La Femme de Mon Proprio

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Amateur

Je m’appelle Guillaume. Etudiant à la Fac. 21 ans . Plutôt beau gosse, grand, plus d’1m85, blond, les yeux bleus. J’arrivais de ma province sur Paris et le plus dur dans ce cas la c’est toujours de trouver un logement. J’en avais visiter plusieurs et la plupart étaient soient hors de pris soit carrément insalubre. J’avais rendez-vous ce samedi après-midi pour en visiter un autre. J’avais eu le propriétaire au téléphone la veille, un type pas vraiment aimable, et il m’avait simplement préciser qu’il serait absent et que ce serait sa femme qui ferait la visite.

J’arrivais un peu en retard à l’endroit prévu. Je sonnais et ,surprise, une magnifique blonde aux yeux bleus m’ouvrit la porte. Elle devait avoir une soixantaine d’années mais elle était encore bien conservée pour son âge. Je m’excusais pour mon retard et elle me fit entrer. Nous commençons à visiter l’appartement. Enfin l’appartement…Le petit studio…Elle porte une jupe noire sur des bas noirs. Ses talons aiguilles noirs vernis la grandissent et elle presque de ma taille. Mais c’est surtout ses seins qui m’impressionnent. Elle porte un haut moulant sous sa veste de tailleur avec un décolleté qui ne cache pas grand chose. Plusieurs fois au cours de la visite, je ne peux m’empêcher de mater ses jambes et ses seins. Je crois bien qu’elle s’en rend compte et je la vois rougir.

Elle se tourna vers moi et m’annonça le prix du loyer. Enorme! Je lui dit que eskişehir escort je ne peux pas payer une telle somme. L’épouse du propriétaire parut ennuyée.

– C’est que je crains que mon époux refuse de baisser le loyer…

Elle rougit encore quand je la regarde droit dans les yeux. J’ai du succès avec les femmes en général. Mais d’habitude elles sont de mon âge, bien qu’il me soit déjà arriver de me taper des cougars en boite de nuit. J’ai souvent constaté qu’elles étaient beaucoup plus salopes et surtout plus soumises que les filles de mon âge. Je m’approche d’elle et elle recule, effrayé par mon regard. Elle se retrouve coincée contre le mur. Je suis contre elle maintenant.

– Qu’est ce que vous faites? Balbutie t’elle.

– On pourrait peut être s’arranger sur le prix?

– Quoi!!! Mais vous êtes fous!

Je lui prends les seins à pleine mains, les malaxant sans douceur. Elle pousse un petit cri et se débat mollement. Je continue et elle ferme les yeux.

– Arrêtez, arrêtez! Bafouille t’elle, rouge comme une pivoine.

J’arrive à baisser le haut, découvrant un soutient-gorges en dentelle rouge dont les énormes seins débordent littéralement. Je baisse les balconnets et me penche suçant la pointe de ses tétons. La femme du proprio se débat, les cheveux en bataille, le souffle court. Elle me supplie de la laisser. Je n’en ai cure, je suis trop excité, je veux gaziantep escort baiser cette belle salope .

Je relève sa jupe et découvre qu’elle ne porte pas de collant mais des bas accrochés à un porte-jarretelles rouge également comme le string. Je ricane.

– Mais dis donc, ça joue les bourgeoises mais ça portes des dessous de putes…

Elle rougit violemment.

J’écarte le string et lui titille le clitoris, enfonçant mes doigts dans sa chatte. Et la surprise! Elle coule comme une fontaine! J’agite mes doigts de plus en plus vite et Madame pousse un long gémissement. J’éclate de rire.

– J’en étais sur que t’étais une grosse salope, je pense que je vais l’avoir ma baisse de loyer…

Je l’oblige à s’accroupir devant moi et je sors mon membre. Je bande comme un fou et je force le barrage de ses lèvres rouges enfonçant mon gland dans sa bouche. Je lui agrippe les cheveux et fait coulisser ma queue entre ses lèvres. L’étouffant à moitié. Elle proteste mais j’appuie sur sa nuque enfonçant ma bite au fond de sa gorge lui provoquant un haut le cœur. Sa tête monte et descend sur mon membre, je sens sa langue qui titille mon gland. Quelle suceuse!!

Je la relève. Elle est toute rouge, haletante. Le soutient-gorges baissée, les seins à l’air, la jupe tirebouchonnée autour de la taille.

– Comment tu t’appelles?

– Claudine, bafouille t’elle.

giresun escort A quatre pattes, Claudine, Allez!!! Obéie!!

Claudine secoue la tête et proteste. Je lui donne quelques claques sur les fesses et elle se précipite sur le sol, son cul tourné vers moi. Je lui enfonce de nouveau mes doigts dans la chatte la branlant sans ménagement. J’entends ma bourgeoise qui gémit et secoue la tête. Mes doigts sont couvert de mouille et je lui ordonne de me les nettoyer. Elle s’exécute, léchant mes doigts. Non seulement la femme de mon propriétaire est une salope mais c’est aussi une soumise. Je vais m’éclater avec elle . Je la pénètre, mes mains agrippées à ses hanches grasses et je la pilonne brutalement lui donnant de violents coups de reins. Mon ventre vient claquer contre ses fesses. Ses gros seins ballottent dans tous les sens sous mes coups de boutoirs. Claudine balbutie des mots sans suite…

– Oui,oui, non, Oh mon Dieu, je vais jouir…Je vais….

Elle poussa un cri strident et s’effondra sur le sol.

N’en pouvant plus, je me positionne devant son visage ravagé et éjacule sur elle en de longs jets saccadés, l’aspergeant de mon foutre. Elle en a sur le front, le nez, dans les cheveux…Des filaments coulent de son menton pour tomber sur ses seins. Comble de l’humiliation, je la contraint à nettoyer le sol en léchant le sperme tombé à terre.

Claudine est rhabillée, honteuse, elle n’ose pas me regarder.

Elle a baissée le loyer de moitié.

– T’es vraiment une chienne Claudine, à partir de maintenant t’es ma pute personnelle.Tu viendras me voir régulièrement prendre ton coup de queue. Et habiller sexy. J’ai des potes à te présenter!

Claudine sort de l’appartement précipitamment.

Der Ferienjob Teil 01

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Big Tits

Tina schaute nochmal auf den Zettel in ihrer Hand und versicherte sich, dass sie vor der richtigen Haustüre stand.

Dann drückte sie die Klingel an der Mauer neben dem schweren schmiedeeisernen Tor.

Es dauerte eine Weile bis eine krächzende Stimme aus der Sprechanlage erklang: “Ja?”

“Ich komme von der studentischen Jobvermittlung, wegen dem Ferienjob.” antwortete Tina.

“Oh, ja! Komm rein.” krächzte es wieder aus dem Lautsprecher.

Ein kurzes Klicken ertönte und dann öffnete sich summend das Schmiedeeiserne Tor wie von Geisterhand.

Tina lief staunend die lange Auffahrt hinauf bis vor die Tür der großen, schönen Villa.

Noch nie hatte sie ein solches Anwesen aus der Nähe gesehen.

Rechts neben der großen Haustür stand ein dunkel-blauer Porsche in der Auffahrt.

Gerade als sie die Stufen zur Haustür hinaufstieg, öffnete sich die Tür und eine umwerfend attraktive Frau trat ihr entgegen.

Sie war ca. 40 Jahre alt, sehr schlank, aber mit recht üppigen Brüsten, die sich durch den blutroten Morgenmantel abzeichneten. Sie hatte langes schwarz gewelltes Haar und grüne, leuchtende Augen.

Ihr Gesicht war von einer solchen ebenmäßigen Schönheit, dass es Tina fast die Sprache verschlug.

“Hi, ich bin Claudia S.! Aber nenn mich ruhig Claudia. Komm doch rein!” wurde Tina von ihr begrüßt.

“Hallo! Ich bin Tina. Ich komme wegen dem Ferienjob.” wiederholte sie etwas schüchtern.

“Prima! Dann lass uns doch gleich in den Garten gehen.” meinte Claudia und führte Tina durch den langen Flur und ein sehr modern eingerichtetes Wohnzimmer, bis hinaus auf die Terrasse.

Vor ihnen lag ein weitläufiger, schöner Garten, mit Blumenbeten in allen Farben und einer Gruppe hoher alter Tannen.

An der rechten Seite der Terrasse befand sich ein Swimmingpool und gleich dahinter ein kleiner Geräteschuppen.

Der ganze Garten war von einer hohen Hecke umzäunt.

“Das ist aber ein schöner Garten!” staunte Tina beeindruckt.

“Ja, das ist er.” nickte Claudia zustimmend.

“Aber leider macht er auch viel Arbeit und da mein Gärtner 2 Wochen Urlaub hat, könnte ich ein klein wenig Hilfe von Dir gut gebrauchen.” seufzte sie.

“Verstehe.” nickte Tina.

“In den Beten sollte mal wieder das Unkraut gejätet werden und die Rosen müssen geschnitten werden. Der Rasen sollte gemäht und der Pool gereinigt werden. Und der kleine Geräteschuppen da drüben könnte mal wieder etwas Farbe vertragen.” zählte sie auf.

“Du siehst, es gibt viel zu tun.” seufzte sie erneut.

“Ok! Womit soll ich anfangen?” klatschte Tina in die Hände.

Claudia lachte überrascht von so viel Tatendrang.

“Ich würde vorschlagen, Du fängst mit den Rosen an. Eine Gartenschere findest Du im Geräteschuppen.”

Tina holte die Gartenschere aus dem Schuppen und begann die Rosenbüsche zurückzuschneiden.

Claudia hatte sich neben dem Pool auf eine Liege gesetzt und telefonierte mit ihrem Handy.

Das Wetter war herrlich, der Himmel wolkenlos, so dass es sicher um die 30° Celsius im Schatten hatte.

Obwohl Tina eigentlich ganz froh war über das schöne Wetter, geriet sie doch ziemlich ins Schwitzen.

Und, dass Claudia sie während des Telefonierens scheinbar genau beobachtete, machte die Sache für Tina nicht eben leichter.

In ihre Arbeit vertieft, bemerkte Tina erst, als sie mit den Rosenbüschen fertig war, dass Claudia inzwischen wohl ins Haus gegangen war, denn sie war weit und breit nirgends mehr zu sehen.

Tina überlegte, dass es wohl eine gute Idee wäre, als nächstes den Rasen zu mähen, da er schon ziemlich hoch war.

Doch als sie den Rasenmäher im Geräteschuppen begutachtete, bemerkte sie, dass der Benzintank fast leer war.

Auch der Reservekanister, der daneben stand, war bereits leer.

Sie würde wohl neues Benzin holen müssen – doch dazu würde sie Geld brauchen.

Also beschloss sie, Claudia nach etwas Benzin-Geld zu fragen.

Sie ging zurück zur Terrassentür. In der Tür blieb sie stehen und rief nach Claudia – doch sie erhielt keine Antwort.

Also ging sie hinein, durchs Wohnzimmer bis in den Flur. Dort angelangt, rief sie erneut nach ihr – doch anstelle einer Antwort, vernahm sie nur ein leises Geräusch, das aus dem oberen Stockwerk zu kommen schien.

Also ging Tina die Treppe hinauf.

Gerade, als sie erneut nach Claudia rufen wollte, hörte sie ein lautes Stöhnen, dass aus einer Tür ganz in ihrer Nähe kam.

Erschrocken und neugierig zugleich, schlich sich Tina vorsichtig zu der Tür, die eine Hand breit offen stand.

Sie schaute durch den Türspalt hinein. Zunächst konnte sie nichts Besonderes erkennen, doch dann sah sie Claudia durch einen Spiegel, der in der Zimmerecke gegenüber der Tür stand.

Claudia lag vollkommen nackt auf einem großen Bett. Ihre Beine waren weit gespreizt und während sie mit ihrer einen Hand ihre Brüste knetete, fickte sie sich selbst mit zwei Fingern ihrer anderen Hand. Mit schnellen, heftigen Stößen, stieß sie immer und immer wieder tief in ihre blank-rasierte ardahan escort Möse.

Tina blieb wie angewurzelt stehen und konnte ihren Blick einfach nicht von Claudia abwenden. Das war das geilste, was sie je gesehen hatte und sofort spürte sie, wie eine Hitze auch zwischen ihren Beinen aufstieg.

Mit zitternden Knien sah sie weiter zu, wie Claudia inzwischen ihre Finger aus ihrer Fotze gezogen hatte und sie nun genüsslich abschleckte, nur um sie sogleich wieder in ihren Honigtopf zu tauchen und sie anschließend erneut abzuschlecken.

Schließlich verrieb sie ihren glitschigen Mösensaft auch noch genüsslich über ihre ganze Möse und ganz besonders über ihre vor Erregung angeschwollene Klit, wobei sie vor Lust erneut laut stöhnte.

Tina spürte, wie ihr Slip von ihren eigenen Säften langsam feucht wurde, doch sie traute sich nicht, auch nur die kleinste Bewegung zu machen. Stattdessen schaute sie gebannt, weiter dabei zu, wie sich Claudia langsam ihrem Höhepunkt näherte.

Noch immer rieb sie mit einer Hand in Kreisen über ihre steife Klit, während sie mit der anderen Hand inzwischen wieder begonnen hatte, sich selbst mit drei Fingern zu ficken.

Mit laut klatschenden Geräuschen, stieß sie immer heftiger und schneller ihre Finger in ihr triefendes Loch und stöhnte dabei lauthals ihre Geilheit hinaus.

Schließlich war es soweit!

Ihr ganzer Körper verkrampfte und mit einem lauten “Aaaahhhhhh!” überrollte sie ihr Höhepunkt.

Eine Zuckung nach der anderen durchfuhr ihren schweißgebadeten Körper, während sie noch immer in Kreisen ihre sensible Klit massierte.

Als ihr Orgasmus schließlich etwas nachließ und sie langsam ihre Finger aus ihrer zuckenden Fotze heraus zog, beschloss Tina, dass es an der Zeit war, schleunigst zu verschwinden, damit sie nicht womöglich noch entdeckt werden würde.

Schnell schlich sich Tina, die Treppe hinunter, durch den Flur und das Wohnzimmer, bis hinaus in den Garten.

Dort angekommen, blieb sie stehen und überlegte, was sie nun tun sollte.

Sie wollte sich nichts anmerken lassen und beschloss daher, statt den Rasen zu mähen, einfach das Unkraut zu jäten.

Während sie über dem Blumenbeet kniete und begann die kleinen Unkraut-Pflänzchen auszureisen, spürte sie, wie ihr komplett durchnässter Slip zwischen ihren erregten Schamlippen klebte. Sofort kamen ihr die erregenden Bilder von Claudia wieder in den Sinn, wie sie dort auf dem Bett lag und sich selbst zum Höhepunkt gefickt hatte.

Tina hatte schon oft über Sex mit einer anderen Frau phantasiert während sie masturbierte und hatte dadurch auch schon manch herrlichen Orgasmus erlebt – aber nie wäre sie auf die Idee gekommen, das auch mal in der Realität auszuprobieren! Aber der Anblick von Claudias feuchter Möse hatte sie so unglaublich geil gemacht, dass sie am liebsten ihre Zunge sofort tief in diese herrliche Lustgrotte gesteckt und jeden Tropfen ihres Mösensaftes aufgeschleckt hätte, den sie hätte kriegen können.

Noch während Tina ihren lüsternen Gedanken nachhing, hörte sie plötzlich wie ihr Name gerufen wurde.

Sie drehte sich um und sah, das Claudia – wieder bekleidet mit ihrem Morgenmantel – auf der Terrasse stand und sie zu sich her winkte.

Tina erschrak. Hatte Claudia sie etwa entdeckt, wie sie sie beobachtet hatte? Was würde jetzt geschehen?

Doch als sie sich der Terrasse näherte, merkte sie schnell, dass das wohl nicht der Fall war, da Claudia ihr ein großes Glas mit eis-gekühlter Limonade entgegenstreckte.

“Komm, setz Dich zu mir! Du solltest mal eine Pause machen, bei der Hitze!” lachte Claudia ihr entgegen.

Tina nahm dankend das Glas Limonade und setzte sich Claudia gegenüber auf die zweite Liege, die neben dem Pool stand.

“Du bist ja schon ganz nass geschwitzt.” bemerkte Claudia.

Tina lief rot an, denn sie wusste ja den wahren Grund für ihren Schweißausbruch.

“Ja, es ist wirklich ziemlich heiß.” bestätigte sie.

“Kein Wunder bei dem Wetter! Mir ist auch ziemlich heiß.” bemerkte Claudia und öffnete ihren Morgenmantel ein Stückchen weiter, so dass Tina einen tiefen Einblick in ihr Dekolleté erhaschte. Offensichtlich trug sie unter dem Morgenmantel keinen BH, so dass Tina den Schweiß auf den Innenseiten ihrer schönen, großen Brüste sehen konnte.

