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Après ce long moment de nettoyage, Irina est sortie de la baignoire par 4 hommes.

Ils la déposent à nouveau sur un tapis de sport, elle ne remue pas mais tout son corps qui tremble.

Ses tétons, déjà longs d’avance, sont énormes et rouges vifs après la succion de la machine.

Le Maître s’approche et je vois qu’il lui fait boire quelque chose.

Elle avale sans se rebeller.

Elle est retournée sur le ventre par les acolytes et ses fesses sont ouvertes.

On lui applique une graisse bien épaisse sur son petit trou et un doigt s’insinue dans son conduit.

Plusieurs mouvement de vas et viens…….

Elle est remise sur le dos et on la fait à nouveau boire mais aussi respirer un petit flacon.

Ma belle ressemble à un sex-toy vivant sans réaction.

On lui relève les jambes sur son torse, offrant à nouveau son anus à la vue de tous.

Un type a recommencé à lui tourmenter les seins de façon cruelle. Elle pleure et gémit doucement, elle a déjà tellement souffert.

Le Maître reprend une dose de graisse et enduit à nouveau son trou de cul et y entre 3 et puis 4 doigts.

Ma chérie semble s’ouvrir sans douleur, probablement l’effet de ce qu’on lui a fait absorber auparavant.

Tout à coup, dans un autre coin très sombre de la pièce un autre spot s’allume et je reste stupéfait.

Le colosse est là, couché nu, le dos sur un banc, il caresse tranquillement son membre dressé.

Il est énorme, bestial…… long, épais et veineux.

Ce type doit avoir du mal à trouver des copines de sexe car ça doit être d’office douloureux pour elles.

Les mecs applaudissent et reprennent les fameux : “jurgen, Jurgen, …..”

Irina de par sa position ne le voit pas.

Le Maître de cérémonie fait signe à ses sbires et la pauvre est soulevée, jambes repliées et écartées, genoux à hauteur du visage.

On lui donne à nouveau à boire et à sniffer le flacon. On me la présente et je vois dans son regard qu’elle est droguée.

Mais elle me reconnait et me renvoi un sourire triste de victime vaincue.

On la fait pivoter et c’est là qu’elle comprend ce qui l’attend.

Elle hurle plusieurs Bostancı travesti fois : “non”

Elle essaye de se débattre mais de nombreux hommes la tiennent, toujours repliée, le cul offert vers le bas.

Et on l’approche de son supplice.

Elle est positionnée face à moi, au-dessus du membre monstrueux.

Jurgen se graisse un peu la bite mais pas trop. Je comprends qu’il a bien envie de sentir les parois anales de ma belle.

Elle essaye toujours de se débattre, mais son cul se rapproche du gland hors normes.

Une fois contre, le géant commence à maintenir sa verge à la base, bien verticale.

Les hommes qui maintiennent ma belle commence à forcer la descente. L’anus se contracte, refuse cette intromission inhumaine.

Mais à un moment, sous la poussée des mâles, il cède. Et le gland disparait dans le corps de ma chérie.

Elle hurle à nouveau et ensuite le silence.

De longues secondes…………………. Le temps s’arrête

Le Maître de cérémonie, s’approche et commence à jouer avec les tétons de sa victime.

Doucement, gentillement……

Etrange vision de ce corps suspendu au moins 25 cm au-dessus de la base d’un sexe hors normes dont le gland est enfoncé en elle.

Soudain, Le Maître pince violement les bouts de seins déjà bien martyrisé.

Elle se cambre en hurlant….. c’est le signal.

Les hommes la lachent d’un coup et elle s’empale à fond sur l’énorme sexe dressé.

Ses yeux s’ouvrent tout grand, sa bouche aussi mais aucun son ne sort….

Elle est prise de convulsions et s’évanoui.

Tout le monde observe la scène silencieusement.

A un moment, l’homme redresse son buste, il est toujours enfoncé au plus profond de l’anus de ma belle.

Plusieurs hommes l’aident et il se relève.

Voilà ce géant debout avec une pauvre femme plantée sur son sexe, les pieds ne touchant pas le sol, maintenue par quelques bras costauds.

Et ce petit groupe comme à faire la tour de la pièce. Irina revient peu à peu à elle.

Elle est plantée, empalée sur cette bite.

Les mecs la tripotent au passage.

Et enfin, ils arrivent Bostancı travestileri devant moi. Malgré le stress et ma peur pour elle je bande comme un âne.

On me redresse?

