensations d’une double pénétration pour la première fois de sa vie, la fine paroi séparant son sexe et son colon étroitement comprimée entre les deux jeux de boules. Je lui caressai le cul, lentement, tendrement, puis lui saisit un sein pour me rendre compte que ses tétons étaient dressés de manière obscène! elle était excitée malgré elle, apparemment! je lui susurrai à l’oreille :

– Allez, maintenant il faut retourner jouer le rôle de la maîtresse de maison exemplaire!

Et lui envoyai une grande claque sur les fesses. Elle cria de surprise et de douleur, se retourna, mais j’avais déjà disparu dans les bambous.

De dépit, de honte et d’impuissance, elle mit un coup de poing dans la paroi, puis voulut se mettre en marche pour rentrer à la maison. Mais je la vis s’arrêter presque aussitôt : la pression des boules dans ses entrailles sollicitait ses muqueuses sensibles, et lui envoyait des décharges de plaisir dans les reins! Elle reprit sa marche lentement, d’une démarche mal assurée : j’imaginais le ballet des jolies boules, nichées dans des lieux si chargés de plaisir, montant et descendant, roulant et glissant entre elles, vibrant pour une partie d’entre elles de ce fameux mécanisme des boules chinoises! Véronique tressaillait sans cesse, ses sens boulversés, des frissons de plaisir parcourant son corps. Je la vis disparaître au coin de la maison, puis, quelques assez longs instants plus tard, reépparaître dans le salon.

Elle échangea quelques mots avec Stéphane, et reprit place à table. Je m’approchai silencieusement de la maison, jusqu’à arriver à côté de la porte-fenêtre la plus proche de la table. Les rideaux fins étaient tirés, ce qui me permettait de voir à l’intérieur sans risquer d’être vu, même en me mettant quasiment contre la fenêtre. Véronique était appuyée sur les coudes à table, elle avait les yeux un peu dans le vague : sa voisine avait repris sa conversation à flux continu, mais cela n’avait pas l’air de la déranger. D’autres choses devaient accaparer toute son attention! Quelques minutes plus tard, ils passèrent à la suite : on débarassa les assiettes, Véronique essayait d’être le plus naturel possible mais je voyais qu’elle luttait pour bien paraître. Ses filles l’aidèrent, puis revinrent au salon mettrent de nouvelles assiettes, pendant que Véronique restait seule à la cuisine pour dresser le plat principal. J’en profitai pour sortir ma botte secrète : un petit boîtier discret, avec une petite roulette. J’avais omis de le dire à Véronique, mais deux des fameuses boules chinoises n’étaient pas équipées du mécanisme classique qui générait des vibrations seulement lorsqu’on les secouait, mais d’un dispositif télécommandé : en gros, un double-vibromasseur de forme sphérique … et j’avais la télécommande dans ma main! Guettant par la fenêtre de la cuisine pour voir sa réaction, j’envoyai une impulsion courte avec la roulette de commande : Véronique écarquilla soudainement les yeux, et porta une main à son ventre, se retenant à la table de l’autre main. Elle tourna la tête vers la fenêtre, essayant de comprendre ce qui lui arrivait. La fenêtre de la cuisine n’avait pas de rideaux, je me montrai, goguenard et lui présentai le boîtier : tout en la fixant, je mis le doigt sur la roulette de commande, et l’actionnai! elle porta les deux mains à son ventre, ouvrant la bouche de surprise devant l’afflux de sensations dans son vagin et dans son cul! je coupai le signal, puis remis la main sur la roulette. Elle me fit non de la tête, mais je relançai les vibrations sans en tenir compte, à un niveau plus élevé : elle se raccorcha à la table, une main sur la bouche pour ne pas crier, faisant toujours non de la tête, mais je maintiens cette fois le niveau pendant de nombreuses secondes.