Bei der Vorstellung, dass Claudia unter dem Morgenmantel vielleicht sogar noch ganz nackt war, lies einen warmen Schauer durch Tinas Körper laufen. Sofort kamen ihr wieder die Bilder von der nackten Claudia in den Sinn, wie sie sich vor wenigen Minuten noch selbst gefickt hatte und selbst, wenn es vielleicht nur Einbildung war, so glaubte Tina doch für einen Moment, den moschus-ähnlichen Duft Claudias Möse riechen zu können.

Verlegen schlürfte Tina an ihrer Limonade und versuchte verzweifelt an etwas anderes zu denken.

Zum Glück begann Claudia, ihr Fragen über das Studium zu stellen und begann auch von sich selbst zu erzählen.

So erfuhr Tina, dass Claudia tatsächlich viele Jahre als Laufsteg-Model gearbeitet und inzwischen ein eigenes, artvin escort recht erfolgreiches Mode-Label gegründet hatte. Sie war auch zweimal verheiratet gewesen, hatte sich aber vor zwei Jahren erneut scheiden lassen. Seither genoss sie das Single-Dasein, wie sie meinte.

Während sie sich so über Gott und die Welt unterhielten, bemerkte Tina erneut, wie wunderschön und sinnlich Claudia war. Sie war fast das genaue Gegenteil von ihr. Während Claudia groß, schlank und ein südländischer Typ mit schwarzen Haaren war, war sie selbst eher klein, athletisch und strohblond mit heller Haut. Nicht das Tina hässlich gewesen wäre, ganz im Gegenteil, sie war immer sehr stolz auf ihr Aussehen, aber mit Claudias umwerfender, sinnlich-erotischer Ausstrahlung konnte sie keines Falls mithalten – zumindest war sie davon überzeugt.

Sie unterhielten sich über eine Stunde lang sehr angeregt und es stellte sich heraus, dass sie sich wirklich gut verstanden. Und Tina bemerkte, dass sie Claudia nicht nur sehr schön, sondern auch wirklich sehr nett fand.

Doch dann wurde es wieder Zeit, an die Arbeit zu gehen. Tina widmete sich wieder dem Unkraut in den Blumenbeeten, während Claudia erneut einige Telefonate führte.

Als es schließlich Abend wurde, verabschiedete sich Tina kurz von Claudia und versprach, pünktlich um 13 Uhr am nächsten Nachmittag wiederzukommen.

++++

Kaum war Tina in ihrer kleinen Studentenbude angekommen, zog sie ihr schweiß-nasses T-Shirt und den BH aus.

Auch ihre Jeans streifte sie ab und zog schließlich auch noch ihren Slip aus.

Nackt wie sie war, lies sie sich auf ihr Bett fallen.

Die kühle Luft, die durch das offene Fenster herein wehte, tat ihr gut.

Doch es dauerte nicht lange, bis ihre Gedanken wieder um die nackte Claudia kreisten, wie sie da auf ihrem Bett gelegen und sich selbst befriedigt hatte.

Und sofort spürte Tina, wieder die Hitze in ihr aufsteigen und ein wohliges Kribbeln in ihrem Unterleib.

Sachte begann sie ihre Brüste zu streicheln, während sie an die blank-rasierte, vor Erregung dunkel-rot geschwollene Möse Claudias dachte.

In langsamen Kreisen begann sie ihre Klit zu streicheln, während sie sich die Bilder vergegenwärtigte, wie sich Claudia leidenschaftlich mit ihren Fingern gefickt hatte.

Mit drei Fingern ihrer anderen Hand tauchte sie schließlich in ihre bereits feuchte Grotte ein und begann sich langsam eben so zu ficken, wie es Claudia getan hatte.

Immer schneller und heftiger wurden ihre Stöße, während sie sich vorstellte, Claudia würde sie mit ihren Fingern ficken.

Kurz vor ihrem Höhepunkt, zog Tina schließlich ihre von ihrem eigenen Saft verschmierten Finger aus ihrer geilen Fotze und steckte sie sich in ihren Mund, während sie dabei unablässig ihre unglaublich erregte, steife Klit mit schnellen Hin- und Her-Bewegungen massierte. Voller Leidenschaft leckte sie ihren eigenen Mösensaft von ihren Fingern und stellte sich dabei vor, es wäre Claudias herrlicher Nektar, den sie da kostete.

Und beim Gedanken Claudias nasse Muschi zu lecken, war es schließlich so weit. Tina explodierte in einem unglaublich heftigen Orgasmus. Sie bäumte sich auf und musste ein lautes Stöhnen unterdrücken, damit ihre Mitbewohnerin nichts mitbekam. Ihr ganzer Körper erzitterte. Wie elektrische Stromstöße durchfuhr es ihren Körper immer und immer wieder.

Schon sehr lange hatte sie keinen so herrlichen Orgasmus mehr erlebt, dachte sie, als sie schließlich erschöpft, aber sehr entspannt auf ihrem Bett lag.

++++

Am nächsten Tag stand Tina, wie vereinbart pünktlich um 13 Uhr wieder im Garten der schönen Villa und begann damit, den Geräteschuppen neu zu streichen. Die Sonne stand bereits wieder hoch am Himmel und es war schon wieder ziemlich heiß, doch Tina hatte zum Glück dieses Mal ihre knappen Hotpants und ein bauchfreies T-Shirt an, so dass sie sich viel wohler fühlte.

Claudia lag wieder auf einer der Liegen neben dem Pool und telefonierte unablässig mit ihrem Handy.

Doch gerade als Tina damit beschäftigt war, eine weitere Dose Farbe zu öffnen, legte Claudia das Handy zur Seite, stand auf, ging zum Rand des Pools, öffnete ihren Morgenmantel und lies ihn zu Boden gleiten. Zu Tinas Überraschung war Claudia nun vollkommen nackt. Mit einer eleganten Bewegung sprang sie kopfüber in den Pool.

Tina stand wie unter Schock und starrte auf das Wasser, in dem Claudia nackt, wie Gott sie schuf, nur ungefähr 5 Meter von ihr entfernt, ihre Bahnen zog.

Für einen kurzen Moment schaute Claudia zu Tina hinüber und lächelte. Da erst bemerkte Tina, dass sie noch immer auf Claudia starrte. Etwas verschämt, begann sie mit rotem Kopf sich sofort wieder an ihre Arbeit zu machen.

Doch als Claudia schließlich wieder aus dem Pool stieg und sich noch immer nackt wie sie war, auf eine der Liegen neben den Pool in die Sonne legte, konnte Tina nicht anders und schielte immer wieder zu Claudia hinüber.

Es war ein göttlicher Anblick, wie diese unglaublich, perfekte Schönheit dort vollkommen nackt bodrum escort nur wenige Meter von Tina entfernt auf der Liege lag und sich in der Sonne räkelte.

Dieser Anblick entfachte in Tina bereits wieder ein wildes Feuer und sie spürte, wie sie bereits wieder feucht wurde zwischen ihren Beinen.

Doch zu Tinas Bedauern, stand Claudia nach einiger Zeit plötzlich wieder auf, zog sich den Morgenmantel über und verschwand im Haus.

Nach ca. einer viertel Stunde erschien sie jedoch wieder auf der Terrasse mit einem Tablett in den Händen, auf dem zwei große Gläser mit Limonade standen.

Sie setze sich wieder auf die Liege und rief Tina zu sich.

Dankbar nahm Tina das Glas Limonade an, das Claudia ihr anbot und setzte sich auf die andere Liege ihr gegenüber.

Sie machten wieder etwas Smalltalk über das schöne Wetter und ähnliche Themen.

“Das ist aber ein schönes Tatoo!” bemerkte plötzlich Claudia und deutete auf Tinas kleinen Delphin über ihrem Bauchnabel.

“Oh, das. Ja. Danke!”

“Hat das weh getan?” wollte Claudia wissen.

“Nein, nicht sonderlich.” wiegelte Claudia stolz ab.

“Ich habe auch ein Tatoo. Warte ich zeige es Dir.” meinte Claudia und öffnete zu Tinas Verblüffung eine Seite ihres Morgenmantels ein Stück und entblößte so ihre linke Brust. Tina erkannte eine geschwungene Rose mit stacheligem Stiel, in deren Blüten-Mitte Claudias Brustwarze lag.

“Das hat allerdings ziemlich weh getan! Auch noch Tage danach!” kommentierte Claudia.

Dann streichelte sie langsam mit dem Zeigefinger ihrer rechten Hand über die Rose und ihren Nippel und meinte:

“Aber jetzt fühlt es sich herrlich an!”

“Hier, fühl mal!” fügte sie hinzu und ehe Tina reagieren konnte, nahm sie Tinas rechte Hand in ihre und legte sie sich auf ihre Brust.

Vollkommen überrumpelt wusste Tina nicht, wie sie reagieren sollte, während Claudia ihre Hand festhielt und sie langsam über ihr Tatoo und ihre Brustwarze gleiten lies.

Und anstatt ihre Hand wieder loszulassen, lies sie sie weiter über ihre ganze Brust wandern und schloss dabei sogar genüsslich ihre Augen.

“Oh, ja! Das fühlt sich so gut an!” stöhnt sie dabei leise.

Tina war vollkommen perplex.

“Aber Claudia, was tust Du da!?” fragte Tina nach einer Weile verwirrt.

Claudia öffnete wieder ihr Augen, blickte Tina direkt an und antwortete: “Ist das nicht offensichtlich? Ich verführe Dich!”

Und nach einer kurzen Pause fügte sie hinzu: “Tina, ich will Dich! Du machst mich total scharf!”

Tina konnte nicht glauben, was sie da hörte.

“Du glaubst mir nicht?” fragte Claudia, als sie Tinas Gesichtsausdruck bemerkte.

Während sie in der einen Hand noch immer Tinas Hand festhielt, öffnete sie mit der anderen ihren Morgenmantel ganz, so dass nicht nur beide ihre nackten Brüste, sondern auch der Rest ihres nackten Körpers zum Vorschein kam.

“Hier! Da kannst Du es spüren!” und bei diesen Worten, führte sie Tinas Hand von ihrer Brust hinab zwischen ihre Beine und legte sie auf ihre blank rasierte Möse.

Sie spreizte ihre Beine ein Stück weiter und drückte Tinas Finger tiefer in ihre weiche rosa-farbene Spalte.

Und dann konnte Tina tatsächlich deutlich die Nässe ihrer heißen, erregten Muschi an ihren Fingern spüren!

“Spürst Du wie feucht ich Deiner wegen bin!” stöhnte Claudia laszive und drückte Tinas Hand noch stärker an ihre geile Möse und begann mit Auf- und Abbewegungen ihres Beckens Tinas Finger durch ihre glitschige Spalte zu reiben.

“Und Deine lüsternen Blicke vorhin am Pool haben mir verraten, dass Du mich auch willst!” hauchte Claudia.

Inzwischen überwand Tina langsam ihren Schock und stellte fest, dass Claudia natürlich vollkommen Recht hatte und es machte sie tierisch an, mit ihren Fingern diese unfassbar geile, weiche Muschi zu streicheln. Claudia hatte große lange Schamlippen, viel größer als Tinas und es fühlte sich herrlich an, diese heißen, fleischigen Lippen zu streicheln.

Wie unter Hypnose streichelte sie weiter Claudias feuchte Spalte rauf und runter.

“Ohh, jaa! Das fühlt sich so gut an! Bitte, hör nicht auf!” stöhnte Claudia und lies Tinas Hand nun freies Spiel.

Tina hatte auch gar nicht vor aufzuhören – ganz im Gegenteil!

Als Tina schließlich den Eingang zu Claudias Lustgrotte unter ihren Fingern spürte, konnte sie nicht widerstehen, krümmte ihre Finger etwas und lies sie langsam immer tiefer in sie hinein gleiten. Ohne jeden Widerstand tauchten ihre Finger immer tiefer in Claudias triefend nasses Loch.

“Ohh, mein Gott! Jaaa, Tina! Fick mich!” stöhnte Claudia mit lustverzerrter Stimme.

Und Tina fickte sie, zunächst mit einem, dann mit zwei und schließlich sogar mit drei Fingern, während sie dabei gleichzeitig mit ihrem Daumen Claudias steife Klit massierte.

Claudia stöhnte und hechelte inzwischen unablässig und stieß immer wieder ein langgezogenes “Ohhh, jaaa!” hervor.

Sie hatte ihren Kopf lustvoll in den Nacken geworfen und streckte Tina mit weit gespreizten Beinen verlangend ihre Möse entgegen.

Und Tina tat nur zu gerne was von ihr verlangt wurde. Sie fickte Claudia mit immer schnelleren und heftigeren Stößen ihrer Finger, während sie mit ihrer anderen Hand begonnen hatte, Claudias Klit mit schnellen Hin- und Herbewegungen zu massieren.

Princess Poppy

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Princess Penelope Visounche, Poppy for short, woke up alone in her bedroom. She lay naked as she rubbed her feet together and curled deeper into her silk white sheets. She knew to expect her company soon, one of the castle staff would knock on her door with warm tea at exactly 8:15 every morning.

Her pert nipples stood erect in the morning cold, while she sat up and stretched her arms and legs. Her long, wavy brown tresses cascaded over her shoulders, down her back and her bright blue eyes shimmered with excitement for the day to begin. She had of course, been waiting for this day all month. Knock, knock, knock

Poppy heard a soft tapping on her door. “Come in,” Poppy sang softly.

Aneshka slowly opened her bedroom door then she shut it behind her.

“Good morning miss, I have your mint tea and your royal dress has been pressed for you. Let’s get you dressed.”

Poppy smiled warmly and lifted her arms for Aneshka to pull off her nightgown. She had been one of the house managers to the Royal Visounche family as long as she’d remembered, probably as long as Poppy’s been alive. Closest to Poppy growing up, once she’d finally turned 25 and looked to live on her own smaller property, separate from her family and mother, The Queen, it seemed right for Aneshka to stay with Poppy in the move as her new house manager. Poppy’s older sister Anastasia was next in line to be queen, so there wasn’t much responsibility for her other than an expected marriage one day.

Goosebumps sucked Poppy back into the present while Anee helped with her dressing. She warmed a generous amount of oil in her hands and it made Poppy giggle when she rubbed it over her body. Anee rubbed oil and moisturized Poppy’s legs, then her arms, her stomach, then left the rest to her neck and tits. Poppy let her head lay back and eyes close in relaxation. All of Anee’s rubbing made poppy want to bend her over and hump her beautiful behind until she came, but that would be saved for a new friend. She also knew that Aneshka did not particularly like being humped, not that Poppy didn’t force her by royal command from time to time anyways.

Finally, Aneshka pulled the last dress-strings up and tied them tight so the princess looked clean and neat. She slipped on her comfy palace heels, kitten heels maybe even shorter. Anee stepped back and admired the princess then gave a satisfied huff with approval of the outfit. Aneshka turned to exit the bedroom, and they started down the long corridor where excited whispers and taps echoed at the end room.

Poppy was pleased to see that her interviews had arrived on time. Now that she was living on her own, she had organized to meet with eligible women for the role of the royal handmaiden to the princess. All of about 30 girls were lined up and stood, tall and still as the princess gracefully entered the room behind Aneshka. Poppy felt her clit tingle with excitement to finally pick her handmaiden after so long. She had been very specific in what she wanted when the guards were looking for women to recruit from the kingdom. adana escort Poppy was happy to see all of these women were more than viable options, absolutely stunning, each and every one of them.

Poppy walked down the line of women, silently. Examining each of them for royal perfection. She eventually rolled to a stop at the second to last girl in line. The girl’s hands shook, out of nervousness. Her pale freckled cheeks slowly pinked up as the princess scrutinized her. The intricate braid her mother had weaved into her long blonde locks felt childish in this room of seasoned women. All that was left from her older sisters was a much too small gown, Annette had received the invitation far too late for there to be alterations done on the dress. Her huge, back-straining tits were spilling out of the front and sides of her top. Watching her sheepishly try to cover herself made Poppy’s pussy hot. Annette’s milky tits were in full view as Poppy’s 5’10ft tall body practically towered over the poor girl who stood at barely 5ft tall.

“What’s your name dear?”

“Annette Dupri, my princess.”

“Meet me in my chambers tonight love, I will begin instruction for you to start your duties as my royal handmaiden.” Poppy firmly commanded before she left the room swiftly followed by her security detail. She chuckled as she heard the rest of the women in the room sigh in sadness as they all began to realize that they’ve missed their chance at the position.

Poppy waited excitedly for Annette. She had eaten dinner early and bathed quickly like a child on Christmas Eve. She giggled as now she lay naked in her bed, again, while she waited for her new plaything to make her way to her bedroom. The small rap against her bedroom door was like music to her ears. Annette shuffled into Poppy’s bedroom meekly, she again, tried to cover herself up to no avail. The princess’s house servants were instructed to dress Annette in a thin nightgown. Poppy is happy to see her nipples standing and staring back at her. Poppy focused on them moving beneath the thin fabric, fighting the urge to rip them free of their confines. Poppy commanded Annette to shut the door behind her.