Irina est basculée vers l’avant. Maintenue en l’air à l’horizontale.

Le géant l’attrape par les hanches et commence des allers retours. Il ressort presque l’entièreté du membre monstrueux et ensuite replonge au fond du joli cul ouvert à l’extrême.

On me libère les mains et m’approche du visage de la mère de mes enfants.

L’ordre est immédiat : branle toi sur sa face de chienne, Jurgen va la défoncer de plus en plus fort jusque quand tu seras venu.

Un mec lui tire les cheveux pour lui redresser la tête et observer que c’est bien moi son mari qui se branle devant elle.

Soumise, mattée, elle ouvre la bouche mais on m’interdit d’y entrer mon sexe. Je dois me masturber comme un gamin en regardant le spectacle de celle qui est ma compagne depuis longtemps se faire exploser le cul sauvagement.

L’homme la possède de plus en plus vite et profond et me fixe dans les yeux.

C’est à ce moment que j’observe qu’il n’a pas de préservatif car probablement rien à sa taille.

Je sens le plaisir monter en moi et enfin de joui à longs jets sur le visage d’Irina qui me regarde toujours avec ses yeux embués de larmes. A ce moment j’entends rugir le mâle qui la prend bestialement et il se fige bien au fond de son cul.

Il se vide en elle et se retire.

On la fait pivoter et je suis face à ce cul ouvert au maximum, je vois ses intestins et une quantité de sperme énorme.

On me pousse le tête devant l’orifice et quand on me retire j’ai le visage barbouillé du sperme de Jurgen.

On m’assied à nouveau et attache sur ma chaise.

On couche Irina sur le tapis de sport, on lui rend à boire et à sniffer la petite fiole.

Je vois tous les mecs réenfiler des capotes et l’abattage commence.

Elle sera prise de toutes les manières possibles et par tous les trous pendant presque 2 heures.

Il est 21 heures quand ça se calme et les mecs commencent à partir.

Irina est inerte sur le sol, luisante Travesti bostancı de jus et de sueur, elle respire fort et son cœur semble aller très vite.

Je pense que c’est terminé et qu’on va pouvoir partir.

Il ne reste plus que le Maître et Jurgen. Nus tous les deux et il faut avouer que si Le Maître n’a pas un sexe comparable à Jurgen il est quand même bien équipé.

Ils s’approchent de la pauvre avec des gants mouillés et des essuies et ils commencent à la nettoyer.

Une fois sèche, ils lui appliquent à nouveau de la crème chauffante partout mais de façon très douce et sensuelle.

Je vois le Maître faire une piqure à Irina. Je m’inquiète mais il me rassure en me disant que ça va la détendre.

Effectivement, après quelques minutes, elle devient réceptive à leurs caresses.

Le Maître, s’approche de moi et me libère.

Il me dit va chercher ta voiture et viens te garer derrière, ça sera plus discret.

Et Irina?

Elle va attendre ici avec nous…….

A mon retour, je l’ai trouvé trempée de sueur, jouissant comme une folle sous les coups de boutoir de Jurgen bien au fond de sa chatte.

Il s’est couché sur le dos et elle est venue s’empaler elle-même sur sa bite énorme.

Le Maître est passé derrière elle et s’est introduit dans son cul. Une double pénétration hors normes.

Il m’a dit : il reste un trou à remplir.

Elle m’a regardé arriver, ses yeux très fatigués et rougis étaient cependant pétillants.

Elle a ouvert la bouche et je me suis introduit.

D’abord très lents, tous les mouvement se sont accélérés de façon coordonnée et lorsqu’elle a commencé à gémir et trembler prise d’un énorme orgasme, nous nous sommes tous vidés en elle.

Tout le monde est retombé,assommé par le plaisir pendant de longues minutes.

Nous avons délicatement emballé Irina dans une couverture et avec l’aide des 2 hommes, nous sommes allés la déposer sur la banquette arrière.

Le Patron m’a dit : elle est fabuleuse, vous revenez quand vous voulez

Je lui ai répondu : je doute qu’elle soit prête à recommencer

Il m’a fait un clin d’œil et m’a répondu : qui sait……

Je me suis assis au volant, j’ai jeté un coup d’œil à ma belle…. Elle dormait profondément

Fin

Si ce cycle des aventures d’Irina vous a plu je peux continuer à vous parler d’elle.

Ce texte est un petit peu exagéré mais Irina existe et aime ce genre d’expérience.

A bientôt