Soudain, alors que je ne m’y attendais pas, l’aînée des ses filles apparut dans l’encadrement de la porte! Heureusement pour moi, elle ne me vit pas, sa mère qui semblait aller mal attira son attention. Je me glissai sur le côté de la fenêtre, coupant les vibrations, gardant juste un œil dans la pièce :

– Maman, tout va bien? demanda sa fille Marie d’un air inquiet

– Oui, j’ai un peu mal au ventre, mais ça va passer.

– Je vais t’aider à ramener la suite au salon, va t’asseoir.

– Merci

Véronique laissa sa fille s’occuper des plats, et revint prendre sa place à table. Mais son esprit tournait à plein régime, et elle était envahie de l’appréhension de ce qui allait se passer si je décidais de déclencher les vibro-masseurs pendant le repas! Je n’étais pas pressé, et je les laissai continuer leur repas pendant un bon quart-d’heure avant de poursuivre mes tourments. Véronique semblait s’être relaxée un peu, il était temps d’en remettre un coup.

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Traduction d’un texte de Krystal0690.

*****

Même si j’étais épuisée, je dors peu cette nuit. Dans la salle à manger c’est numéro 6 qui distribue les sandwichs enveloppés dans du plastique pour qu’ils ne sèchent pas. Alors que j’attends d’avoir le mien, numéro 3 et numéro 8 entrent dans la salle et évitent de me regarder. Alors que je tends la main pour que numéro 6 me donne mon sandwich, elle le lance dans un coin de la pièce.

– Oups, je l’ai laissé tomber! Pourquoi ne pas aller le manger là-bas?

Alors je vais dans le coin et je m’accroupis tandis que les autres femmes me lancent des regards de mépris furieux. Je me demande comment je vais pouvoir passer les quatre semaines.

Une heure plus tard, nous sommes autorisées à sortir dehors avant que la chaleur du jour ne commence à brûler le sol. Le sable est encore chaud de la veille. Nous tournons en rond alors que deux d’entre nous vont laver leurs vêtements dans un bassin sur le côté du bâtiment. Numéro 8 mouille et frotte son tee-shirt et sa culotte, elle est nue dans la brise du matin.

Même si c’est interdit, j’utilise son prénom pour plus d’intimité :

– Alyssa, je suis désolé. Je ne savais pas que vous aviez besoin de souffrir autant que vous avez souffert.

– Eloigne-toi de moi… Espèce de malade… de psycho… Salope. Grogne-t-elle sans lever les yeux.

Je m’approche d’elle et je lui dis :

– Je ne savais pas qu’ils voulaient nous embrouiller l’esprit. Je voulais juste aider.

Elle me montre le tee-shirt et me dit :

– Tu vois les traces de sang là? C’est à cause de toi. Parce que tu m’as battu sans pitié. J’ai encore mal alors que toi tu as eu à peine mal avec le Taser.

– Non, le Taser m’a blessé. Et je ne savais pas comment utiliser le fouet.

Elle laisse tomber son tee-shirt dans le sable et elle se rue sur moi. Son poing frappe ma mâchoire et je tombe au sol. Immédiatement elle se jette sur moi et déchire mon tee-shirt. Puis je sens un nouveau coup qui me frappe sur le côté du visage.

Le reste de notre groupe nous entoure et commence à encourager mon agresseuse. Je les entends crier :

– Vas-y! cogne cette salope!

Je suis trop choquée pour essayer de me battre. J’essaie de protéger mon visage, mais je prends des cous dans la cage thoracique.

– Arrêtez sales putes! Pas de combat ici! Crie Smith alors que le directeur et elle sprintent vers nous.

Les autres femmes sont dispersées, numéro 8 et moi sommes séparées. Smith m’examine et voit que je n’ai pas de blessures graves. Le directeur s’occupe de calmer numéro 8.