“Good evening Princess. I am here to your chambers as you asked. Did you need assistance bathing? Or maybe a foot massage?”

“No, thank you, Annette Dupri we both have a long night ahead of us,” Poppy whispered. “I’d like you to start with undressing completely please. I want to have a look at you.”

Annette gave a puzzled look, but obliged to the princess nonetheless. She slipped the straps off of her shoulders and let the fabric fall to the floor and pool at her ankles. She stood silently as the Princess stared at her naked body hungrily. Annette felt like prey with Princess Poppy being her predator. Poppy stood, still nude, and slowly approached her, eyes locked on her boobs. Annette stood still as Poppy touched and groped as she pleased. Poppy ran her warm hand between Anette’s legs and squeezed her tit hard enough to elicit a gasp from Annette’s lips.

“Come ankara escort now Anette, I’ve been waiting for you all afternoon dear.” Annette was equally as uncomfortable as she was nervous. All she wanted was to put her nightslip back on. She had never been this vulnerable and shown this much skin to anyone before in her life. Being the youngest of her siblings, she was kept very close to home. When the invitation came for this prestigious opportunity in the castle, she knew it would be life changing for both her and her family’s status. Those words might mean differently to her now, as Princess Poppy guided her hand through the dimly lit room.

Poppy climbed up the steps to her custom-made bed. Poppy wanted a mattress as massive as money could buy, just in case she decided to have more than one “guest” in her suite that night. She instructed Annette to lay out on the bed and spread her legs as wide as she could.

Annette could cry, she was terrified. The princess climbed to her knees and settled in between her legs. Her pussy was forced to be exposed to her attacker, and Annette knew she dare not move. Refusing a royal command was punishable by treason.

“Annette, you will lay here and be still until I am finished with you. I will not hear complaints and you will sleep here once we are finished.”

“Y-y-yes Princess, as you command” Annette whimpered out in response. Her legs shook out of fear, with no idea of what the Princess was about to do to her. Annette had never even been intimate with a man before, she wondered what sex with a woman would be like.

Poppy reached her arm down to her own sopping pussy lips and spread them apart to expose her throbbing clit. Poppy looked down Annette’s body to see a small tuft of hair hiding a pair of perfect pink lips, barely poking out behind her outer labia. The Princess lowered her pelvis down to Annette’s virgin mound and let out a satisfied groan as her exposed clit made contact and Poppy humped her little toy.

Annette squeaked in response as a tear rolled down her cheek. She wanted to go home, to leave this room and run until she hit the village. She could only sob and grip the bed sheets on either side as Princess Poppy rutted into her. Poppy grabbed Annette’s small hips and increased speed in her humping. Poppy could feel her clit building dangerous amounts of friction, she thrusted and rubbed her clit up and down Annette’s wet slippery slit. She shuddered as she felt her orgasm begin to build at the bottom of her stomach.

Poppy suddenly reached behind and grabbed Annette’s buttocks, gripping both cheeks harshly. She was thrusting into her at her hardest now. Poppy’s hot sighs of ecstasy gave Annette goosebumps down her neck as she wethered The Princess’ weight over her small frame as she tribbed on her young pussy. Poppy felt her butt-cheeks clench in with each deep thrust she delivered into Annette. While Annette was frozen in fear, trying to remain as still as possible so as to not provoke her attacker anymore. The Princess’s legs shook with her adıyaman escort nearing orgasm.

“Are you ready for my royal nut Annette?” Princess Poppy was gasping for air at this point. She was pounding Annette’s mound, she was right on the brink of cumming all over her royal subject.

“Yes, Princess please. Then I’d like to go home please.”

Poppy shrieked and convulsed still on top of Annette. Her clit throbbed as waves of orgasm rushed over her and left her light-headed. Poppy’s pussy still remained level with Annette’s while she laid her weight on top of her and she caught her breath. Annette wriggled helplessly and choked out a plea for mercy.

“Please miss, now that you’ve finished I’d like to go home. My parents will receive me. I would like to decline this job ma’am if I could.”

Poppy got up to her knees again and this time opened her legs on either side of  Annette’s body. She knelt down and stared into Annette’s deep brown eyes. Poppy’s chilling baby blues were firm and Annette found herself unable to look away.

“You’re never leaving again Annette, I thought that was clear when we also sent for your belongings. You’ve said your goodbyes to your family. You and your body are at my disposal as my royal handmaiden and are to be used however I see fit,”  Poppy barked out in a queenly manner.

Annette continued to sob and covered her eyes with her hands as the Princess sighed contently, satisfied with the defeat of her new friend. Poppy gently grabbed Annette’s wrists and pinned both to either side of her head flat out on the bed. Annette’s legs still remained sprawled out on the bed, helplessly. Poppy gave a soft kiss to the top Annette’s cheek, still wet with her tears while Annette’s eyes remained clamped shut.

Poppy leaned down to Annette’s ear to whisper, “you’ll want to see this dear, you should open your eyes Annette.”

Annette opened her eyes only to find the princess’s eyes now to be closed above her. She felt the familiar wet sensation of The Princess’ pussy touching hers. Poppy’s lips began to turn up into a knowing smile, then she sighed with relief as she let open the floodgates and started to pee on this sweet girl. Annette began to struggle, horrified by what was happening but helpless against the princess’ weight. Her flow seemed endless and Poppy just groaned shamelessly and erotically. At one point Annette felt the princess hump and massage her lips apart to ensure that the royal urine got thoroughly into her pussy folds and hole. The princess was marking her territory. Finally the hot stream dribbled to a stop and the princess shook her little bum then climbed off of Annette, then off of the bed. Poppy stood there and admired her work. Annette sat in the middle of the sheets shaking, soaked in a royal golden shower.

“Annette please change my sheets then come to bathe us so we can go to sleep it’s getting late. I will instruct the servants to run us a hot bath” poppy strutted off, her hips swayed as she almost skipped to the bath. She was so happy to finally have her own handmaiden.

“Yes, Princess,” Annette’s legs shook as she climbed off the bed and began stripping the bed, unsure of what to do next.

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More chapters to come if you’re interested in what comes next 🙂

Véronique Ch. 03

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Suite à son « drive fuck », Igor avait ramené Véronique sur le parking de l’hypermarché pour qu’il puisse lui-même récupérer son propre véhicule. Celle-ci était restée allongée sur la banquette arrière après son coït anal, essayant de retrouver ses esprits après s’être laissée entraînée du côté obscur. Elle mit un long moment, une fois qu’Igor avait quitté sa voiture sans un regard pour elle, pour se relever, remettre de l’ordre dans ses vêtements, puis tenter de nettoyer le siège arrière maculé du sperme d’Igor qui s’était écoulé de son cul! Elle finit par reprendre le volant pour rentrer chez elle, dans un état de confusion avancé, boulversée par le téléscopage d’un profond sentiment de honte et du souvenir du plaisir inouï ressenti au moment de son premier orgasme anal conscient!

Je croisai Stéphane au boulot la semaine suivante, nous discutâmes de choses et d’autres, et j’appris entre les lignes qu’ils recevaient des amis le samedi soir chez eux. Je commençai à échafauder un petit plan pour profiter moi aussi de cette soirée.

Le samedi soir, Je m’approchai de la maison de Stéphane et Véronique. Il était 19h, le soleil d’automne commençait à décliner. Je m’arrêtai sur une place de parking à une centaine de mètres, m’habillai de manière discrète, puis me dirigeai à pied vers la maison, l’air de rien (espérant ne pas croiser Véronique ou Stéphane!!), et m’étant assuré que j’étais seul dans la rue, je me faufilai le long de leur mur de clôture, caché par une végétation important côté extérieur. J’avais prévu une sorte de marche-pied pour atteindre le sommet du mur (qui faisait presque 2m50 de haut, ils ne souhaitaient visiblement pas être dérangé, mais cela n’allait pas m’arrêter!), je me hissai au sommet du mur : j’avais choisi judicieusement la place, j’étais quasiment invisible de la maison : entre le mur et celle-ci, Stéphane avait planté une belle haie de hauts bambous, puis on trouvait la piscine, avec un cabanon de jardin du côté du mur, enfin la terrasse en bois accolée à la maison.

De ma position, j’avais une vue plongeante sur le salon ouvert sur la piscine par une grande baie vitrée. Je pouvais observer Véronique également dans sa cuisine, sans doute en train de préparer le repas pour ses invités. Elle était vêtue d’une robe assez légère, une robe d’été à motifs floraux, qui mettait bien en valeur sa belle poitrine. Dans le salon, Stéphane était en train de préparer l’apéro, tandis que la plus jeune fille du couple, en première année de classe prépa, mettait la table. A l’étage, je découvris par hasard l’aîné de leurs filles, Marie, en école d’ingénieur, en train de se préparer dans sa chambre. Elle passait et repassait devant la fenêtre, et j’eus soudain la chance de la voir retirer son tee-shirt, exhibant un joli soutien-gorge assez sage, puis l’ôter également, offrant à mes yeux une poitrine magnifique, ferme : une digne descendante de sa mère! elle continua à aller et venir, quelques instants, me permettant d’en profiter avec plaisir, avant de remettre un soutien-gorge plus sophistiqué, en dentelle, et visiblement push-up car celui-ci lui remontait encore la poitrine, comme si cela était nécessaire! elle enfila finalement une robe par-dessus, et la combinaison de l’échancrure de la robe et du soutien-gorge pigeonnant donnait un décoletté ravageur! S’étant recoiffée rapidement, elle sortir de sa chambre en éteignant, et je la vis quelques instants plus tard arriver dans le salon.

Il était temps de commencer à mettre en place mes activités. Je me laissai descendre le long du mur, et m’avançai discrètement jusqu’à la cabane de jardin. Je n’étais plus séparé de la maison que par la piscine, j’étais donc à 5 ou 6 m de ma proie. Saisissant mon téléphone, j’écrivai quelques lignes puis envoyai le message. Je me positionnai à l’angle du cabanon pour observer la réaction de la destinataire. Je vis sa plus jeune fille lui apporter son téléphone, Véronique s’essuya les mains avant de le déverrouiller, puis je la vis écarquiller les yeux puis tourner brusquement la tête vers le jardin, l’air affolé! il y avait de quoi, le contenu du message était le suivant :

« slt ma belle! tu as une bien jolie robe, j’aimerais bien voir ce qu’il y a dessous! tu as 5 mn pour trouver une excuse et venir me retrouver derrière ton cabanon de jardin, sans soutif ni culotte. Sinon … »

Elle relut le message, tourna à nouveau la tête vers la fenêtre (mais l’obscurité naissante l’empêchait de voir dehors), relut à nouveau le message. Je sentais la tension et la panique la gagner, j’imaginais la confusion dans sa tête : refuser mon invitation revenait à risquer la diffusion des images prises lors de son anniversaire, venir me retrouver revenait à accepter le chantage, qui pouvait être sans limites, et en même temps son corps se souvenait encore du plaisir pris avec Igor! Je la vis finalement sortir de la cuisine et s’engager dans les escaliers. Elle redescendit quelques instants plus tard, j’imaginais qu’elle avait été retirer ses sous-vêtements, il me semblait que sa poitrine était moins marquée, van escort et s’entretenir avec Stéphane, qui hocha la tête positivement. Elle disparut alors de mon champ de vision.

Reculant derrière le cabanon, j’attendis patiemment la suite. Quelques instants plus tard, un bruit de pas rapides m’alerta et Véronique surgit derrière le cabanon, l’air toujours affolée.

– Pourquoi est-ce que tu me fais ça? marmonna-t-elle.

– On dit bonjour quand on est bien élevée, pour commencer, rétorquai-je.

– Je ne trouve pas ça drôle! Mes invités vont arriver d’ici un quart d’heure!

– Peut-être pas drôle, mais tu vas y prendre du plaisir! si tout va bien, ce ne sera pas long.

Bougeant rapidement, je saisis Véronique par les épaules, je la plaquai contre le mur du cabanon. Avant qu’elle n’ait plus réagir, j’avais glissé une main entre ses cuisses, vérifiant l’absence de culotte!

– C’est bien, tu respectes les consignes, souriai-je.

– Salaud!! rugit-elle

– Doucement, ma belle, pour le moment tu es pieds et poings liés, et tu fais ce qu’on te dit, répondis-je sèchement. Pour ce soir, j’ai décidé de te donner du plaisir, alors profites-en! Ecarte les cuisses maintenant!

Elle me regardait avec un regard haineux, mais finit par écarter les jambes petit à petit.

Je m’agenouillai à ses pieds, et soulevant sa robe légère, plongeai mon visage dans son intimité! ma bouche trouva quasiment instinctivement le chemin de sa chatte, et je posai mes lèvres sur ses propres lèvres intimes, lui arrachant un cri de surprise. Ma langue s’activa immédiatement, titillant son clitoris, parcourant sa fente : je la sentais s’humidifier progressivement (avec ou contre son gré, je n’étais pas en mesure de le voir dans ma position), mais au fur et à mesure que je lui bouffais le minou, je l’entendais gémir progressivement de plus en plus fort. J’avais saisi ses fesses de mes deux mains, les malaxant, appréciant le grain de sa peau et la fermeté affriolante de son cul. Véronique venait maintenant à la rencontre de ma bouche, elle s’était décollée du mur, me donnant plus accès à son fessier, et je sentais son bassin onduler sous mes coups de langue. Ses halètements augmentaient, je la sentais proche de l’orgasme, j’en profitai pour accélérer le rythme et enfoncer la langue plus profondèment dans son vagin, jusqu’à ce qu’elle jouisse dans un grognement étouffé, me plaquant le visage entre ses cuisses, se raidissant de tout son corps sous la décharge de plaisir qui la submergea! je donnai encore deux ou trois coups de langue pour la forme, puis me relevai face à elle.

Elle avait les yeux fermés, la bouche entr-ouverte, appuyée lascivement contre le cabanon. Je remis un peu d’ordre dans sa robe, puis posai un doigt sur ses lèvres, et je fis mine de disparaître dans les bambous. Je m’arrêtai un peu plus loin pour l’observer. Elle réapparut de derrière le cabanon, essayant de se recoiffer un peu, et se dirigea à pas chancelants vers la maison, en restant hors de vue du salon. L’intermède avait duré une dizaine de minutes, je me demandais quelle excuse elle avait pu donner à Stéphane pour s’absenter en pleine préparation du repas. Revenant à mon point d’observation initial en haut du mur, je la vis revenir au salon, embrasser Stéphane, puis retourner en cuisine, sans doute pour terminer ce qu’elle avait commencé.

Quelques minutes plus tard, j’entendis le carillon du portail. Stéphane sortit accueillir ses invités. De ma position, je vis arriver un couple à peu près du même âge que Véronique et Stéphane, l’homme était plutôt maigrichon, pas très grand et assez austère, alors que sa femme était plutôt bien en chair, légèrement enrobée mais très opulente, avec une poitrine xxl bien mise en valeur. Ils étaient accompagnés de leur fils, et je compris rapidement les raisons de la tenue de l’aînée des filles, car elle se jeta dans ses bras : c’était donc son petit ami et ses parents. Visiblement les parents se connaissaient bien, et les discussions furent vite animées. J’avais sorti mes jumelles, et j’observais attentivement toutes les personnes, essayant de détecter des failles, des comportements intéressants, … Véronique discutait dans la cuisine avec la mère du fiancé de sa fille, qui semblait une vraie pipelette! Véronique faisait bonne figure, mais la conversation avait l’air de la saoûler, surtout qu’elle devait encore ressentir dans ses entrailles les souvenirs du cunilingus précédent! Dans le salon, Stéphane et le père était dans des fauteuils, un verre à la main, et je me rendis compte rapidement que ce dernier avait très fréquemment le regard attiré par l’aînée des filles, en grande discussion avec son copain sur le canapé. Je voyais bien qu’il n’était pas indifférent au charme et aux formes de celle-ci, sa position lui donnait une vue de premier choix sur une belle paire de jambes fuselées et sur son décoletté affriolant!

Tout le monde se rejoint au salon, et on trinqua gaiement, avant de passer à table quelques minutes plus tard. Véronique était à côté de Stéphane, yalova escort et en face du couple d’amis. Le père avait trouvé un nouveau centre d’intérêt, le regard plus souvent qu’à son tour plongé dans le décoletté de Véronique : il avait du repérer d’ailleurs l’absence de soutif de la belle, ce qui ne devait pas lui déplaire! Je n’attendis pas la fin de l’entrée pour lancer ma deuxième attaque : j’envoyai un nouveau message :

« ton voisin d’en face a l’air d’apprécier ta poitrine libérée, petite cochonne! »

Elle se tourna pour récupérer son téléphone sur le buffet derrière elle, regarda le message, et je la vis instictivement porter une main à sa poitrine pour rabattre sa robe! Je souriais dans ma barbe.

J’enchaînai immédiatement :

« j’ai besoin de toi 5 mn. Même endroit. Tout de suite. »

Elle ouvrit le nouveau message, je le vis se décomposer dans mes jumelles. Il me sembla que Stéphane lui parlait, sans doute pour savoir qui lui envoyait ces messages, elle répondit quelque chose que je ne pouvais entendre, et se leva de table, disparaissant de mon champ de vision.

Quelques instants plus tard, elle me rejoignait derrière la cabane de jardin

– Pourquoi tu me fais ça?

– Tu as apprécié la dernière fois, non?

Elle se mordit les lèvres, mais ne répondit pas. Je sorti de ma poche un chapelet de boules chinoises, 6 belles boules d’une trentaine de mm de diamètre.

– Tu connais ce bel objet de désir?

Elle me regarda d’un air interrogateur.

– Je pense que tu vas apprécier. Mets-toi face au mur, maintenant! lui intimai-je.

Elle obéit à contre-cœur, se retourna face au mur.

– Pose tes mains sur le mur, et cambre-toi un peu en écartant les jambes!

Une fois en position, je posai délicatement une main à l’intérieur d’une de ses cuisses, appréciant la douceur de sa peau, et remontai lentement, jusqu’à venir lui emplamer le sexe en douceur. Elle était encore humide du cunilingus que je lui avais prodigué, et je lui massai tendrement les grandes lèvres. Véronique s’était arrêtée de respirer, essayant de résister à l’attouchement, mais cela ne dura pas, et elle finit par laisser échapper un gémissement léger.

– Tu aimes ça, n’est-ce pas?

– Salaud! fut sa seule réponse

– Bon, tu n’as pas beaucoup de temps : détends toi maintenant, on passe à la phase 2.

Saisissant la première des boules chinoises, je la posai à l’entrée de son sexe, et commençai à pousser pour la faire rentrer. Véronique se contracta légèrement, mais elle était bien lubrifiée, et la boule disparut rapidement dans son vagin.

– Et de une!

Sans attendre, j’engageai la deuxième derrière, qui disparut aussi facilement dans sa chatte.

– Et de deux!

Véronique serrait les dents, la sensation n’était pas douloureuse mais inhabituelle.

– C’est parti pour une de plus!

Et je fis pénétrer la troisième boule. Je dus forcer un peu plus pour pousser les deux boules déjà en place, mais il ne fallut que quelques secondes pour que son sexe n’avale également cette dernière!

– Eh ben, c’est pas mal! on pourrait en mettre un wagon, on dirait!

Véronique répondit d’un grognement.

– Je continue avec une quatrième? tu crois que ça rentre? l’interrogeai-je.

Et je présentai la dernière boule du chapelet contre ses grandes lèvres maintenant congestionnées, et commençai à pousser. Mais je la retirai avant que sa chatte ne l’ai avalée :

– Non, finalement, je vais essayer ailleurs …

Et je fis glisser la boule jusqu’à l’entrée de son cul. Véronique voulut s’y opposer, mais je m’y attendais, et je la bloquai contre la paroi de la cabane en lui faisant une clé de bras de ma main libre.

– Non, ne fais pas ça! protesta-t-elle

– Mais si, je vais le faire, et tu vas aimer au final.

Et je commençai à pousser pour forcer ses sphincters contractés.

– Non, s’il te plaît, c’est trop gros …

– Trop gros! tu ne te souviens pas de ce que tu as pris dans le cul récemment? ça, c’était trop gros, et pourtant tu as tout pris, et tu as aussi pris ton pied, à ce qu’on m’a dit.

Et je donnai une bonne impulsion de mon pouce, la boule finit par franchir la dernière défense de son cul et disparaître dans son fondement. Véronique poussa un glapissement au moment ou la boule froide était avalée par son colon, et se mit à respirer plus rapidement.

– C’est mieux comme ça! tu vas voir que tu vas en redemander!

Et je présentai l’avant-dernière boule contre son anus, et l’enfonçai sans préliminaire d’un coup sec! Elle glappit à nouveau, et sa respiration s’accéléra encore. J’avais relâché son bras, elle s’était à nouveau appuyée des deux mains contre la cabane, et sans s’en rendre compte, s’était encore plus cambrée, faisant ressortir son cul de rêve.

– Il n’en reste plus qu’une!

– Non, je n’en peux plus, s’il te plaît, non …

– Une petite dernière, c’est tout, et après tu pourras aller retrouver tes invités qui t’attendent, surtout le petit lubrique çorlu escort en face de toi!

Tout en la tourmentant, je faisais jouer la dernière boule chinoise contre son anus, la tournant et retournant, la faisant pénétrer un peu puis ressortant.

– Tu t’imagines si il savait qu’il a en face de lui une chienne lubrique avec 3 boules chinoises enfoncées dans le cul!

Et je fis pénétrer dans le même temps la dernière boule dans son cul, lui arrachant un dernier cri au passage de ses sphincters. Véronique haletait, le vagin et le cul envahis par les boules chinoises, expérimentant les sensations d’une double pénétration pour la première fois de sa vie, la fine paroi séparant son sexe et son colon étroitement comprimée entre les deux jeux de boules. Je lui caressai le cul, lentement, tendrement, puis lui saisit un sein pour me rendre compte que ses tétons étaient dressés de manière obscène! elle était excitée malgré elle, apparemment! je lui susurrai à l’oreille :

– Allez, maintenant il faut retourner jouer le rôle de la maîtresse de maison exemplaire!

Et lui envoyai une grande claque sur les fesses. Elle cria de surprise et de douleur, se retourna, mais j’avais déjà disparu dans les bambous.

De dépit, de honte et d’impuissance, elle mit un coup de poing dans la paroi, puis voulut se mettre en marche pour rentrer à la maison. Mais je la vis s’arrêter presque aussitôt : la pression des boules dans ses entrailles sollicitait ses muqueuses sensibles, et lui envoyait des décharges de plaisir dans les reins! Elle reprit sa marche lentement, d’une démarche mal assurée : j’imaginais le ballet des jolies boules, nichées dans des lieux si chargés de plaisir, montant et descendant, roulant et glissant entre elles, vibrant pour une partie d’entre elles de ce fameux mécanisme des boules chinoises! Véronique tressaillait sans cesse, ses sens boulversés, des frissons de plaisir parcourant son corps. Je la vis disparaître au coin de la maison, puis, quelques assez longs instants plus tard, reépparaître dans le salon.

Elle échangea quelques mots avec Stéphane, et reprit place à table. Je m’approchai silencieusement de la maison, jusqu’à arriver à côté de la porte-fenêtre la plus proche de la table. Les rideaux fins étaient tirés, ce qui me permettait de voir à l’intérieur sans risquer d’être vu, même en me mettant quasiment contre la fenêtre. Véronique était appuyée sur les coudes à table, elle avait les yeux un peu dans le vague : sa voisine avait repris sa conversation à flux continu, mais cela n’avait pas l’air de la déranger. D’autres choses devaient accaparer toute son attention! Quelques minutes plus tard, ils passèrent à la suite : on débarassa les assiettes, Véronique essayait d’être le plus naturel possible mais je voyais qu’elle luttait pour bien paraître. Ses filles l’aidèrent, puis revinrent au salon mettrent de nouvelles assiettes, pendant que Véronique restait seule à la cuisine pour dresser le plat principal. J’en profitai pour sortir ma botte secrète : un petit boîtier discret, avec une petite roulette. J’avais omis de le dire à Véronique, mais deux des fameuses boules chinoises n’étaient pas équipées du mécanisme classique qui générait des vibrations seulement lorsqu’on les secouait, mais d’un dispositif télécommandé : en gros, un double-vibromasseur de forme sphérique … et j’avais la télécommande dans ma main! Guettant par la fenêtre de la cuisine pour voir sa réaction, j’envoyai une impulsion courte avec la roulette de commande : Véronique écarquilla soudainement les yeux, et porta une main à son ventre, se retenant à la table de l’autre main. Elle tourna la tête vers la fenêtre, essayant de comprendre ce qui lui arrivait. La fenêtre de la cuisine n’avait pas de rideaux, je me montrai, goguenard et lui présentai le boîtier : tout en la fixant, je mis le doigt sur la roulette de commande, et l’actionnai! elle porta les deux mains à son ventre, ouvrant la bouche de surprise devant l’afflux de sensations dans son vagin et dans son cul! je coupai le signal, puis remis la main sur la roulette. Elle me fit non de la tête, mais je relançai les vibrations sans en tenir compte, à un niveau plus élevé : elle se raccorcha à la table, une main sur la bouche pour ne pas crier, faisant toujours non de la tête, mais je maintiens cette fois le niveau pendant de nombreuses secondes.

Soudain, alors que je ne m’y attendais pas, l’aînée des ses filles apparut dans l’encadrement de la porte! Heureusement pour moi, elle ne me vit pas, sa mère qui semblait aller mal attira son attention. Je me glissai sur le côté de la fenêtre, coupant les vibrations, gardant juste un œil dans la pièce :

– Maman, tout va bien? demanda sa fille Marie d’un air inquiet

– Oui, j’ai un peu mal au ventre, mais ça va passer.

– Je vais t’aider à ramener la suite au salon, va t’asseoir.

– Merci

Véronique laissa sa fille s’occuper des plats, et revint prendre sa place à table. Mais son esprit tournait à plein régime, et elle était envahie de l’appréhension de ce qui allait se passer si je décidais de déclencher les vibro-masseurs pendant le repas! Je n’étais pas pressé, et je les laissai continuer leur repas pendant un bon quart-d’heure avant de poursuivre mes tourments. Véronique semblait s’être relaxée un peu, il était temps d’en remettre un coup.

Rééducation de Femme Trophée 04

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Traduction d’un texte de Krystal0690.

*****

Même si j’étais épuisée, je dors peu cette nuit. Dans la salle à manger c’est numéro 6 qui distribue les sandwichs enveloppés dans du plastique pour qu’ils ne sèchent pas. Alors que j’attends d’avoir le mien, numéro 3 et numéro 8 entrent dans la salle et évitent de me regarder. Alors que je tends la main pour que numéro 6 me donne mon sandwich, elle le lance dans un coin de la pièce.

– Oups, je l’ai laissé tomber! Pourquoi ne pas aller le manger là-bas?

Alors je vais dans le coin et je m’accroupis tandis que les autres femmes me lancent des regards de mépris furieux. Je me demande comment je vais pouvoir passer les quatre semaines.

Une heure plus tard, nous sommes autorisées à sortir dehors avant que la chaleur du jour ne commence à brûler le sol. Le sable est encore chaud de la veille. Nous tournons en rond alors que deux d’entre nous vont laver leurs vêtements dans un bassin sur le côté du bâtiment. Numéro 8 mouille et frotte son tee-shirt et sa culotte, elle est nue dans la brise du matin.

Même si c’est interdit, j’utilise son prénom pour plus d’intimité :

– Alyssa, je suis désolé. Je ne savais pas que vous aviez besoin de souffrir autant que vous avez souffert.

– Eloigne-toi de moi… Espèce de malade… de psycho… Salope. Grogne-t-elle sans lever les yeux.

Je m’approche d’elle et je lui dis :

– Je ne savais pas qu’ils voulaient nous embrouiller l’esprit. Je voulais juste aider.

Elle me montre le tee-shirt et me dit :

– Tu vois les traces de sang là? C’est à cause de toi. Parce que tu m’as battu sans pitié. J’ai encore mal alors que toi tu as eu à peine mal avec le Taser.

– Non, le Taser m’a blessé. Et je ne savais pas comment utiliser le fouet.

Elle laisse tomber son tee-shirt dans le sable et elle se rue sur moi. Son poing frappe ma mâchoire et je tombe au sol. Immédiatement elle se jette sur moi et déchire mon tee-shirt. Puis je sens un nouveau coup qui me frappe sur le côté du visage.

Le reste de notre groupe nous entoure et commence à encourager mon agresseuse. Je les entends crier :

– Vas-y! cogne cette salope!

Je suis trop choquée pour essayer de me battre. J’essaie de protéger mon visage, mais je prends des cous dans la cage thoracique.

– Arrêtez sales putes! Pas de combat ici! Crie Smith alors que le directeur et elle sprintent vers nous.

Les autres femmes sont dispersées, numéro 8 et moi sommes séparées. Smith m’examine et voit que je n’ai pas de blessures graves. Le directeur s’occupe de calmer numéro 8.

Puis ils nous escortent toutes les deux au bureau de M. Ambrose. Nous restons silencieuses alors que Smith raconte l’incident. Numéro 8 est toujours nue avec les mains dans le dos. J’ai la même pose mais avec l’avant de mon tee-shirt déchiré, les seins exposés.

Il est alors décidé de la responsabilité de l’incident. C’est numéro 8 qui a commencé à cogner, mais je suis celle qui l’a approchée après qu’elle m’eut dit de reculer. On me remet une carte rouge.

– Numéro 8, nous ne pouvons pas supporter ce genre de comportement ici. Donc vous devez partir. Vous aurez des vêtements propres. Toutefois votre mari nous a laissé des instructions. Si vous ne réussissiez le stage, vous deviez être déposée devant le plus proche bordel.

– Vous dites que je dois devenir une prostituée? Dit-elle avec colère.

– Non, bien sûr que trabzon escort non… Vous pouvez ne pas entrer dans le bâtiment ou demander du travail. Vous avez toujours le choix. Il est vrai que vous serez dans une ville perdue sans argent et sans amis. Si vous êtes assez débrouillarde, vous trouverez peut-être d’autres moyens de survivre.

Deux gardes saisissent Alyssa par les épaules et l’escorte vers le début de sa descente dans l’inconnu. Je me demande si je dois l’accompagner ou offrir de prendre sa place. Involontairement, j’étais déjà responsable de la déchéance de Nina, l’ex-épouse de mon mari. Peut-être que je mérite le même sort. Je souhaiterais être plus courageuse.

– Vous allez attendre dans votre cellule, numéro 5. Les autres femmes décideront de votre punition.

Je reste assise seule pendant des heures. Je regarde plusieurs fois par la fenêtre et je vois Alyssa dans un short bleu délavé, des sandales et un chemisier. Elle grille sous le soleil impitoyable. A ce moment-là je me dis que je suis la pire femme que l’on puisse imaginer, une vraie lâche.

Finalement la porte s’ouvre et Smith avance vers moi et me dit :

– Il est temps de faire face au jugement. Les autres filles ont obtenu des cartes bleues et elles se sont administrées leur propre punition. Mais rien à voir avec ce que tu t’es infligé.

Elle me lance un sourire crispé.

– Tu n’as pas gagné un concours de popularité.

Les trois autres femmes sont restées dans la salle de punition. Elles portent toutes un collier bleu et elles ont toutes des marques de fouet sur leur cul nu. Un collier rouge est fixé autour de mon cou et une chaîne ancrée au sol est reliée à mon collier. Sans que l’on ne me demande quelque chose, je fais ma confession :

– J’ai eu tort de vouloir imposer mes excuses à numéro 8. Je n’ai pas compris la douleur que je lui ai infligée. Je mérite d’être renvoyée. J’étais trop lâche pour le dire, mais je voudrais prendre sa place.

– C’est trop tard pour ça. Alyssa est maintenant sur le chemin pour la suite de sa vie. Vous ne pouvez plus l’aider ou la remplacer. Mais si vous voulez abandonner, vous pouvez le faire à tout moment. Dit M. Ambrose.

– Ouais, tu dois partir! Tu ne fais pas partie de nous! Dit numéro 3 en me montrant de l’index.

– Ce n’est pas à vous de décider, numéro 3!

– Non monsieur. Je suis désolé.

Je peux voir le mépris dans le regard de ces femmes. Elles me blâment pour leur situation actuelle.

– Alors, numéro 5 doit être punie! C’est à vous de décider comment.

On enlève la chaîne qui me relie au sol et on m’attache sur la grande croix comme numéro 3 la veille. Les autres femmes se dirigent vers le mur où sont accrochés les aiguillons électriques. Elles en reviennent avec les plus gros disponibles. Je me prépare mentalement à la douleur intense qu’elles vont m’infliger. C’est alors que numéro 6 dit :

– Attendez, j’ai une meilleure idée. Elle nous sera bénéfique et numéro 5 souffrira quand même.

Elle se tourne vers M. Ambrose et lui demande :

– Monsieur, combien de clients vont venir ce soir?

– Il est trop tard pour changer le nombre, donc il y en aura dix.

– Comme punition pour numéro 5, nous voulons qu’elle s’occupe de tous les clients pendant une semaine.

L’homme réfléchit puis répond :

– Non, juste ce soir. Ce travail sert aussi à votre apprentissage.

tunceli escort Deux jours alors Monsieur!

– Êtes-vous toutes d’accord avec ça?

Les femmes hochent de la tête, alors M. Ambrose me demande :

– Êtes-vous d’accord numéro 5?

– oui Monsieur, tous les clients.

Tout vaut mieux que les décharges électriques que ces femmes pourraient m’infliger.