Puis ils nous escortent toutes les deux au bureau de M. Ambrose. Nous restons silencieuses alors que Smith raconte l’incident. Numéro 8 est toujours nue avec les mains dans le dos. J’ai la même pose mais avec l’avant de mon tee-shirt déchiré, les seins exposés.

Il est alors décidé de la responsabilité de l’incident. C’est numéro 8 qui a commencé à cogner, mais je suis celle qui l’a approchée après qu’elle m’eut dit de reculer. On me remet une carte rouge.

– Numéro 8, nous ne pouvons pas supporter ce genre de comportement ici. Donc vous devez partir. Vous aurez des vêtements propres. Toutefois votre mari nous a laissé des instructions. Si vous ne réussissiez le stage, vous deviez être déposée devant le plus proche bordel.

– Vous dites que je dois devenir une prostituée? Dit-elle avec colère.

– Non, bien sûr que trabzon escort non… Vous pouvez ne pas entrer dans le bâtiment ou demander du travail. Vous avez toujours le choix. Il est vrai que vous serez dans une ville perdue sans argent et sans amis. Si vous êtes assez débrouillarde, vous trouverez peut-être d’autres moyens de survivre.

Deux gardes saisissent Alyssa par les épaules et l’escorte vers le début de sa descente dans l’inconnu. Je me demande si je dois l’accompagner ou offrir de prendre sa place. Involontairement, j’étais déjà responsable de la déchéance de Nina, l’ex-épouse de mon mari. Peut-être que je mérite le même sort. Je souhaiterais être plus courageuse.

– Vous allez attendre dans votre cellule, numéro 5. Les autres femmes décideront de votre punition.

Je reste assise seule pendant des heures. Je regarde plusieurs fois par la fenêtre et je vois Alyssa dans un short bleu délavé, des sandales et un chemisier. Elle grille sous le soleil impitoyable. A ce moment-là je me dis que je suis la pire femme que l’on puisse imaginer, une vraie lâche.

Finalement la porte s’ouvre et Smith avance vers moi et me dit :

– Il est temps de faire face au jugement. Les autres filles ont obtenu des cartes bleues et elles se sont administrées leur propre punition. Mais rien à voir avec ce que tu t’es infligé.

Elle me lance un sourire crispé.

– Tu n’as pas gagné un concours de popularité.

Les trois autres femmes sont restées dans la salle de punition. Elles portent toutes un collier bleu et elles ont toutes des marques de fouet sur leur cul nu. Un collier rouge est fixé autour de mon cou et une chaîne ancrée au sol est reliée à mon collier. Sans que l’on ne me demande quelque chose, je fais ma confession :

– J’ai eu tort de vouloir imposer mes excuses à numéro 8. Je n’ai pas compris la douleur que je lui ai infligée. Je mérite d’être renvoyée. J’étais trop lâche pour le dire, mais je voudrais prendre sa place.

– C’est trop tard pour ça. Alyssa est maintenant sur le chemin pour la suite de sa vie. Vous ne pouvez plus l’aider ou la remplacer. Mais si vous voulez abandonner, vous pouvez le faire à tout moment. Dit M. Ambrose.

– Ouais, tu dois partir! Tu ne fais pas partie de nous! Dit numéro 3 en me montrant de l’index.

– Ce n’est pas à vous de décider, numéro 3!

– Non monsieur. Je suis désolé.

Je peux voir le mépris dans le regard de ces femmes. Elles me blâment pour leur situation actuelle.

– Alors, numéro 5 doit être punie! C’est à vous de décider comment.

On enlève la chaîne qui me relie au sol et on m’attache sur la grande croix comme numéro 3 la veille. Les autres femmes se dirigent vers le mur où sont accrochés les aiguillons électriques. Elles en reviennent avec les plus gros disponibles. Je me prépare mentalement à la douleur intense qu’elles vont m’infliger. C’est alors que numéro 6 dit :

– Attendez, j’ai une meilleure idée. Elle nous sera bénéfique et numéro 5 souffrira quand même.

Elle se tourne vers M. Ambrose et lui demande :

– Monsieur, combien de clients vont venir ce soir?

– Il est trop tard pour changer le nombre, donc il y en aura dix.

– Comme punition pour numéro 5, nous voulons qu’elle s’occupe de tous les clients pendant une semaine.

L’homme réfléchit puis répond :

– Non, juste ce soir. Ce travail sert aussi à votre apprentissage.

tunceli escort Deux jours alors Monsieur!

– Êtes-vous toutes d’accord avec ça?

Les femmes hochent de la tête, alors M. Ambrose me demande :

– Êtes-vous d’accord numéro 5?

– oui Monsieur, tous les clients.

Tout vaut mieux que les décharges électriques que ces femmes pourraient m’infliger.

On me détache de la croix, mais seulement après que numéro 6 écrive sur ma poitrine les mots « Stupide Salope » avec un marqueur permanent. Je retourne à ma cellule pour passer le reste de la journée en réfléchissant à mon destin.

Quelques heures plus tard, je suis seule dans la salle d’exposition. Je suis la seule disponible pour les dix hommes latinos qui entrent et commencent à demander aux gardes ce qui se passe. Ceux-ci leur répondent en espagnol pendant qu’ils me regardent avec mécontentement. Je comprends qu’ils n’étaient déjà pas contents de payer pour une femme qu’ils devaient se partager à deux ou trois. Mais maintenant une pour dix, c’est le bordel.

Mais aucun n’abandonne. Ils tirent au sort pour connaître leur place. Le premier attrape ma main pour me conduire dans une cabine. J’enlève mes vêtements et docilement j’obéis à l’homme qui me montre ce que je dois faire. Je mets donc son érection dans ma bouche. Je lui fais une fellation jusqu’à ce qu’il me pousse par terre, écarte mes jambes et pénètre ma chatte. Il ne me baise pas longtemps et dit bientôt :

– Buena chica!

J’ai compris le sens de ces mots. Un autre homme entre dans la cabine pendant que le premier se rhabille. Je vois numéro 6 parmi les autres. Elle parle espagnol et dit :

– Non estoy disponible esta noche!

Puis je la vois demander au groupe :

– Te gustaría coger el scank en el culo?

Plusieurs hommes répondent « Si » et se mettent à rire.

En m’adressant un sourire méprisant, numéro 6 me fait un doigt tout en disant :

– Va te faire foutre, salope!

C’est à ce moment que le deuxième homme pénètre ma chatte. Il me baise pendant vingt minutes et je suis déjà épuisée. Il insiste à me tripoter les seins. Plus d’une fois j’essaie de retirer ses mains de ma poitrine, mais les autres hommes se moquent de moi. Ils commencent à scander les mots « stupide salope ». Merci numéro 6!

– Todo de, Skank estupido! Hurle l’homme en éjaculant.

Je le sens gicler en moi son foutre chaud. Il se retire et un troisième homme entre dans la cabine. Les autres scandent encore plus fort. Je commence à étendre les jambes, mais le latino me sourit et me fait signe de me tourner. Comme je ne le comprends pas, il m’attrape et me force à m’agenouiller dos à lui. Puis il tire mes hanches et mon cul vers lui. Je le vois prendre un pot d’où il sort une sorte de gelée pour l’étaler sur mon cul. Alors seulement je comprends ce qu’a dit Angéla. Elle a invité ces hommes à m’enculer.

Je n’ai jamais été sodomisée, je n’ai jamais voulu essayer. Alors je crie :

– Non je ne veux pas! Je veux partir! Je veux quitter le ranch!

Mais ça ne sert à rien. Le groupe d’hommes fait trop de bruits pour que des membres du personnel m’entendent. De plus, ils essaient de contrôler ce groupe indiscipliné. Mes fesses sont écartées alors qu’un autre homme entre dans la cabine. Je sens qu’une bite est guidée vers mon cul alors qu’une queue est poussée dans ma bouche.