On me détache de la croix, mais seulement après que numéro 6 écrive sur ma poitrine les mots « Stupide Salope » avec un marqueur permanent. Je retourne à ma cellule pour passer le reste de la journée en réfléchissant à mon destin.

Quelques heures plus tard, je suis seule dans la salle d’exposition. Je suis la seule disponible pour les dix hommes latinos qui entrent et commencent à demander aux gardes ce qui se passe. Ceux-ci leur répondent en espagnol pendant qu’ils me regardent avec mécontentement. Je comprends qu’ils n’étaient déjà pas contents de payer pour une femme qu’ils devaient se partager à deux ou trois. Mais maintenant une pour dix, c’est le bordel.

Mais aucun n’abandonne. Ils tirent au sort pour connaître leur place. Le premier attrape ma main pour me conduire dans une cabine. J’enlève mes vêtements et docilement j’obéis à l’homme qui me montre ce que je dois faire. Je mets donc son érection dans ma bouche. Je lui fais une fellation jusqu’à ce qu’il me pousse par terre, écarte mes jambes et pénètre ma chatte. Il ne me baise pas longtemps et dit bientôt :

– Buena chica!

J’ai compris le sens de ces mots. Un autre homme entre dans la cabine pendant que le premier se rhabille. Je vois numéro 6 parmi les autres. Elle parle espagnol et dit :

– Non estoy disponible esta noche!

Puis je la vois demander au groupe :

– Te gustaría coger el scank en el culo?

Plusieurs hommes répondent « Si » et se mettent à rire.

En m’adressant un sourire méprisant, numéro 6 me fait un doigt tout en disant :

– Va te faire foutre, salope!

C’est à ce moment que le deuxième homme pénètre ma chatte. Il me baise pendant vingt minutes et je suis déjà épuisée. Il insiste à me tripoter les seins. Plus d’une fois j’essaie de retirer ses mains de ma poitrine, mais les autres hommes se moquent de moi. Ils commencent à scander les mots « stupide salope ». Merci numéro 6!

– Todo de, Skank estupido! Hurle l’homme en éjaculant.

Je le sens gicler en moi son foutre chaud. Il se retire et un troisième homme entre dans la cabine. Les autres scandent encore plus fort. Je commence à étendre les jambes, mais le latino me sourit et me fait signe de me tourner. Comme je ne le comprends pas, il m’attrape et me force à m’agenouiller dos à lui. Puis il tire mes hanches et mon cul vers lui. Je le vois prendre un pot d’où il sort une sorte de gelée pour l’étaler sur mon cul. Alors seulement je comprends ce qu’a dit Angéla. Elle a invité ces hommes à m’enculer.

Je n’ai jamais été sodomisée, je n’ai jamais voulu essayer. Alors je crie :

– Non je ne veux pas! Je veux partir! Je veux quitter le ranch!

Mais ça ne sert à rien. Le groupe d’hommes fait trop de bruits pour que des membres du personnel m’entendent. De plus, ils essaient de contrôler ce groupe indiscipliné. Mes fesses sont écartées alors qu’un autre homme entre dans la cabine. Je sens qu’une bite est guidée vers mon cul alors qu’une queue est poussée dans ma bouche.

Au début, je suis mal uşak escort à l’aise avec l’introduction de ce sexe dans mon cul, mais ce n’est pas douloureux. Je me sens par contre très humiliée. Je peux voir les trois autres femmes pointer leur doigt vers moi et rigoler.

L’homme dans ma bouche jouit et je laisse tomber son sperme sur le matelas. Mais sa bite est rapidement remplacée par une autre. Je perds la notion du temps et de ce que je subis. Je crois que j’ai été enculée par trois fois, que j’ai sucé deux bites et le reste a baisé ma chatte.

Quand je quitte la cabine et passe devant numéro 3, celle-ci grimace méchamment et hurle :

– Si ça ne risquait pas de me coûter un carton bleu, j’aimerais te cracher au visage!

Dans ma cellule, je tombe en arrière sur le lit, épuisée et déshonorée. Je réfléchis pendant une heure avant que l’on frappe à ma porte. C’est Smith.

– Je crois que tu as passé un mauvais moment.

Je ne peux pas parler alors je me contente de hocher la tête. J’ai besoin de quelqu’un pour me réconforter. N’importe qui. Je ne me suis jamais sentie aussi seule de ma vie.

– Mais je crois que tu n’as pas terminé ta journée de travail. Nous pouvons le faire ici ou dans ma chambre. Comme tu veux!

En état de transe, je la suis dans sa chambre. Je vois l’argent déposé sur la table de nuit. Elle me regarde alors que j’utilise ma langue pour lui donner un orgasme. J’ai l’impression d’être debout à côté de mon corps et de me regarder faire. Puis je me sers contre elle et profite de ces quelques précieux moments de contact humain quand elle me tient.

– Tu peux me poser des questions pour ces vingt dollars!

Je la fixe tout d’abord incapable de comprendre. Puis je décide de ce que je veux pour cette nuit.

– S’il vous plaît, je vous demande juste un peu d’humanité. Je vous donne cet argent si simplement vous continuez à me tenir.

Elle ne répond pas, mais je sens qu’elle me tire vers elle. Ce n’est pas grand-chose, mais ça va me permettre de tenir.

Une heure plus tard ou peut-être quatre, je ne sais pas, Smith me pousse du coude :

– Tu devrais retourner à ta cellule ou tu vas recevoir un nouvel avertissement.

Je m’assois. J’ai la tête plus claire. Je ramasse mon tee-shirt et ma culotte et je les enfile.

– Tu as encore droit à des questions. Mais ne t’habitue pas à ce traitement.

Je ne sais que penser? Que pourrais-je demander qui me serait utile? Et après tout pourquoi ne pas demander ce que je dois poser comme question?

– Quelles questions dois-je poser?

Smith me sourit :

– Cette question te coûte dix dollars. Mais tu peux me demander s’il y a un autre moyen de sortir de ce stage.

Elle me regarde dans les yeux et me donne très clairement la réponse à la question :

– Non, tout a été bien étudié. Les hommes qui possèdent ce lieu sont plus puissants que tu ne peux imaginer. Et les personnes du gouvernement qui ne sont pas au courant sont trop occupés pour remarquer ce genre de choses.

J’essaie de comprendre. Bizarrement ça rejoint certaines choses que j’ai entendu dire par mon mari James au sujet du pouvoir qu’il avait sur les politiciens.

Smith continue à poser et répondre à ses propres questions :

– La question suivante peut être : Comment s’en sortir? Ce programme est fait pour que vous toutes vous vous déchiriez entre vous. Les autres ont formé une alliance contre toi, elles se serrent les coudes pour te rabaisser. Mais il ne faut pas laisser faire, tu dois les diviser.

Smith me tire près d’elle et dit doucement dans mon oreille :

– Dernière question : Comment faire? Arrête d’être la victime, deviens le prédateur!

A suivre…

Secrétaire Très Particulière (01)

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Charming

Je travaille comme secrétaire de direction dans la même société de Pub depuis mes 20ans.

J’ai maintenant 44 ans. Je suis mariée et nous avons 3 enfants,deux garçons de 21 et 22 ans et entre les 2 une fille de 20 ans, qui ne sont plus a la maison.

Une vie tout à fait normal, du moins, je le pensais .

22 ans de mariage, heureuse, mon mari, tout comme moi, pas très porté sur le sexe. Il nous arrive de passer 2 voir 3 semaine sans aucun rapport, puis de faire l’amour presque tous les jours pendant une semaine.

Je n’ai jamais trompé Alain et je suis persuadée que pour lui il en est de même.

Mon patron, un homme charmant vient de nous annoncer qu’il va prendre sa retraite, il faut dire qu’il arrive sur ces soixante-dix ans.Il nous explique, que son fils a terminé ses études a Londres et dans un mois il prendra son poste, ils travailleront ensemble 5 à 6 mois puis il se retirera définitivement.

Le jour arrive ou il nous présente son fils, un jeune homme de 27 ans, très sûr de lui, un look décontracté, un beau regard, très souriant et très aimable.

Ce dernier nous dit se prénommer Paul, et contrairement à son père,il désire que l’on le designe comme cela et pas de Monsieur . Il aimerait même que tout ces collaborateurs s’appelle par leurs prénoms.

Je dois dire que cela a été assez compliqué, mais en a peine 1 mois après, tout le monde s’y est fait.

L’atmosphère dans les bureaux était assez convivial.

Mon bureau est situé dans une pièce avant le bureau patronal.

Pour aller voir les patrons, tous doivent passer devant moi.

Paul vient souvent me voir pour des renseignements, ou me dicter le courrier, alors que son père se servait d’un dictaphone .

Les semaines et les mois passent, moi dans mon bureau et les deux patrons ensemble dans le leurs.

Quand Paul vient me voir, il se met souvent derrière moi, et quand il se penche sur mon épaule pour voir des dossiers ou le courrier .Je sens son regard sur moi, plus particulièrement sur ma poitrine.

Je suis pourtant habillée tres classique, des tailleurs, sur un chemisier, des jupes au dessus du genou. L’été soit mes éternels chemisiers ou des petits polos, toujours sur un soutien gorge.

Je ne me trouve plus très belle, mes trois grossesses , m’ont laissées un ventre légèrement bombé, une poitrine un peut forte, un 85 b, je mesure 1m65 pour 60kg.

Un visage rond, des yeux bleus encadrés par une chevelure blonde foncée, tombante sur les épaules en cascades légèrement bouclée naturellement.

D’après mon mari, mon atout majeur, est mon sourire, des lèvres légèrement pulpeuses encadrant deux rangées de dents très blanches et bien alignées.

Ayant remarqué le regard de Paul sur mes seins, je fais attention à ce que je porte et surveille les boutons de mes corsages.

Nous avons fait une soirée pour le départ de son père. Un pot d’amitié ou tout c’est bien passé, dans une ambiance parfaite.

Puis le travail, et la routine ont repris.

Quand Paul venait me voir, il était de plus en plus tactile, je me disais que vu la différence d’âge et surtout la sublime jeune femme qui venait l’attendre certains soirs, je me faisais des idées.

Puis Noël est arrivé, une semaine de vacances.

Le jour de la reprise, je n’ai plus de bureau, a la place, des placards, une grande photo copieuse.

Je frappe a la porte de son bureau, j’entre et tout sourire, il me designe un grand bureau en angle tout neuf.

Il m’explique que ce sera plus simple pour travailler, face a mon bureau, sur le mur un écran tv, pour pouvoir regarder les spots publicitaires des graphistes. Son bureau a lui est a ma doite, devant la fenêtre, a la qu’elle il tourne le dos.Il fait face a la porte et au canapé,la table basse et les deux fauteuils qui servent à recevoir les clients.

Il me faut 2 ou 3 jours pour prendre mes repaires.

Paul est toujours aussi tactile, il m’éffleure souvent les bras, et même plusieurs fois son coude se frotte a mon sein.

Cela fait deux semaines que nous travaillons, et urfa escort je me suis habituée a ses petits débordements, quant ce matin nous recevons un client pour un gros contrat. Les deux hommes sont dans les fauteuils, et moi derrière mon bureau afin de rectifier certaines closes.

Paul me demande de relire le contrat, comme souvent, il vient derrière moi et lit par dessus mon épaule.

Je sens sa main se poser sur mon épaule, puis ses doigts glissent doucement vers mon cou , comme je ne bouge pas, continuant de lire a haute voix,pour le client, qui , lui fixe je ne sais quoi a la fenêtre,les doigts effleurent le haut de mon sein juste a la limite du soutien -gorge.

Je bafouille un peu,le client leve les yeux, Paul retire sa main, mais je me demande si le client a vu quelque chose.

Je termine la lecture, je me sens les joues en feu.

Comme il est 11h30 , Paul me demande de retenir le restaurant pour déjeuner, et ajoute , de préciser 3 couverts , me demandant de les accompagner, une présence féminine détendra la discussion.

Je m’exécute, mais c’est la première fois qu’il me convie au déjeuner.

La discussion est maintenant tres conviviale, le client ayant l’air d’être satisfait du contrat.

On part au restaurant, le repas se passe tres bien, je suis un peu gêné, je n’ai pas l’habitude de manger avec mon patron et encore moins avec un client.

Nous rentrons au bureau vers les 15h.

Le contrat est signé, le client est heureux et en serrant la main de Paul, il me complimente , et lui dit, la prochaine fois vous serez tous les deux mes invités.

Puis il part.

Dès la porte fermée, Paul me prend par la main, me fait lever, me dit que nous faisons une bonne équipe , me fait une bise sur la joue et me pousse sur un fauteuil, il va au mini bar, sort une bouteille de Champagne, prend 2 verres et tout en s’assayant.

_Je pense que l’ont peut fêter ça!!!!dit il.

Je suis confuse, il me tend une coupe .

Il prend place en face de moi.

Tout en buvant, il me dit que je suis belle, mais que je ne me mets pas en valeur, il approche son fauteuil, nos genoux se touchent presque.

Il tend une main et dégrafe un bouton, puis deux de mon corsage, laissant apparaitre mon soutien -gorge.

Je lui dis que ce n’est pas bien, je suis mariée et bien plus âgée que lui.

Il sourit,

_Et je suis ton patron , mais depuis le premier jour, j’ai eu envie de mieux te connaître.

Mon verre étant presque vide, il me ressert du champagne,

Je ne bois que très peu d’alcool, et je commence à avoir chaud.

Il voit mon trouble, il pose ses mains sur mes genoux, et les écarte lentement, bizarrement je me laisse faire, il remonte ma jupe sur mes cuisses et me caresse l’intérieur, là où la peau est tres douce, mon cœur bat très vite.

Je n’ai jamais trompé mon mari, mais je me rends compte que ce jeune homme me trouble énormément.

D’une main il me caresse l’intérieur de la cuisse, a la limite de la culotte, et avec l’autre, il passe sous mon soutien-gorge et me petrit le sein, faisant gonfler mes mamelons

_Tu sais Annie, j’aimerais que tu sois plus accessible, plus disponible, notre collaboration s’en trouverait plus enrichissante. Tu es belle et intelligente, j’espère que tu me comprends.

Puis il se lève, prends son veston et sans un mot il sort.

Je suis là, le sein a moitié sorti, les cuisses écartées, la culotte trempée, avec une folle envie de sexe.

Je rentre à la maison, et ce soir, mon mari m’a trouvé bien amoureuse

Le matin, je sors de la douche, et comme a l’accoutumée je vais dans ma chambre pour m’habiller, en passant devant le miroir du placard, je regarde cette femme nue, que je ne voyais plus depuis longtemps.

J’admire mes seins, un peu lourds, avec leurs aréoles brunes surmontées de mamelons remontant fièrement vers le haut. Je ne peux m’empêcher de les tirer et les faire gonfler. Je passe mes mains sur mes fesses bombées, puis sur mon ventre et contemple la petite toison sivas escort blonde qui ne dissimule pas une chatte au levres bien saillantes.

Avant la douche, j’avais préparé mes vêtements et sous vêtements.

Un ensemble culotte et sous tif noir, une jupe en tergal beige et un chemisier blanc en coton

J’enfile la culotte et le soutien gorge,la jupe, le chemisier. Je prends une veste bleu marine.

Je me vois dans la glace très BC BG.

Au moment de quitter la chambre, j’ôte la veste, le chemisier et le soutien gorge, remets chemisier et veste et vais au garage prendre ma voiture.

Arrivée au bureau, il me semble que tout le monde me regarde, Je salue rapidement mes collègues et fonce dans mon bureau.

Paul n’est pas arrivé, je suis soulagée, il ne remarquera pas ma tenue.

Je pose ma veste dans mon placard et m’installe a mon bureau.

Cela fait une bonne heure que je travaille quand la porte s’ouvre et Paul entre jovial comme toujours.

Il vient vers moi, se penche, me tourne la tête et dépose un baiser sur mes lèvres et a même temp il passe sa main sur mon chemisier.

_J’apprecie l’effort, je savais que tu me comprendrai, je te promets que ta vie va changer . Va fermer la porte a clef.

Je m’exécute, il m’attire à lui, il se penche et m’embrasse, sa langue ouvre mes lèvres et vient chercher la mienne.

Je réponds à son baiser, je ne me reconnais pas, il ouvre mon chemisier,le fait glisser sur mes épaules,me remonte les seins en les comprimant fort. Je suis surprise, mais aussitôt, une de ces main dégrafe ma jupe qui tombe au sol.Je réalise que je suis en culotte au milieu de mon bureau dans les bras de mon patron et que je n’ai pas réagi, même pas un geste de défense.

Il est très sûr de lui, il me pousse vers le canapé.Je tombe assise, il se met à genoux passe ces doigts sous l’élastique de ma culottes et entreprend de la faire glisser, je soulève mes fesses pour faciliter la tâche.

Je suis entièrement nue sur le canapé dans mon bureau, je n’aurai jamais cru que cela soit possible.

Pourtant, cette femme nue devant son patron, c’est bien moi, les seins gonflés par le désir, les mamelons durs et bandés vers le plafond, les cuisses légèrement écartées laissant apparaître ma chatte juteuse dans son petit triangle de poils blond.

Paul, lui est encore tout habillé.

Il se relève.

J’avance la main vers sa braguette, j’ai envie de voir son sexe, de le sentir palpiter.

Il attrape ma main.

_Qui t’a permis?

Je suis rouge de confusion.

_Je…..je pensais que tu avais envie de moi!

_Je n’ai pas dit le contraire, mais je ne veux pas d’une simple maîtresse,j’en ai déjà une. Je veux plus, beaucoup plus.

_Je ne comprends pas?

J’ai les larmes aux yeux, j’ai honte, je serre les jambes et mets mes mains sur ma poitrine, je voudrais me revêtir et m’enfuir.

Mais il m’abaisse les bras.

_Je te désire, mais je te veux toute a moi, obéissante.

_je ne vois pas ce que tu veux dire?

_ Je te veux soumise, Ma Soumise!

_Comment ça?

_Tu ne comprends pas? Je te veux, je veux pouvoir faire avec toi, et de toi tout ce que je veux, ton corp, ton esprit tout m’appartient, tu obéis a tous mes désirs à toutes mes volontés

Est tu d’accord avec ça? acceptes tu? si tel est le cas alors je te ferai connaître des choses que tu n’imagines même pas.

As tu déjà eu un amant, as tu trompé ton mari?

Je suis abasourdie, les larmes coulent sur mes joues

_Non, je n’ai jamais eu d’amant, je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis désolé.

_C’est bien, mais accepte tu ma proposition?

_Heu!!!je sais pas…… mais……… oui je veux bien.

_Tu veux bien! Tu me comble de joie, habille toi, mais, pas de culotte, si tu acceptes, ni culotte,ni soutient gorge, je vais te dicter un contrat, entre toi et moi.

Demain matin, si tu me le rends signé, on commencera ton apprentissage, si tu ne me le rends pas, alors la vie reprendra son cours, mais je tekirdağ escort serais très déçu.

Je m’exécute, je me mets a mon bureau et il me dicte le contrat.

Je suis déconcertée, je comprends que si j’accepte, il pourra faire de moi tout ce qu’il voudra, je ne peux rien lui refuser , et en cas de désobéissance, il a même le droit de me puni.

Tout la journée, j’ai tourné le problème dans ma tête, la peur de lui déplaire, à même temps le désir de l’inconnu, et cette sensation d’avoir les fesses a l’air et les seins libres sous mon chemisier, lequel volontairement ou pas j’ai laissé 3 boutons ouvert donnant la vue presque sur mes mamelons. Sous l’effet du frottement du tissu, ils sont toujours tendues. Je voyais bien les regards de Paul qui appréciait.

Le soir, je suis rentrée,mon mari était la comme a son habitude. Je lui ai fait une bise, et prétextant une envie présente je suis vite allée mettre une culotte et un soutien gorge .

Le repas terminé, je rejoins mon mari sur le canapé, Je tourne mes idées en rond dans ma tête, je culpabilise vis à vis de mon mari, je me revois nue dans le bureau avec Paul qui me dévisage, tel un félin devant sa proie, une proie offerte et consentante.

Je repense à sa proposition, à ce contrat qui se trouve dans mon sac a main, etre sa soumise, sa chose, etre son esclave sexuelle, étrangement je sens ma chatte qui s’ humidifie, mes seins gonflent.

Je m’approche d’Alain, je pose ma main sur son entre jambes, j’ai besoin de sexe.

Il se retourne et me sourit, je déboutonne mon chemisier, dégrafe mon soutien gorge.

Alain fait glisser ma jupe a mes pieds et retire ma culotte, il se lève et en un rien de temps, il est également nu.

Je prends sa queue et veux la porter à mes lèvres, cela fait longtemps que je ne l’ai pas fait, mais Alain me couche sur le canapé et s’introduit en moi, comme ça, d’un seul coup.

Heureusement que je suis mouillé, il entre sans efforts, mais j’aurais aimé qu’il soit plus tendre, avoir quelques préliminaires . Il ne remarque même pas l’état de mes seins, ils sont tellement gorgés de sang, qu’ils me font mal, les aréoles sont bombées, surmontées de mamelons énormes, je crois que je ne les avais jamais eu aussi gros.

Mon mari pousse des grognements sur moi, je sens son sexe gonfler, il s’enfonce le plus profond possible, ces bourses sont collées a mes fesses, je m’agripe a lui, et dans un râle, il se libère dans mon utérus, de longs jets de sperme chaud.

Il se relève et part vers la salle de bain.

Je suis les jambes écartées, ma chatte grande ouverte, j’attrape ma jupe et la glisse sous mes fesses, afin d’éviter de tâcher le canapé.

Je me caresse la poitrine , j’imagine Paul, mon patron, que ferais t il?

Me laisserait il comme cela, avec mon envie de plaisir?

J’ai envie de pleurer, Cet après-midi, c’est pourtant lui qui m’a laissé nue sur le canapé au bureau et maintenant mon mari prend son plaisir et moi je suis toujours insatisfaite.

J’éteins la TV , et me dirige vers la chambre, Alain est sous la douche, j’attends qu’il termine, et prends sa place

L’eau chaude me détend, je me savonne la poitrine, puis ma main glisse sur mon sexe, je ferme les yeux.

Je me masturbe debout contre le carrelage, mes doigts entrent le plus loin possible, je fais rouler mon bouton sous mon index, mon autre main tire sur le mamelon, presque a me faire mal.

D’un seul coup, je me crispe,mon cœur s’accélère, il bat très fort, je sens un fourmillements au creux de mes reins, mes jambes tremblent, je fléchis les genoux et l’orgasme me broie le ventre.

Je perds la notion du temps.

Je réalise que l’eau est plus froide, j’ai dû vider le chauffe eau.

Je me seche, et rejoint Alain qui dort déjà a poings fermés.

Contrairement à mon habitude, je me glisse entièrement nue dans mes draps.

Mon esprit vagabonde, que peut bien me faire Paul, tout compte fait, je réalise que je ne vois pas tres bien le rôle d’une soumise.

Je me remémore les différentes clauses du contrat, mais j’avoue que je ne saisis pas tout.

A même temps, j’ai envie d’être désirée, d’être prise, etre aimée et surtout avoir du plaisir.

C est décidé, demain je signe le contrat, mais je vais ajouter une clause

Un mois d’essai……

(a suivre)

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Chantage à L’opticienne

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Creampie

L’histoire que je vais vous relater s’est passé il y a quelques années à Grenoble.

Je m’appelle Robert, j’ai 42 ans, marié, et je suis expert-comptable dans cette ville, et je viens d’apprendre la mort de Louis.

Louis était un de mes anciens clients. Il avait ouvert une boutique d’optique dans le centre-ville, il était marié avec une belle femme Martine et avait deux filles Laurence et Valérie aujourd’hui mariées. Son épouse était superbe, 50 ans de gros seins, habillée un peu vieillot mais pas mal du tout. Toujours très distante avec moi, elle me prenait pour un con, très famille. Une pétasse sans doute comme ses deux filles d’ailleurs. Bonjour. Bonjour. Sans plus.

Ses filles travaillaient avec lui à la boutique et sa femme occasionnellement. Au début l’affaire était florissante, et puis l’installation de grosses chaines de boutiques d’optique plus l’arrivée d’internet commençaient à peser sur son chiffre.

Il venait me voir régulièrement, et en profiter mon scruter mon assistante Caroline, qui est aussi ma maitresse, mon esclave et mon bras droit. 25 ans, brune, les yeux verts et une poitrine avec des seins magnifique pour un 95C.

Je lui demandait ce que je voulais , le plus souvent une pipe, elle obéissait au doigt et à l’œil … le rêve.

Louis me demanda à l’époque plusieurs choses, il sentit le vent venir, tout d’abord mettre son épouse en tant qu’associée sans qu’elle le sache, ainsi en cas de disparition elle pouvait continuer a gérer la boutique avec ses filles. Puis il me demanda de falsifier des chiffres pouvant ainsi vendre son commerce dans de bonnes conditions dans les prochains mois. Il m’était difficile de répondre non car il me gratifier à chaque fois d’une grosse enveloppe d’euros en liquide.

Seulement voilà, maintenant que Louis est mort accidentellement, et que les statuts de la société font de sa veuve la principale responsable…je pense qu’il est temps de s’amuser un peu. Et d’apprendre à sa pétasse de veuve les bonnes manières.

-Allo? Martine? Ici Robert l’expert-comptable, je me suis permis d’attendre la fin des obsèques mais j’ai besoin de vous voir d’urgence concernant la boutique.

-Oui, oui. Bien sûr, ..demain 10h?

-Avec plaisir demain 10h.

Le lendemain matin, je convoquais mon assistante dans le bureau.

-Caro, je vais recevoir la veuve de Louis dans quelques minutes. Quand je t’appellerais tu lui donnera des ordres…comme je les aime pour me faire bander!!

– D’accord tout ce qui te fera plaisir, en plus je n’aime pas du tout cette pétasse!

A 10h tapante, Martine arriva dans mon bureau. Un tailleur beige, un chemiser blanc, des collant noir ainsi que des chaussures avec des petits talons. La petite provinciale…

– Bonjour Martine, merci d’être venue. J’avais besoin de vous voir au sujet de la boutique, cela va très mal.

-Comment cela va très mal? Qu’est ce vous racontez?

– Ecoutez, Louis était venu me voir pendant plusieurs mois, il m’avait demandé de truquer les chiffres rize escort pour montrer que la société était saine, mais malheureusement aujourd’hui vous êtes criblée de dettes. Vous et vos filles…

– Mais comment est-ce…

-Ce n’est pas tout. Légalement vous êtes avec vos deux filles et d’après les statuts, caution de ses dettes.

– Je ne comprends rien du tout.

– Louis pensait vendre la boutique pour un bon pactole, mais son accident est arrivé au pire moment. Aujourd’hui vous êtes criblée de dettes et passible de prison.

-De prison, mais vous êtes fou?

– Regardez de vous-même …

Martine blanchit au fur et à mesure de la lecture du dossier, il était accablant.

-Oh ce n’est pas vrai!! qu’allons-nous faire? Ce n’est pas possible, c’est un cauchemar.

– Je suis désolé Martine.

– A combien monte les dettes?

– Plusieurs centaines de milliers d’euros.

-Elle baissa la tête, les mots lui manquaient. Je n’ai absolument pas cette somme.

– Et vos filles?

– Elles non plus!

– C’est terrible, l’avenir se montre sous un très mauvais jour.

– Il n’y a aucune solution? Un prêt à la banque? La vente d’une partie du stock?

– Hélas non, personne ne vous prêtera et la vente du stock ne vous amènera que quelques dizaines de milliers d’euros.

Un long silence.

– J’ai peut être une solution, qui vous demandera certains sacrifices.

– Dites, je suis prête à tout!

– He bien justement. Je peux éponger les dettes de votre mari et continuer à trafiquer les chiffres ce qui vous permettra de travailler longtemps. Mais en échanges tu deviendras mon esclave sexuelle!!

– Mais vous êtes un grand malade! vous êtes absolument fou! Je vais appeler la police!

– Chiche! c’est vraiment le moment pour aller plus vite en prison vous et vos filles!

– Je…je…

– D’accord ou …?

– Mais je..

– D’accord ou …?

– Elle baissa la tête, vaincue avec un petit d’accord sortant de sa bouche…Vous me promettez que cela restera entre nous et que personne ne le saura.

– Ca c’est à moi de le décider…en attendant …Carole! criais-je

Je vis le visage apeuré de Martine.

– Oui patron? Oh mais que vois-je? Martine devant le bureau de mon patron! Comment vas-tu salope?

– Co..Comment osez-vous me parler ainsi? Je ne vous permets pas!

– Ta gueule salope, je ne peux pas te voir depuis des années. Tu me fais gerber avec tes filles les midinettes dans ta boutique de merde.

– Arrêtez! Je ne vous permets pas de me parler comme cela!

– Ta gueule conasse! Maintenant tu vas écoutez les ordres, salope! Déshabille toi?

– Comment?

– Martine me regarda effrayée, je ne pus que lever les sourcils au ciel…

– Salope je veux te voir en soutif et culotte et bouge ton gros cul! lui ordonna Carole

Difficilement et lentement Martine commença à ôter ses vêtements, puis se retrouva en sous vêtement de couleur chair, laissant sakarya escort apparaitre le début de ses seins bien lourd, rien de sexy, mais son corps était pas mal du tout.

– Bien grosse pute, retourne-toi face au patron. Retourne-toi. Bien. Maintenant tu vas sortir tes nichons de salope hors de ton soutif et lentement…Doucement.

Elle commença à sortir deux seins laiteux et volumineux de son soutient gorge…

– Enlève ta culotte

– S’il vous plait demanda Martine. Arrêtez!

– Ta gueule grosse pute! Montre ta chatte de salope à mon Maitre, puis tu te retourneras en écartant les fesses pour qu’il puisse admirer ton trou de cul de grosse pute!!

Martine s’exécuta maladroitement des larmes commencèrent à couler sur son visage.

– Bien lève-toi! Tu es une quoi déjà? questionna Carole.

– Pardon? demanda Martine

– Tu es une quoi? une grosse pute ou une salope?

– Arrêtez! je vous en prie!

– Je répète! Tu es une quoi? une grosse pute ou une salope?

– Je ne sais pas…

– Tu vas arrêter de te la péter connasse, tu vas commencer par m’énerver! Réponds à ma question et vite!!

– Une.. .salope…répondit timidement Martine

– De quoi? je n’entends pas!! Plus fort!

– Une salope!

– J’entends pas!! Plus fort!

– UNE SALOPE! c’est cela que vous voulez entendre? UNE SALOPE!!

– Non, cria Carole, Tu n’es qu’une grosse pute tu m’entends! Répète!!

– UNE GROSSE PUTE! D’accord! Finissons-en!

– Grosse pute tu es simplement au début du commencement! lui répéta Carole avec un grand éclat de rire

– Dirige toi vers le Maitre, et agenouille toit devant lui!

– Non s’il vous plait!

– Ta gueule grosse pute!

Martine contourna le bureau et se trouva agenouiller face à moi. Je bandais déjà très fort face à ce spectacle.

– Enlève ton soutif, et regarde le dans les yeux, tu caresses tes seins et tu lui répètes la phrase suivante : “Je suis votre pute et votre esclave, prête à tout , laisser moi l’honneur de vous sucer et de vider vos couilles dans ma bouche…”

– Je ne peux pas!!

– Pardon connasse? Une gifle super rapide arriva sur le visage de Martine! Elle cria de douleur, puis prononça : “Je suis…votre pute et votre esclave, prête… à tout , laisser moi l’honneur de vous sucer et …de vider vos couilles dans ma bouche…”

– Ben voilà! tu vois quand tu veux! Maintenant au travail, ouvre lui sa braguette , sors sa bite et commence ton job d’esclave!! Connasse!

Elle commença à me sucer toujours sous les ordres de mon assistant!

– Tes nichons sur ses genoux! Branle-le doucement, joue avec ta langue Salope! commence la gorge profonde! Voilà, plus profond! Continue Salope!

Carole, mon assistante en profita pour ouvrir son chemisier sortit ses nichons de son soutif a balconnets et se dirigea au-dessus de Martine, afin que je puisse jouer avec ses seins durant ma délicieuse pipe!

– Alors elle est bonne ta samsun escort nouvelle salope? me disait Caro. Elle te fait bander? On va te faire plaisir avec elle désormais! Et avec un large sourire : “Profite de mes nichons pendant qu’elle te suce!! Malaxe les! Pince les! ils sont à toi, nous sommes à toi!!” Nous sommes tes putes!!

– Allez branle le avec tes gros nichons, allez!!

– Voilà comme cela! Répète-lui que tu es une pute dans les yeux!

Et tout en me masturbant avec ses seins elle me répéta : Je suis votre pute! je suis votre pute!

– Attends je vais t’aider! Carole se déplaça derrière Martine et saisissant sa poitrine à deux mains elle accelera la cadence pour ma branlette!!

– Bon arrête avec tes nichons, prend le dans la bouche pour le finir!

– Et avec un énorme clin d’œil Carole dans ma direction se plaça derrière Martine, en lui prenant les cheveux dans la main accélérant ainsi la fellation!

– Et c’est parti! On accélère la pipe! On accélère! Comme cela! oui!! Tu vas tout prendre dans la bouche et avaler : je ne veux pas une goutte ni sur sa bite ni sur le sol! Tu m’as bien compris salope! Allez! Allez!

Accélérant de plus en plus la bouche de Martine au bord du suffoquement!

Me fixant dans les yeux et me connaissant, Carole savait que j’allais jouir dans quelques secondes!!