Au début, je suis mal uşak escort à l’aise avec l’introduction de ce sexe dans mon cul, mais ce n’est pas douloureux. Je me sens par contre très humiliée. Je peux voir les trois autres femmes pointer leur doigt vers moi et rigoler.

L’homme dans ma bouche jouit et je laisse tomber son sperme sur le matelas. Mais sa bite est rapidement remplacée par une autre. Je perds la notion du temps et de ce que je subis. Je crois que j’ai été enculée par trois fois, que j’ai sucé deux bites et le reste a baisé ma chatte.

Quand je quitte la cabine et passe devant numéro 3, celle-ci grimace méchamment et hurle :

– Si ça ne risquait pas de me coûter un carton bleu, j’aimerais te cracher au visage!

Dans ma cellule, je tombe en arrière sur le lit, épuisée et déshonorée. Je réfléchis pendant une heure avant que l’on frappe à ma porte. C’est Smith.

– Je crois que tu as passé un mauvais moment.

Je ne peux pas parler alors je me contente de hocher la tête. J’ai besoin de quelqu’un pour me réconforter. N’importe qui. Je ne me suis jamais sentie aussi seule de ma vie.

– Mais je crois que tu n’as pas terminé ta journée de travail. Nous pouvons le faire ici ou dans ma chambre. Comme tu veux!

En état de transe, je la suis dans sa chambre. Je vois l’argent déposé sur la table de nuit. Elle me regarde alors que j’utilise ma langue pour lui donner un orgasme. J’ai l’impression d’être debout à côté de mon corps et de me regarder faire. Puis je me sers contre elle et profite de ces quelques précieux moments de contact humain quand elle me tient.

– Tu peux me poser des questions pour ces vingt dollars!

Je la fixe tout d’abord incapable de comprendre. Puis je décide de ce que je veux pour cette nuit.

– S’il vous plaît, je vous demande juste un peu d’humanité. Je vous donne cet argent si simplement vous continuez à me tenir.

Elle ne répond pas, mais je sens qu’elle me tire vers elle. Ce n’est pas grand-chose, mais ça va me permettre de tenir.

Une heure plus tard ou peut-être quatre, je ne sais pas, Smith me pousse du coude :

– Tu devrais retourner à ta cellule ou tu vas recevoir un nouvel avertissement.

Je m’assois. J’ai la tête plus claire. Je ramasse mon tee-shirt et ma culotte et je les enfile.

– Tu as encore droit à des questions. Mais ne t’habitue pas à ce traitement.

Je ne sais que penser? Que pourrais-je demander qui me serait utile? Et après tout pourquoi ne pas demander ce que je dois poser comme question?

– Quelles questions dois-je poser?

Smith me sourit :

– Cette question te coûte dix dollars. Mais tu peux me demander s’il y a un autre moyen de sortir de ce stage.

Elle me regarde dans les yeux et me donne très clairement la réponse à la question :

– Non, tout a été bien étudié. Les hommes qui possèdent ce lieu sont plus puissants que tu ne peux imaginer. Et les personnes du gouvernement qui ne sont pas au courant sont trop occupés pour remarquer ce genre de choses.

J’essaie de comprendre. Bizarrement ça rejoint certaines choses que j’ai entendu dire par mon mari James au sujet du pouvoir qu’il avait sur les politiciens.

Smith continue à poser et répondre à ses propres questions :

– La question suivante peut être : Comment s’en sortir? Ce programme est fait pour que vous toutes vous vous déchiriez entre vous. Les autres ont formé une alliance contre toi, elles se serrent les coudes pour te rabaisser. Mais il ne faut pas laisser faire, tu dois les diviser.

Smith me tire près d’elle et dit doucement dans mon oreille :

– Dernière question : Comment faire? Arrête d’être la victime, deviens le prédateur!

A suivre…

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