– Attention, ma grosse pute c’est le moment! Fais bien attention : tu vas tout prendre et tout avaler! attention : attention! avale! avale! Avale! oui c’est bon! ne t’arrête pas! avale! encore! encore! tu avales tout le foutre salope!! encore encore : tu t’arrêtes uniquement a mon ordre! suce! avale! suce! avale! pas une goutte! c’est bien! avale!! bravo ma pute! bravo!! relâche, doucement, doucement, c’est bien ma pute!!

Martine était toute rouge! Au bord de l’épuisement! J’avais craché tout mon sperme dans sa bouche, elle continua à me lécher la bite sous les ordres de Carole afin qu’il n’y est plus aucune goutte de sperme..

– Bravo grosse pute tu as bien travaillé, maintenant je vais descendre ma jupe et ma culotte afin que tu puisses me lécher le trou du cul, j’en ai besoin!

– Mais ca ne va pas? Vous êtes malade!

– Allez pétasse, on sort sa langue , je veux la sentir! Dépêche-toi grosse pute ou je t’en remets une sur la gueule.

Martine désespérée s’approcha du cul de Carole.

– C’est bien ma salope, écarte mes fesses et je veux sentir ta langue! Voilà comme ca! appuis sur la langue!! Vas-y lèche grosse pute!!

Au bout de 20 minutes, Martine s’arrêta épuisée.

– C’est bien pour une première fois lui dis-je

– Comment la première fois, j’ai fait ce que vous vouliez! , j’ai passé la matinée à devenir votre esclave sexuelle! que voulez –vous de plus?

– Ce n’est que le commencement, l’aventure débute seulement maintenant!

– Je ne comprends pas! répondit Martine

– Ce que j’essaye de t’expliquer, c’est que non seulement nous avons des photos de toi désormais en train de me sucer et de lécher le cul de Carole, mais en plus désormais, nous allons encore s’amuser! Tous ensemble mais cette fois avec toute l’équipe! ..avec tes filles!!

– Noooonnnnn! Cria Martine

– Mais cela c’est une autre histoire, répondit Carole avec un large sourire tout nichons dehors et le cul à l’air.

Ma Femme a un Nouveau Travail 04

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Le soir arriva rapidement.

J’arrivai dans le restaurant.

Surprise, tous les acteurs, violeurs, chiens étaient présents. Installés à leurs tables.

Il y avait aussi le mari et la fille de Brigitte.

C’était une ravissante demoiselle tout juste majeure, maquillée et habillée comme une pute.

Jessica, ma copine, assurait le service à poil.

L’asiatique m’invita à sa table où mon assiette m’attendait.

Je n’avais pas mangé de la journée et j’étais affamé. Je mangeais ce bon plat quand l’asiatique et le boss de Jessica me lancèrent hilares ;

« Tu as l’air de bien aimer notre menu »

Je lui répondis qu’en effet, il a beau être un salaud, son restaurant était de qualité.

Il se mit à rire encore plus fort de façon très suspecte, un ricanement sadique, imité par l’asiatique.

Le repas se passa sans problème majeur si ce n’est Jessica qui subissait de nombreux attouchements durant son service.

Je remarquais aussi que nous étions beaucoup à mater la ravissante fille de Brigitte.

Cette dernière était attablée en compagnie de son père et deux autres hommes au centre de la salle.

Elle et son père semblaient extrêmement tendus.

Elle était vêtue bien pire qu’une prostituée, sans doute forcée car c’était tout simplement indécent.

Un débardeur moulant une belle poitrine juvénile et un minishort effilé, le tout monté sur talons aiguilles et sur-maquillée.

Elle glissait, tout le long du repas, des regards inquiets à l’assistance qui la matait de manière très malsaine.

D’autant plus que la majeure partie des invités s’était faite plaisir avec sa mère devant les caméras durant toute l’après-midi et bien plus peut être.

Brigitte était absente.

Rien que de repenser à ses gros seins me redonnais le sexe dur. Où était-elle?

Je mersin escort demandai à mes voisins de table, à savoir un inconnu et le patron de Jessica.

Tous deux, sans me répondre, se mirent à ricaner de la manière la plus inquiétante.

Le repas arriva à son terme. Les conversations cessèrent au moment où on éteignit les lumières de la salle.

Un alluma un immense écran.

La fille de Brigitte et son père se levèrent soudainement pour prendre la fuite.

Malheureusement pour les deux fugitifs, l’espoir sera de très courte durée. Les portes de la salle étant fermées et verrouillées.

Alors que son père était roué de coup et ramené à table par deux colosses, sa fille fut mise à poil par un groupe d’hommes.

La belle demoiselle nous dévoila bien malgré elle son intimité, elle était bien immobilisée.

On s’attarda longtemps sur sa poitrine, certe moins grosse que celle de sa mère, mais plutôt bien développée pour une jeune de son âge. Sa moule était épilée, lisse, belle et accueillante.

Sur le grand écran un film démarra.

Je compris immédiatement qu’on allait mater le film de Brigitte.

Le mari de l’infortunée actrice fut lui aussi mis à poil, comme sa fille. On les plaça devant l’écran à quatre pattes.

Jessica fut elle aussi placée à leurs côtés.

On aligna les trois nus juste devant l’écran. D’où je me situais, derrière, je voyais trois culs, dont deux magnifiques, celui de la jeune fille de Brigitte était parfait, rond et bien bombé, mais celui de ma copine était pas mal aussi.

Immédiatement les deux fessiers des femmes furent occupés.

Celui de Jessica, ma copine, par une sorte de jeune gothique visiblement très pervers car il pénétra ma copine d’un coup de bite sec. Il lui giflait ses belles muğla escort fesses, elle le suppliait d’arrêter, pour son plus grand bonheur.

Quant à la fille de Brigitte, son jeune violeur n’était d’autre qu’un homme noir qui avait durant l’après-midi sauté également sa mère.

Il l’avait saisi par les hanches et la limait avec vigueur.

On me saisit et on me jeta à leurs côtés.

« Il reste un cul pour toi »

Je ne comprenais pas ce que la femme sadique qui avait violé Brigitte voulait dire. On me montra le mari de Brigitte, j’étais horrifié. Il était mis à nu, à quatre pattes.

« Mais je ne peux pas… euh… euh non »

Alors que les deux femmes se faisaient promptement violer, je fus forcé de sortir mon sexe.

Le chinois, tenant une caméra qu’il pointait vers nous était hilare,

« Si tu ne le sautes pas, ta femme sera liquidée! »

Je me résolu, pour la vie de Jessica, de violer cet homme.

J’étais très gêné car la vue de ces deux femmes nues m’excitait, et par conséquent je bandais.

Un homme me saisit le sexe et l’enfonça dans l’anus du mari de Brigitte. Il se tordait de douleur.

J’entamais de pénibles va-et-vient sous les encouragements salaces de l’assistance.

A l’écran on pouvait voir Brigitte, violée par le jeune noir et son chien. Le jeune s’exclama, alors qu’il violait la fille de Brigitte ;

« La salope de mère, maintenant sa fille, quel régal! »

Alors que les hommes crachaient leurs semences dans les deux femmes offertes, je continuais à sodomiser le père.

On me laissa là, jusqu’à que j’arrive à jouir en lui.

A l’écran on pouvait voir ce qu’il s’est passé après la scène du ring.

Brigitte fut amenée dans les cuisines du restaurant où on attacha ses poignets à un anneau au plafond.

Son nevşehir escort corps était sans défense, elle subira, avec un homme devant et un second derrière, des doubles pénétrations à répétition.

Elle était débout, sans défense, suspendue à quelques centimètres du sol prise en sandwich.

En même temps, son corps fut huilé le rendant splendide et brillant. Cela rendait ses mamelles blanches encore plus belles.

Ces hommes prenaient grand plaisir à baiser cette esclave sexuelle, ils s’enfonçaient au plus profond de Brigitte. Ses gros seins étaient malaxés, son visage léché, ses fesses caressées puis claquées.

Une fois l’éjaculation dans Brigitte faite, les hommes s’essuyaient le sexe sur ses cuisses ou sur ses pieds.

Tous les hommes présents vont ainsi se succéder pour se soulager.

Puis le cuistot en chef du restaurant arriva, sous les encouragements de tous.

Brigitte paniqua, ses gros seins remuaient. Tout comme ses jambes qui cherchaient désespérément appuient dans le vide. Et que dire de ces grosses fesses!

Brigitte se débattait face à lui, suspendue à son anneau. Elle comprit que sa fin cruelle était proche.

Puis la scène fut coupée. On avait placé la caméra en dehors des cuisines, on y voyait tous les acteurs du film se rhabiller et partir. En fond on entendait la voix de Brigitte s’échapper de la porte close des cuisines.

Le film s’arrêta au moment où tous les invités de la soirée et moi-même arrivions au restaurant.

D’une manière incroyable, cette situation m’excita et je réussis enfin à jouir dans le mari de Brigitte. Je me retirai enfin de ce supplice, pour lui comme pour moi.

La soirée se termina ainsi, on me renvoya chez moi.

Le boss, l’asiatique et quelques uns des principaux invités restèrent pour passer la nuit en compagnie de la fille de Brigitte et de ma copine.

Ils vont sans doute bien s’amuser avec ces deux femmes. Les personnes non invités à cette fin de soirée étaient très déçues.

Pour moi le pire était passé… mais pour Jessica.

==> la suite prochainement

Zuwed

Sortie Scolaire 02

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Hélène CARTIER, participant à une sortie scolaire, alors qu’elle s’est isolée pour parfaire son hale, s’est fait surprendre par trois voyous, interdite de réaction du fait de la présence proche de jeunes enfants, ils la possèdent de concert, et l’abandonne nue et déconfite sur la rive d’un petit îlet..

Le sperme gouttant larmes après larme de son sexe encore béant, elle tardait à reprendre son souffle, affolée, écoutant son corps se calmer petit à petit, elle réalisait que ses violeurs avaient bien failli la faire jouir.

Cette constatation l’effarait, et alors qu’elle aurait du se sentir souillée, honteuse, elle ne ressentait qu’une certaine nausée due à sa mauvaise conscience, elle réalisait bien qu’il eut suffi quelques moments de plus, quelques coups de boutoir de plus, pour qu’elle hurle à plein poumon son plaisir. Heureusement la main qui la bâillonnait avait contenu ses premiers frémissements oratoires, avait-elle pour autant masqué la vérité à ses suborneurs?

Subitement elle repensa aux pique-niqueurs de l’îlet en face, elle se dressa sur ses coudes, t toujours dissimulée derrière les buissons, observant la scène qui se déroulait sous ses yeux : les jeunes, assis en rond dégustaient leurs sandwichs tout en jacassant, au train où ils allaient, force lui fut de constater qu’ils en avaient encore pour un sacré bout de temps, et de toute manière, même s’ils partaient, pourrait-elle s’aventurer nue jusqu’au camping?

Oserait-elle seulement tenter l’aventure?

Elle devait se décider, il avait été clair ce petit con : ou elle allait les rejoindre pour quémander, ou elle retournait à poil au camp, avec tous les risques que cela sous-entendait. Si encore elle ne se sentait pas si molle, si amorphe, elle n’arrivait même pas à se révolter après ce qu’ils lui avaient fait subir, elle se sentait si alanguie, pas honteuse, pas salie, seulement et c’était le plus étrange, si lourde, si béate, c’était comme si cette brusque agression avait comblé un manque, un vide soudainement révélé. C’était presque comme si ce jeune voyou avait juste remplacé son mari, avait rouvert une voie trop peu souvent empruntée par son époux.

Lasse elle roula sur le ventre, prenant alors conscience que, suintant de sa chatte, une traînée visqueuse maculait sa cuisse, cette constatation la replongea brusquement dans la réalité, elle se secoua, d’une lente caresse des doigts elle étala le sperme sur sa cuisse, et consciente de l’inanité de ses efforts pour se nettoyer, se dissimulant aux regards des jeunes gosses, comme engourdie, elle se prit la route des buissons qui la mènerait au lieu du sacrifice.

Louvoyant d’arbuste en arbuste, soucieuse de ne pas se faire repérer de la rive, elle s’enfonça au cœur de l’îlet. Une demi-heure à peine s’était écoulée depuis le moment ou elle avait râlé sous les puissants coups de boutoir du petit voyou, et âme chavirée.

Enfin elle les découvrit, étendus sur le dos, nus, sur des draps de bain, ils l’attendaient visiblement, entretenant de la main leurs bandaisons. Visiblement les deux plus vieux commentaient grivoisement leur bonne fortune, alors que celui qui semblait commander, le plus jeune, elle évaluait son âge à 18, 19 ans, semblait rêvasser.

Et de fait le jeune loubard, du haut de ses 18 ans et demi, réfléchissait au déroulement de leur attentat, bien sûr, n’en étant pas à son premier guet-apens, il escomptait dès le départ que la peur de se voir remarquée, surtout par des jeunes enfants, la ferait taire, mais il lui apparaissait que la rébellion avait été fort molle, et même il lui paraissait que la jeune femme avait frémi entre ses bras, que si sa tête disait non, son corps semblait alors bien prêt de dire oui, il sentait encore les réactions de sa chair qui dévoilait kütahya escort par son accueil une certaine participation, de plus s’il ne se trompait pas, son sexe, sa chatte lui avait paru bien affable, bien humide, aspirant à la pénétration. Il entrevoyait l’occasion de poursuivre l’expérience avec cette belle jeune femme dodue, mais pour cela, il lui allait falloir asseoir son emprise.

A pas feutrés, elle s’approcha d’eux, goguenard, Franck l’interpella :

Alors la belle …. On en redemande?

– Vous savez bien que …. Que ce n’est pas cela … je dois rentrer au camp … et .. pour ça …. Il me …. Faut …

– Allez dis le ma belle .. tu veux tes vêtements? …. Crois tu les mériter?

– Oh oui … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez eu …. ce … ce que vous vouliez … je ne dirai rien … mais je vous en prie …. Rendez moi mes habits!

– C’est vrai tu as été gentille … mais ça ne suffit pas …. Il faudrait que tu …

– Ca ne suffit pas! …. Que voulez vous de plus ….. vous m’avez violé … et je ne dirai rien … je vous le jure …. Que faire de plus?

– Tu peux faire plus ma chérie …. Et crois moi tu vas faire plus …. Si tu veux rentrer au camp en cachant tes appas …. Tu vas m’obéir …. Faire tout ce que je veux ….

– Oui …. Je ferai ce que vous voulez …. Mais que ….

– « Tout à l’heure, tu l’as dit toi-même tu t’es laissée faire …. Maintenant j’en veux plus …Je veux que ce soit toi qui nous donne du plaisir …. Que tu t’occupes de mes copains avec tout ton savoir faire ….que tu nous montres la bonne salope que tu peux être …. Allez approche et montre moi ce que tu sais faire avec la bouche …

Et dolente, avec docilité, elle s’agenouilla entre les deux lascars, effleura leur queue du bout des doigts, hésitante, et comme le plus jeune lui empoignait les cheveux, servile elle se pencha sur son chibre et d’un souple mouvement du col l’enfourna.

Quelques allées et venues dociles sur le chibre du petit voyou et déjà l’autre la sollicitait à son tour d’un braquemart plus court, mais plus massif ….

Agenouillé face à eux, leur chef se branlait d’une main nonchalante tout en dirigeant de la voix sa performance. Il voulait maintenant que bouche ouverte en grand, elle s’occupe des deux bittes frémissantes en même temps… et servile comme jamais elle n’aurait pensé l’être, elle s’exécuta ….

Un pénis frémissant dans chaque main, elle les attira à elle et entrepris de lécher les deux glands simultanément, déployant une énergie, peu commune pour accomplir cet acte qui la révoltait au fonds d’elle-même, narquois Franck la fixait un rictus au coin des lèvres, savourant le spectacle de cette bourgeoise qui devait certainement, vu sa maladresse tangible malgré ses efforts, accueillir pour la première fois deux vits fumants en même temps dans sa bouche pulpeuse…

Et elle en faisait des efforts, picorant de petits coups de langues les deux prunes qu’elle sentait maintenant tressauter entre ses lèvres, soudain, d’un même mouvement ils lui forcèrent les commissures des lèvres et s’installèrent de force à l’entrée de sa bouche, butant sur la langue et les dents, et gémissant de plaisir ils se vidèrent en ahanant, profanant sa gorge au plus profonds de jets liquoreux qu’au bord de la suffocation, bouche bloquée sur les deux lances, elle dut ingurgiter au prix de nausées qu’elle fut stupidement fière de contrôler. L’épais jus lui tapissait la gorge, engluant sa luette, avant de s’écouler avec précision dans son pharynx dompté.

Elle dut encore, pour le satisfaire, toiletter soigneusement les deux dards visqueux, lapant jusqu’à la dernière traînée le sperme tiède .

Heureuse manisa escort de les avoir satisfaits si rapidement, elle glissa sur les genoux, prête à agir de même avec le voyou en chef.

Mais, lui se laissa couler sur le dos, puis la prenant aux genoux il l’attira au-dessus de son bassin lui précisant, tu vas d’abord te caresser avec ma queue, puis quand je te le dirai, tu t’empaleras dessus et tu me feras l’amour.

Elle comprit alors …. Non content de la posséder, ce petit salaud voulait que ce soit elle qui lui donne du plaisir .. en quelque sorte, il la forçait à se prostituer pour récupérer ses effets… et elle ne voyait aucune solution lui permettant d’échapper à cette dégradante gesticulation.

Les larmes perlant aux yeux elle se résigna, le vit dressé entre ses cuisses frôlait son sexe, de la main gauche, elle le saisit, et suivant ses indications elle le fit aller d’avant en arrière tout le long de sa fente, épouvantée elle sentit son sexe s’humecter, petit à petit, au grès des contacts de plus en plus précis sur ses babines enfiévrées, elle sentait monter en elle le désir de s’empaler sur ce chibre qu’elle aurait du haïr, elle sentait son bassin se cambrer, sa chatte s’embraser, son trou se dilater pour mieux accueillir son hôte. Enfin, d’une claque sur les hanches il lui ordonna d’enfourner son pieu, avec un long soupir, elle le guida précisément et d’une seule poussée fiévreuse l’engouffra au cœur de sa fournaise.

Sanglotant de honte, elle joua des hanches, l’étreignant de toute la force de ses sphincters, pour enfin s’abattre sur son ventre, cherchant ses lèvres de la bouche, avouant malgré elle le pied qui la submergeait toute tandis qu’incapable de se contenir plus longtemps il giclait à gros bouillons dans son ventre tétanisé.

Eperdue, elle resta de longues minutes allongées sur son torse, cherchant à reprendre sa respiration, sentant la bitte de son ” agresseur ” se rétracter entre ses lèvres frémissantes.

Enfant la houle qui agitait ses flancs se calma petit à petit, elle roula sur elle même, et, toute honte bue le sollicita à voix basse

– Rendez-moi mes habits maintenant … je vous en prie … vous avez eu ce que vous vouliez …. J’ai exécuté vos ordres …. Je … je me suis donnée à vous … alors … respectez votre parole …

– Je vais faire quelque chose pour toi … mais d’abord, dis-nous merci …. On t’a bien fait jouir ….

– Oh oui … merci …. Merci … souffla-t-elle, le rouge aux joues de devoir exprimer ce qui n’était qu’une profonde vérité.

Oh oui elle avait joui, son corps avait vibré, son âme exulté …et c’était bien là le plus pénible, alors qu’elle n’aurait du ressentir que honte et confusion, elle avait frémi de plaisir, incapable même de retenir ses cris orgasmiques lorsqu’elle s’était effondrée sur lui, pantelante … et voilà qu’en plus elle devait le leur avouer …

Calmement il fouilla dans son sac marin, et effets à la main, il proposa :

Tu as gagné une pièce de tes vêtements … une seule … je te laisse le choix ….

Elle sut tout de suite qu’il était inutile de le supplier, son air railleur lui disait assez qu’il n’attendait que cela pour l’humilier encore, et finalement se montrer inflexible. Elle ne réfléchit qu’un instant, comme il n’était pas question de rentrer au camp foufoune ou loches à l’air, il ne lui restait qu’à opter pour sa courte robe, qui au moins cacherait tous ses appâts.

– Donnez-moi ma robe s’entendit-elle chuchoter, larmoyant presque.

Un peu déçu de sa docilité, il lui tendit son vêtement qu’elle enfila promptement tandis qu’il ordonnait à ses comparses

Rendez-vous à la tente … je raccompagne madame …. On a encore des choses à se mardin escort dire …

Pensant que le trajet lui permettrait peut être de le fléchir, de récupérer culotte et soutien gorge, elle se tut, finalement heureuse qu’il lui accorda encore cette chance, et le dos rond elle lui emboîta le pas.

A plusieurs reprises, elle tenta, à voix basse de le supplier, elle chuchotait :

• Je vous en prie ….. Rendez-moi mes sous vêtements …. S’il vous plait … j’ai fait ce que vous vouliez …. Vous avez pris votre plaisir …. S’il vous plait ….

Mais imperturbable, muet, il se taisait, son sourire malicieux trahissait cependant son plaisir, il jouissait rien que d’entendre cette belle femelle l’implorer, alors qu’en ville elle ne lui aurait sûrement pas adressé la parole, il la sentait là, à ses cotés, prête à toutes les compromissions afin de récupérer son trophée.

Petit à petit il se pénétrait de sa dépendance, il appréhendait qu’elle ne pouvait se permettre de lui abandonner son maillot, que pour une obscure raison, il lui était impératif de le récupérer. Il savait que les écoliers qu’elle encadrait resterait là la semaine, et il entrevoyait que tant qu’il garderait sa lingerie, il aurait barre sur elle, qu’elle ne pourrait rien lui refuser, qu’afin d’éviter tout esclandre elle se plierait à toutes ses volontés. Ainsi, chemin faisant, il imaginait toutes les avanies qu’il pourrait lui imposer, toutes les positions dans lesquelles il la prendrait, toutes les variations qu’il lui ferait subir.

Ce n’est qu’en franchissant avec elle le pas de la tente qu’il lâcha :

– Bon ce n’est pas le tout ma chérie …. Tu veux que je te rende tes frusques …. Pourquoi …?

Larmoyante, contrainte d’exprimer ses peurs, elle avoua :

C’est mes fils qui me l’ont offert ….. et ils voudront certainement me prendre en photo le portant …. Pour montrer des souvenirs à leur père … il faut donc absolument que vous me le rendiez …..

Puisque c’est ainsi … et pour te remercier de m’avoir fait tant jouir …. Je vais te rendre, et comme déjà elle pensait triompher, il lui asséna :

– Ton soutien gorge

– Mais ….. pleurnicha-t-elle assommée

• Eh oui ma chérie … on va procéder par étapes …. Aujourd’hui ton cache nichons …. Et plus tard ….qui sait … Et maintenant à genoux … tu vas me dire merci!

Et à nouveau, en cette fatidique journée elle se retrouva prosternée devant ce sinistre voyou qui réclamait de sa bouche ces caresses qui la troublait tant. Folle d’inquiétude à l’idée qu’on puisse la surprendre en cette position, en cette activité, elle engloutit la verge déjà vibrante, consciente que la rapidité de la chose ne dépendait que d’elle.

Elle fit de son mieux, parcourant la hampe d’une langue agile, mordillant les testicules poilues, engloutissant à pleine gorge le chibre turgescent, convaincue d’obtenir, ce faisant, une rapide solution.

C’est avec un mélange de plaisir et d’appréhension qu’elle sentit enfin le fier braquemart frissonner puis tressauter dans sa bouche, elle était maintenant assez avertie pour savoir qu’une abondante éjaculation scellerait sa tâche. Aussi, si c’est avec joie qu’elle sentait poindre la fin de ses tourments, c’est avec rage qu’elle pressentait que bientôt la pine honnie lui vomirait son trop plein de foutre à pleine gorge.

Déjà, il lui pressait la nuque, lui écrasant la figure dans ses poils hirsutes, et se cabrant spasmodiquement, il se vida en plusieurs jets abondants qu’elle s’efforça d’avaler au fur et à mesure de leur émission, chaque goulée du jus tiède et glaireux lui tapissant la gorge, alors que bizarrement un trouble sentiment de satisfaction la pénétrait.

Après une dernière caresse de ses lèvres pulpeuses, il se rebraguetta, lui tendit le soutien gorge, et s’en alla, l’abandonnant prostrée, du sperme s’échappant à la commissure des lèvres, brisée aussi bien par ces émotions que par le plaisir qu’elle avait enduré lors de ce dernier viol…

Suite à venir.

– Coulybaca –

Du mauvais coté

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Big Tits

1

Le super panard. Je traîne interminablement au lit. Le ciel est bleu et lumineux au dessus de la ville quasi déserte, en ce début juin 1940, alors que la guerre fait rage au loin.

Dans la rue, je note un mouvement furtif sous un porche.

Elle est raccagnée dans un angle, à l’entrée d’un passage couvert.

-Salut. Dis je

-Bonjour. Répond elle en tremblant.

Petite, mince, visage fin et cheveux châtains mi longs. Elle blêmit devant ma médaille de police. Comme j’ai écarté ma veste pour qu’elle voit mon automatique, elle n’esquisse même pas une tentative de fuite.

-Ouvre ton sac.

Le tutoiement est délibéré. Elle doit sentir que je tiens la foudre dans ma main.

Un pain à moitié rassi, un pot de cornichon et une sorte de tranche de pâtée dont mon chien ne voudrait pas.

-Le pillage est puni de mort.

Elle le sait, bien sur. Elle se met à pleurer et parle en vrac, d’un petit frère et de sa mère malade qui n’a pas pu partir. Elle me supplie.

La cage d’escalier est chaude et sèche. Je lui enlève sa robe d’été. Elle porte en dessous une culotte blanche toute simple et rien d’autre.

Elle est à genoux, la bouche arrondie, prête à avaler ma bite. Je lui glisse mon membre et elle est prise de hauts le coeur. Heureusement, elle n’a pas mangé depuis deux jours, et c’est sans conséquences. Elle pleure sans discontinuer.

Je la relève, et la tourne face au mur.

Elle supplie de plus belle quand je baisse sa culotte.

-Tu préfères douze balles dans la peau? Lui dis je.

Elle baisse la tête, vaincue.

Bon dieu, je sens la résistance de son hymen au coeur de son sexe vierge. Elle pleure encore plus.

-Il y a un moyen.

Elle se détend un instant lorsque je quitte sa petite vulve fraiche. Mais c’est un cri de pure douleur qui s’échappe de ses lèvres quand je lui poinçonne le cul. Elle gémit de détresse, ensuite, alors que son orifice secret s’accommode peu à peu de l’intrus, heureusement lubrifié de sa bave. Lorsque je ressors, un filet de foutre coule doucement sur sa cuisse.

Je remonte mon pantalon, que j’avais descendu à mi cuisse.

-Tu es une voleuse, Sarah Bronski. Et à présent, une petite salope. Ma diyarbakır escort petite salope. Compris?

Elle me regarde sans comprendre. Je lui jette sa robe, qu’elle enfile prestement. Je la conduis jusqu’à ma voiture, garée non loin. J’ouvre le coffre et glisse un pain et un bocal de pâté dans son pauvre sac.

-Les allemands sont à quelques jours d’ici, après, tout retournera à la normale. En attendant, si tu as de nouveau faim, j’habite là, au deuxième gauche. Mais tu paieras avec ton corps.

Elle ne sait si elle doit me remercier ou me maudire, mais elle file.

Je regarde ma ville. J’ai l’impression d’être le roi de Paris. Les rues sont vides, tout le monde s’est enfui. Pas moi. La police doit veiller à l’ordre, que le vainqueur trouve une capitale bien rangée.

Le lendemain soir, on frappe à ma porte. Je suis couvert du sang d’un gars. Il faut vraiment que je perfectionne ma technique d’égorgement.

Un coup d’oeil au judas. Dans la pénombre de la cage d’escalier, je reconnais les boucles qui se parent de reflets fauves dans le soleil rasant.

J’ouvre, elle sursaute, je sens l’abattoir et la sueur.

-Entre

Elle se glisse dans l’entrée et je ferme derrière elle.

Je la guide jusqu’à la pièce principale; un canapé fatigué et une petite table pour mes repas de célibataires.

Elle est déjà en train de retirer sa robe, la même que l’autre jour. J’allume la lampe à pétrole sur la table. La lumière dorée inonde son dos pâle. Elle se tourne vers moi. Sa culotte est d’un rose passé tirant sur le gris, à présent. Je m’approche, elle sent le propre. Je passe ma main dans son dos et me colle à elle. Elle émet une sorte de petit cri de surprise et je crois, de peur.

Ma main glisse sur sa cuisse, entraînant sa culotte et dévoilant son petit buisson. Je prends mon temps. Je la pousse sans violence mais fermement vers l’arrière. Elle refait son petit cri en tombant sur le canapé.

Je délace mes bretelles et mon pantalon tombe au sol. Je bande déjà très dur. J’enjambe l’habit et présente ma bite devant son visage.

-Suce.

J’ai eu chaud, aujourd’hui, et sa grimace me confirme que mon gland y a gagné un edirne escort parfum épicé. Mais le spectacle de ses lèvres allant et venant le long du mât est un régal. Je suis à un doigt de lui lâcher la purée dans la gorge. Je la repousse.

Elle est autour de mes jambes, son sexe tout neuf exposé. Je me mets à genou et place mon chibre à l’entrée de sa chatte. Elle pleure quand je la déflore, avec un petit cri quand je déchire son hymen. Je la pilonne un bon moment, avant de sortir d’éclabousser son ventre plat. Je ricane, son nombril est plein de sperme et ressemble à une petite tache plus blanche que le reste. Je lui donne un torchon pour s’essuyer.

Peu après, elle quitte l’appartement avec un poulet.

Je m’assieds et réfléchis. La canonnade gronde au loin, tandis que la glorieuse armée française se fait tailler en pointe. Ils seront bientôt là. Il va falloir être un peu plus imaginatif pour durer.

Elle revient le lendemain.

-Merci de ne pas être venu dans ma matrice. Dit elle.

Je ne réponds pas, je suis peu soucieux de fabriquer une mère fille, mais c’était surtout pour l’humilier. elle a dû se renseigner sur la reproduction humaine.

Cette fois-ci, je la mets à genou sur le tapis pour la pipe. Pris d’une impulsion, je lui bloque la tête avec les mains avant de me servir de sa bouche comme d’un sexe. Lorsque je touche le fond de sa gorge, elle a un hoquet et se débat. Mais ma prise est ferme et je finis par lui inonder la gorge. Elle a une toux qui lui fait couler du foutre par la narine droite, comme de la morve. Je ris et elle pleure.

Elle repart, le sac lesté d’un salami. Chère petite polack. J’ai localisé le trou à rat où elle se cache. C’est dans une petite rue borgne pas loin, et effectivement, il y a un petit frère, et une mère alitée. Ma vieille maman disait toujours que c’est mal de profiter du malheur des gens. C’est surement mal, mais c’est aussi beaucoup plus facile.

Je me promène dans la ville et je raccompagne un soir un gamin au nez morveux jusqu’à une loge de concierge. La concierge est un blonde bien en chair, dans la trentaine.

-Votre fils était dehors. Il avait des denrées pillées dans ses poches.

Elle edirne escort bayan ouvre des yeux affolés. Elle sait ce que ça veut dire.

-Pitié, monsieur l’agent, Bernard est si jeune.

Je fais partir le petit vers le fond de l’appartement.

-On peut peut être s’arranger.

-Je n’ai pas d’argent, le père du petiot est sur le front.

-Vous êtes une femme.

Son regard me montre qu’elle a compris. Elle met le verrou sur la porte du fond.

Elle ouvre sa blouse et relève sa combinaison. Elle a un sacré placard, bizarrement sombre. Elle pose son cul sur le bord de la table, les jambes écartées. Je lui relève les cuisses et entre sans fioriture. Elle souffle quand je tape dans le fond, mais sinon, j’ai l’impression de limer un oreiller. Je la retourne et elle crie “non” quand ma bite s’introduit entre ses fesses.

Son petit trou est bien fermé, et je dois m’employer pour le forcer. Le conduit serre délicieusement ma mentule. Elle s’est mise une main devant la bouche pour étouffer ses cris., surement pour ne pas alarmer Bernard.

Je regarde les toits de Paris depuis le toit de mon immeuble. La nuit résonne de lourds grondements. Le pas de pieds bottés retentit dans les rues vides.

L’officier allemand s’approche de moi et me demande qui je suis.

-Inspecteur Delbard, bonjour.

Le gars a l’air surpris de rencontrer quelqu’un qui parle sa langue. Mais il me sourit. Il a l’air crevé et sale. Je lui tends un panier avec du vin blanc frais et un peu de pain et de saucisson. Il prend ma carte de policier et sort un petit carnet pour noter mon nom. Je lui tend ma carte de visite.

Le coup de fil est arrivé moins d’une semaine plus tard. Je gagne les locaux de la préfecture et un fonctionnaire chauve m’informe de mon détachement auprès des nouveaux maitres de la ville.

Je vais au 27 boulevard Lannes. Il s’avère que mon officier est un ponte de la SD, leur police secrète, et qu’il a apprécié mon geste spontané. Il m’invite à m’asseoir dans un fauteuil confortable et me tend un cigare. Il me propose d’intégrer la gestapo française, qui commence à naître. Je mets les formes pour refuser, d’abord parce que ces malotrus sont d’anciens truands de la race des vrais nuisibles et que je suis un policier décoré pour avoir abattu un anarchiste qui venait de tuer un banquier.

Je pénètre tranquillement dans le bureau de communication de la police. Cet honorable service a pour but de faciliter les échanges avec l’occupant. Ce n’est que le début.

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